Theux-genealogie-be

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1830-1839


Actes de Mariage Theux 1830-1839

Actes de mariages 1830-1839

 

M 21/04/1830 Jean Joseph LODEZ et Marie Margueritte DADSEUX (n°07)

L’An mil huit cent trente, du mois d’avril le vingt unième jour à trois heures après midi, par devant nous Walthère Lecomte, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Joseph Lodez, tonnelier, âgé de vingt quatre ans, six mois et dix huit jours, demeurant à Theux, né à Ouffet, le douze vendémaire an quatorze de la république française, correspondant au quatre octobre mil huit cent et cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le cinq de ce mois par Monsieur H.J Damoiseaux, Bourgmestre dudit Ouffet, fils mineur et légitime de Pierre Joseph Lodez, cultivateur demeurant au dit Ouffet, ci présent et consentant, et de feue Marie Jeanne Gérard, décédée au même lieu, le six janvier mil huit cent et vingt, comme il en conste aussi par l’extrait de son acte de décès délivré le cinq avril courant par le dit H.J. Damoiseaux.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;

Et Marie Margueritte Dadseux, cultivatrice, âgée de vingt quatre ans, trois mois et onze jours, demeurant à Theux, née au même lieu, le onze janvier mil huit cent et six, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Pierre Joseph Dadseux, propriétaire, et de Jeanne Joseph Lechanoine, ménagère, demeurant au dit Theux, ci présents et consentants.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Ouffet, les dimanches quatre et onze du même mois, aux huit heures du matin, comme il en conste par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré le dix sept du courant par Monsieur M. Reginster, Bourgmestre du dit Ouffet,. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Lodez et Marie Margueritte Dadseux, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Louis Jeunechamps, foulon, âgé de quarante un ans, beau frère de la contractante, de Henri Joseph Delcour, journalier, âgé de trente un ans, cousin germain de la contractante, de Jean Joseph Dortu, cultivateur, âgé de septante ans, et de Jean Lambert Depresseux, cabaretier, âgé de septante ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, le père du contractant, les père et mère de la contractante et les quatre témoins signés avec nous (sic).

 

 

 

M 02/06/1830 Thomas Joseph DEGOTTE et Anne Marie Joseph MORSOMME (n°15)

L’An mil huit cent trente, du mois de juin le deuxième jour à quatre heures après midi, par devant nous Walthère Lecomte, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Thomas Joseph Degotte, charron, âgé de trente trois ans, six mois et cinq jours, demeurant à Spixhe, village dépendant de cette commune, né au même lieu, le neuf frimaire an cinq ère républicaine, correspondant au vingt neuf novembre mil sept cent nonante six, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de Noël Degotte, cultivateur et de Elisabeth Maqunay, ménagère, demeurant au dit Spixhe, ci présents et consentants.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;

Et, Anne Marie Joseph Morsomme ménagère, âgée de trente deux ans, dix mois, demeurant à Theux, née au même lieu le vingt sept Thermidor an cinq, ère républicaine, correspondant au vingt sept août, mil sept cent nonante sept, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Louis Morsomme, boulanger demeurant au dit Theux, ci présent et consentant, et de feue Marie Margueritte Pétronille Jehin, décédée au même lieu an onze de la république française, correspondant au quinze février mil huit cent trois, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès pour la même année.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois mai courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Degotte et Anne Marie Joseph Morsomme sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Poumay, appréciateur au mont de piété âgé de trente ans, cousin issu germain de la contractante, demeurant à Verviers, Henri Dukers, directeur de mécanique, âgé de vingt trois ans, demeurant au dit Verviers, de Jean Pierre Lepersonne, forgeron, âgé de quarante six ans, demeurant à Marché, cette commune et de Jean François Defaw, directeur de mécaniques, âgé de trente ans, demeurant à Theux et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, les père et mère du contractant, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 23/06/1830 Joseph DEVIVIER et Marie Anne Joseph CORNE (n°19)

L’An mil huit cent trente un, du mois de juin le vingt troisième jour à cinq heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune, en date du cinq novembre mil huit cent trente, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Joseph Devivier, tailleur de pierres, âgé de quarante ans, trois mois demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt trois mars mil sept cent nonante, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de la paroisse, de Theux, reposant dans les archives de cette commune, fils majeur et légitime de Joseph Devivier tailleur de pierres, demeurant à Juslenville, village dépendant de cette commune, ci présent et consentant, et de feue Anne Joseph Lemarly, décédée au dit Theux le deux août mil huit cent douze, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès pour la même année.

Et Marie Anne Joseph Corne, ménagère, âgée de trente deux ans, treize jours, demeurant à Mont, hameau dépendant de cette commune, née au même lieu le vingt quatre, prairéal an six, ère républicaine, correspondant au douze juin mil sept cent nonante huit, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Lambert Joseph Corne et Marie Anne Bertrand, décédés au dit Mont, le premier le neuf avril mil huit cent vingt huit, la seconde le deux thermidor an sept de la république française, correspondant au vingt juillet mil sept cent nonante neuf, comme il est également constaté par els registres aux actes de décès pour les mêmes années.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Joseph Devivier et Marie Anne Joseph Corne, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacques Simus, propriétaire, âgé de soixante un ans, demeurant à Mont, de Barthelemy Quaré, aubergiste âgé de quarante neuf ans, de Jean François Legueridon, Maître serrurier, âgé de quarante trois ans, et de Simon Jean Baptiste Michotte, négociant, âgé de vingt neuf ans demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte les quatre témoins signés avec nous, le père du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 07/07/1830 Mathieu Joseph POUSSART et Margueritte Joseph JASON (n°20)

L’An mil huit cent trente, du mois de juillet le septième jour à onze heures du matin, par devant nous Walthère Lecomte, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Mathieu Joseph Poussart, journalier, âgé de vingt cinq ans, sept mois et dix jours, demeurant à Banneux, commune de Louvegnez né au même lieu, le huit frimaire an treize, de la République Française, correspondant au vingt huit novembre mil huit cent quatre comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt trois juin dernier par Monsieur J.M. Heuse, assesseur au dit Louvegnez fils majeur et légitime de Mathieu Poussart et d’Anne Sagehomme, cultivateur demeurant au dit Banneux, ci présents et consentants.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;

Et Margueritte Joseph Jason, cultivatrice demeurant à Juslenville, cette commune, âgée de vingt deux ans, six mois et dix jours, née au dit Juslenville, le vingt six décembre mil huit cent et sept, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Hubert François Jason, et de Marie Margueritte Tisselenne, ménagère, demeurant au dit Juslenville, ci présents et consentants.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept juin dernier et quatre du courant aux deux heures de relevée et à Louvegnez les dimanches six et treize juin dernier, comme il en conste par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré par le dit Monsieur J.N. Heuse.

Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Mathieu Joseph Poussart et Margueritte Joseph Jason, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Poussart, cultivateur, âgé de vingt sept ans, demeurant à Liège, frère du contractant, de Noël Joseph Demeuse, cordonnier, âgé de trente un ans, de Jean Lambert Depresseux, cabaretier, âgé de septante ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante six ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont le contractant, le père du contractant, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante, la mère du contractant et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 05/01/1831 Jean Joseph BERNARDIN et Jeanne Joseph JASON (n°01)

L’An mil huit cent trente un, du mois de janvier le cinquième jour à trois heures de relevée, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune, en date du cinq novembre mil huit cent trente, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Joseph Bernardin, ouvrier de fabrique, âgé de vingt cinq ans, huit mois, demeurant à Juslenville cette commune, né à Verviers le treize ventose an treize de la république française correspondant au trois mai mil huit cent cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre décembre dernier par Monsieur C. Warnotte, échevin délégué à l’état civil de Verviers, fils majeur et légitime des défunts Benoit Bernardin et Marie Anne Dieudonné Velloy décédés au dit Verviers, le premier le seize août mil huit cent vingt sept, la seconde le quatorze mars mil huit cent et sept, comme il en conste aussi par les extraits de leurs actes de décès délivrés le vingt quatre décembre dernier par le dit Monsieur C. Warnotte.

Et Jeanne Joseph Jason, ménagère, âgée de vingt sept ans, huit mois et six jours, demeurant au dit Juslenville, née au même lieu, le onze floréal an onze, ère républicain (sic), correspondant au trente avril mil huit cent trois, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Joannes Jason et Jeanne Joseph Gohy, décédés dans cette commune, le premier le cinq juillet mil huit cent vingt six, la seconde, le huit avril mil huit cent quatorze, comme il est constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six décembre mil huit cent trente et deux du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Bernardin et Jeanne Joseph Jason, sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe masculin inscrit sur les registres de l’état civil de cette commune, le douze février mil huit cent vingt huit, sous les noms et prénoms de Jean François Jason, lequel ils reconnaissent pour leur fils ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Mathieu Joseph Bernardin, ouvrier de fabrique, âgé de trente ans, frère du contractant, demeurant à Theux, de Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de trente six ans, de Hubert Joseph Nivette, cultivateur, âgé de quarante neuf ans, demeurants (sic) au dit Juslenville, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante six ans, demeurant au dit Theux, et après avoir donné lecture du présent acte, ont le contractant et trois des témoins signé avec nous, la contractante et Mathieu Joseph Bernardin, l’autre témoin, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 16/02/1831 Pierre Hubert MONVILLE et Marie Anne LAMBERT (n°09)

L’An mil huit cent trente un, du mois de février le seizième jour à six heures du soir, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Pierre Hubert Monville, maçon, âgé de trente trois ans, dix mois et cinq jours, demeurant à Spa, né au même lieu le onze avril an mil sept cent nonante sept, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le huit janvier dernier par Monsieur J. Caziaux, curé dudit Spa, légalisé par Monsieur Hayemal, Bourgmestre dudit Spa, à défaut d’inscription de cet acte dans les registres de l’état civil de cet acte dans les registres de l’état civil, fils majeur et légitime des défunts Pierre Monville et Gertrude Wislet, décédé au dit Spa, le premier le trente un décembre mil huit cent vingt six, la seconde le neuf décembre mil huit cent vingt huit, comme il en conste aussi par les extraits de leurs actes de décès délivré hier par Monsieur Misson-Leclerc, Assesseur, officier de l’état civil du dit Spa.

Et, Marie Anne Lambert, ménagère, âgée de vingt six ans, onze mois et douze jours, demeurant à Oneux, village dépendant de cette commune, né au même lieu, le quatorze ventose, l’an douze de la République Française, quatre mars mil huit cent quatre, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Henri Lambert cultivateur et de Jeanne Catherine Colson, ménagère, demeurant au dit Oneux, ci présents et consentants.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente janvier dernier aux deux heures de relevée et au dit Spa les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage délivré le quinze de ce mois par le dit Monsieur Misson-Leclerc, Assesseur de Spa.

Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Hubert Monville et Marie Anne Lambert sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Depresseux, cabaretier, âgé de septante un ans, de Lambert Hubert Mottet, Boutiquier, âgé de cinquante quatre ans, de Noël Joseph Demeuse, cordonnier, âgé de trente un ans, demeurant à Theux, et de Hubert Joseph Jacob, cordonnier, âgé de vingt quatre ans, demeurant à Marché cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le père de la contractante, et trois des témoins ont signé avec nous, les contractants, la mère de la contractante et Lambert Hubert Mottet, l’autre témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 11/05/1831 Urbain BERTRAND et Marie Françoise COPA (n°21)

L’An mil huit cent trente un, du mois de mai le onzième jour à trois heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Urbain Bertrand, journalier, âgé de soixante trois ans, quatre mois et onze jours, demeurant à Juslenville, cette commune, né à Saint André le premier janvier mil sept cent soixante huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf avril dernier par monsieur Jacques Joseph Verviers, Bourgmestre du dit Saint André, veuf de Marie Anne Barbe Smitz, décédée au dit Juslenville, le quatorze avril mil huit cent trente, comme il est constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Pierre François Bertrand et de Pétronnelle Simar décédés dans la commune de Mortier, le premier le vingt décembre mil sept cent nonante quatre, la seconde le dix sept juillet mil sept cent nonante cinq, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès, délivrés le vingt quatre avril dernier par Monsieur Levaux, Assesseur du dit Mortier.

Et Marie Françoise Copa, ménagère, âgé de quarante cinq ans, onze mois, demeurant au dit Juslenville, née au même lieu, le neuf juin mil sept cent quatre vingt cinq, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de la paroisse de cette commune, veuve de Louis Joseph Boniver, décédé au dit Juslenville, le onze juin mil huit cent vingt deux, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime d’Antoine Copa, cultivateur, demeurant à Pouillou Fourneau, dépendance de cette commune, ci présent et consentant et de feue Marie Thérèse Gaspar décédée au dit Pouillou Fourneau, le vingt un mars mil huit cent vingt neuf, comme il est constaté par le registre aux actes de décès de cette commune.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit de ce mois aux deux heures de relevée.

Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Urbain Bertrand et Marie Françoise Copa, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Henri Jason, ouvrier de fabrique, âgé de vingt sept ans, demeurant à Marché cette commune, de Jean Lambert Raxhon, charretier, âgé de quarante huit ans, de Lambert Antoine Depresseux, cordonnier, âgé de cinquante deux ans, et de Jean Nicolas Thomson, platineur, âgé de cinquante deux ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les dits Jean Henri Jason, Jean Lambert Raxhon et Jean Nicolas Thomson, trois des témoins, ont signé avec nous, les contractants, le père de la contractante et Lambert Antoine Depresseux l’autre témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 18/09/1831 Jean DEWAIDE et Marie Catherine Joseph PICQUEREAU (n°27)

L’An mil huit cent trente un, du mois de septembre le dix huitième jour à trois heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Dewaide, journalier, âgé de trente deux ans, neuf mois, demeurant dans la commune de Fraipont, né dans cette commune, le treize décembre mil sept cent nonante huit, comme il en conste, par les registres aux actes de naissance de la Chapelle de Pepinster, à défaut d’inscription, de cet acte dans les registres de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de Jean Dewaide, cultivateur, demeurant dans la commune de Fraipont, ci présent et consentant, et de feue Marie Margueritte Boulanger, décédée dans la commune d’Angleur le treize mars mil huit cent dix sept, comme il en conste par l’extrait son acte de décès délivré le vingt un juin mil huit cent vingt six, P.L. Derpent, Bourgmestre dudit Engleur.

Et Marie Catherine Joseph Picquereau, ménagère, âgée de trente un ans, huit mois et dix sept jours, demeurant à Fraity, hameau dépendant de cette commune, né au même lieu, le onze nivose an neuf de la République Française, correspondant au premier janvier mil huit cent un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de feu Mathieu Picquereau, décédés au dit Fraity, le vingt neuf novembre mil huit cent treize, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Marie Fassin, ménagère, demeurant au dit Fraity, ci-présente et consentante.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Fraipont les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage délivré le quinze septembre courant

Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Dewaide et Marie Catherine Joseph Picquereau, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Guillaume Dewaide, journalier, âgé de trente trois ans, demeurant à Becoen, commune de Fraipont, cousin germain du contractant, d’André Joseph Clairbois, garde champêtre, âgé de quarante quatre ans, de Jean Guilleaume Delhez, Boutiquier, âgé de trente un ans, demeurant à Theux, et de Melchior François Pétry, ouvrier de fabrique, âgé de quarante sept ans, demeurant à Ensival, et après avoir reçu lecture du présent acte, ont les contractants, et les quatre témoins signé avec nous, le père du contractant, et la mère de la contractante, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 18/01/1832 François Joseph MARTIN et Marie Elisabeth WIHET (n°04)

L’An mil huit cent trente deux, du mois de janvier le dix huitième jour à douze heures du matin, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur François Joseph Martin, cultivateur, âgé de vingt six ans, trois mois et vingt quatre jours, demeurant à Cornesse, né à Francorchamps le deux vendémiaire an quatorze de la République Française, correspondant au vingt quatre septembre mil huit cent cinq, comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance délivré le trois de ce mois par Monsieur H.J. Collins, Bourgmestre du dit Francorchamps, fils majeur et légitime de Joseph Martin, cultivateur, et de Marie Thérèse Chevremont, ménagère, ci présents et consentants, demeurant au dit Cornesse.

Et Marie Elisabeth Wihet, ménagère, âgée de vingt trois ans, trois mois et onze jours, demeurant à Pepinster, village dépendant de cette commune, née au même lieu, le sept octobre mil huit cent huit, comme il est constaté, par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Jean Joseph Wihet et Anne Catherine Thonon, décédés au dit Pepinster, le premier; le trente mars mil huit cent onze, la seconde le trente novembre mil huit cent trente un, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Cornesse les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage délivré par monsieur M.J. Closset Bourgmestre du dit Cornesse. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits François Joseph Martin et Marie Elisabeth Wihet sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Martin, menuisier, âgé de vingt quatre ans, demeurant à Cornesse, frère du contractant, de Jean Joseph Wihet, cultivateur, âgé de vingt sept ans, demeurant à Pepinster, frère de la contractante, de Lambert Guillaume Chevremont, cultivateur, âgé de quarante huit ans, oncle du contractant, demeurant à Esneux, et de Mathieu Joseph Rensonnet, tisserand, âgé de quarante deux ans, demeurant à Cornesse, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 02/02/1832 Thomas Joseph MONVILLE et Jeanne Catherine LAMBERT (n°07)

L’An mil huit cent trente deux, du mois de février le deuxième jour à neuf heures du matin, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Thomas Joseph Monville, journalier, âgé de vingt six ans, demeurant à Spa, né à La Reid, le six février mil huit cent six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf janvier dernier par Monsieur, J.H.Pirnay, Bourgmestre du dit Reid, fils majeur et légitime des défunts Pierre Monville, et Marie Gertrude Wislet, décédés au dit Spa, le premier le trente décembre mil huit cent vingt six, la seconde le neuf décembre mil huit cent vingt huit, comme il en conste aussi par les extraits de leurs actes de décès délivré le seize janvier dernier par Monsieur Dagly, assesseur, officier de l’état civil de Spa. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Jeanne Catherine Lambert, journalière, âgée de vingt deux ans, dix mois, demeurant à Oneux, village dépendant de cette commune, née au même lieu le cinq avril mil huit cent neuf, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Henri Lambert, tisserand et de Marie Catherine Colson, ménagère, demeurant au dit Oneux ci présents et consentants.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quinze et vingt deux janvier dernier aux deux heures de relevée et au dit Spa les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré par Monsieur Dagly, Assesseur. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Monville et Jeanne Catherine Lambert sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Lambert, tisserand, âgé de trente sept ans, frère de la contractante; demeurant à Oneux, de Joannes Lecloutier, platineur, âgé de cinquante neuf ans; de Pierre Joseph Noidrez, platineur, âgé de quarante six ans, demeurant à Theux, de Jérôme Wayaffe, cultivateur, âgé de trente neuf ans, demeurant à Sassor, cette commune, et après avoir donné lecture du présent acte, le père de la contractante, et deux des témoins ont signé avec nous, les contractants, la mère de la contractante, Henri Joseph Lambert et Joannes Lecloutier, les deux autres témoins, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 02/05/1832 François Xavier Joseph DELHEZ et Barbe Charlotte BONIVER (n°13) 

L’An mil huit cent trente deux, du mois de mai le deuxième jour à trois heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur François Xavier Joseph Delhez, foulon, âgé de dix neuf ans, sept mois, demeurant à Theux, né à Dison le trois octobre an mil huit cent et douze, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre février dernier, par Monsieur Lejeune Debar Bourgmestre du dit Dison, fils mineur et légitime de Jacques Joseph Delhez, Maître foulon, demeurant à Marché, village dépendant de cette commune ci présent et consentant et de feu Pétronille Paschal, décédée au dit Dison le vingt neuf septembre mil huit cent vingt deux, comme il est aussi constaté par l’extrait de son acte de décès délivré par le dit Monsieur Lejeune DeBar, Bourgmestre. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;

Et Barbe Charlotte Boniver, couturière, âgée de vingt un ans, neuf mois et huit jours, demeurant à Theux, née au même lieu le vingt quatre juillet mil huit cent dix, come il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Jean François Boniver, décédé au dit Theux le quatorze mars mil huit cent vingt huit, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Claire Miner, ménagère, demeurant au susdit Theux, ci présente et consentante.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six février et quatre mars dernier aux deux heures de relevée Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits François Xavier Joseph Delhez et Barbe Charlotte Boniver sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Guillaume Delhez, Boutiquier, âgé de trente trois ans, de Jacques Joseph Delhez, tanneur, âgé de vingt neuf ans, frères du contractant, de Jean François Albert Jason, platineur, âgé de vingt un ans, cousin germain de la contractante, et de Charles Ferdinand Boniver, platineur, âgé de vingt quatre ans, aussi cousin germain de la contractante, demeurant tous à Theux, et après voir reçu lecture du présent acte, les contractants, a mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, le père du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 11/07/1832 Charles Léonard Ferdinand BONIVER et Marie Catherine JEHIN (17)

L’An mil huit cent trente deux, du mois de juillet le onzième jour à six heures du soir, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Charles Léonard Ferdinand Boniver, platineur, âgé de vingt quatre ans, sept mois, demeurant à Theux, né au même lieu le neuf décembre mil huit cent et sept comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils mineur et légitime de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, et de Marie Charlotte Servais, ménagère, demeurant au dit Theux, ci présents et consentants. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Jehin, ménagère, âgée de vingt un ans, quatre mois, demeurant à Theux; née au même lieu, le treize mars mil huit cent et onze; comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Guillaume Joseph Jehin,, décédé au dit Theux, le vingt quatre juin mil huit cent trente un, comme il en conste aussi par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Anne Louise Monay, couturière, demeurant au susdit Theux, ci présente et consentante.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre juin dernier et premier de ce mois aux deux heures de relevée Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Charles Léonard Ferdinand Boniver et Marie Catherine Jehin sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Léonard Boniver, platineur, âgé de vingt deux ans, demeurant à Theux, frère du contractant, de Laurent Joseph Jehin, serrurier, âgé de trente trois ans, demeurant à Ensival, frère de la contractante, de François Joseph Servais, boulanger, âgé de vingt six ans, cousin germain du contractant, et de Nicolas Joseph Lecart, charon, âgé de trente deux ans, demeurant à Theux et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère, du contractant, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 17/10/1832 Hubert Joseph GUSTIN et Marie Jeanne LEPIQUEUR (n°28)

L’An mil huit cent trente deux, du mois d’octobre le dix septième jour à quatre heures de relevée, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hubert Joseph Gustin, laineur, âgé de vingt un ans, six mois, demeurant à Theux, né au même lieu, le quinze avril mil huit cent et onze, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fils mineur et légitime de feu Nicolas Joseph Gustin, décédé au dit Theux, le premier septembre, mil huit cent vingt sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès pour la même année, et de Marie Jeanne Lepersonne, journalière, demeurant au dit Theux, ci présente et consentante.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Lepiqueur, ouvrière de fabrique, âgée de vingt quatre ans, huis mois et quatorze jours, demeurant à Theux, née au même lieu, le trois février mil huit cent huit, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure, naturelle de Marie Elisabeth Lepiqueur, journalière, demeurant au dit Theux, ci présente et consentante.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente septembre dernier et sept de ce mois aux deux heures de relevée Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Gustin et Marie Jeanne Lepiqueur sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Gonay, boucher, âgé de quarante neuf ans, oncle par alliance du contractant, de Jean Pierre Fondeur, journalier, âgé de trente ans, de Nicolas Gustin, journalier, âgé de vingt neuf ans, et de Thomas Joseph Depresseux, tailleur d’habits, âgé de vingt deux ans, demeurant dans cette commune et après avoir reçu lecture du présent acte, la mère de la contractante, et Thomas Joseph Depresseux, ont signés avec nous, les contractants, la mère du contractant, et les trois autres témoins ont déclarés ne savoir le faire.

 

 

 

M 28/11/1832 Thomas Joseph JEHIN et Marie Anne FASSIN (n°35)

L’An mil huit cent trente deux, du mois de novembre le vingt huitième jour à cinq heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Thomas Joseph Jehin, Tisserand, âgé de vingt sept ans, sept mois, demeurant à Theux, né au même lieu, le dix floréal, an treize de la république française, correspondant au trente avril mil huit cent cinq, comme il est constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de feu Thomas Joseph Jehin, décédé à Theux le quinze janvier mil huit cent neuf, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Marie Joseph Guilleaume, ménagère demeurant au même lieu, ci présente et consentante.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne Fassin, servante, âgée de vingt neuf ans, huit mois et vingt cinq jours, demeurant à Theux, née dans la commune, de la Reid le onze ventose an onze ère républicaine, correspondant au deux mars mil huit cent trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt trois de ce mois par Monsieur H.B. Hubin, assesseur de la commune de La Reid, fille majeure et légitime des défunts Antoine Joseph Fassin et Marie Catherine Letiexhe, décédé au dit Reid, le premier le vingt sept avril mil huit cent trente la seconde le vingt quatre janvier mil huit cent et huit, comme il en conste, également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le vingt trois du courant par le dit Monsieur Hubin.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq de ce mois aux deux heures de relevée Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Jehin et Marie Anne Fassin, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Jehin, cordonnier, âgé de vingt cinq ans, de Jean François Fender, Charpentier, âgé de trente ans, de Joseph Warichet, serrurier, âgé de septante huit ans et de Modeste Capitaine, cordonnier, âgé de vingt un ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante, et la mère du contractant ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 17/04/1833 Mathieu Joseph RENARD et Marie Catherine GODER (n°07)

L’An mil huit cent trente trois, du mois d’avril le dix septième jour à quatre heures et demie après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Mathieu Joseph Renard, fileur par mécaniques, âgé de trente un ans, demeurant à Spixhe, village dépendant de cette commune, né au même lieu, le huit thermidor, an dix de la République Française, correspondant au vingt sept juillet mil huit cent deux, comme il en conste par les registres aux actes de naissance de cette commune, veuf de Marie Joseph Moureau, décédée au dit Spixhe, le vingt trois juillet mil huit cent vingt neuf, comme il en conste par les registres aux actes de décès de cette commune pou la même année, fils majeur et légitime de Mathieu Joseph Renard, journalier, demeurant au dit Spixhe, ci présent et consentant et de Jeanne Renson, ménagère, demeurant au même lieu, qui a donné son consentement, au présent mariage, par acte par brevet avenu devant Maître Michel Antoine, Notaire à Theux, le douze de ce mois, enregistré à Spa le treize.

Et Marie Catherine Goder, journalière, âgée de vingt huit ans, demeurant à Rainonfosse, hameau dépendant de cette commune, née au même lieu, le vingt deux germinal an treize de la République Française, correspondant au douze avril mil huit cent cinq, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Jean Goder, et Marie Jeanne Dheure, décédés au même lieu, le premier le deux octobre mil huit cent vingt trois, la seconde le vingt trois octobre mil huit cent vingt quatre, comme il en conste également par les registres aux actes de décès de cette commune, pour les mêmes années. .

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un mars dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Mathieu Joseph Renard et Marie Catherine Goder sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Joseph Stassen, fileur par mécaniques, âgé de trente sept ans, beau frère du contractant, de Melchior François Langlois, ouvrier de fabrique, âgé de trente deux ans, demeurant au dit Spixhe, de Hubert Joseph Lemoine, Boutiquier, âgé de trente un ans, et de Jean Joseph Jehin, maître maçon, âgé de quarante sept ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le père du contractant et trois des témoins ont signé avec nous, les contractants et Melchior François Langlois, l’autre témoin ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 29/06/1833 Hubert Joseph JASON et Catherine Elisabeth CLOSSET (n°16)

L’An mil huit cent trente trois, du mois de juin le vingt neuvième jour à cinq heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hubert Joseph Jason, ouvrier de fabrique, âgé de vingt six ans, demeurant à Juslenville, village dépendant de cette commune, né au même lieu, le dix huit mai mil huit cent sept, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de Jean François Jason, journalier, et de Jeanne Foyr, ménagère, demeurant au même lieu, ci présents et consentants.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Catherine Elisabeth Closset, tisserande, âgée de vingt six ans, demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt trois mai mil huit cent sept, comme il en conste également par le registre aux actes de Naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Jacques Joseph Closset, tisserand et de Jeanne Joseph Louis, ménagère, demeurant au même lieu, ci présents et consentants.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois de ce mois aux deux heures de relevée Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Jason et Catherine Elisabeth Closset sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Counet, cultivateur, âgé de quarante un ans, beau frère du contractant, de Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de vingt sept ans, de Thomas Joseph Depresseux, tailleur d’habits, âgé de vingt deux ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de quarante neuf ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, les père et mère du contractant, la mère de la contractante et Hubert Joseph Counet, l’autre témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 14/08/1833 Nicolas Joseph LECART et Anne Louise JEHIN (n°21)

L’An mil huit cent trente trois, du mois d’août le quatorzième jour à quatre heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Nicolas Joseph Lecart charon (sic), âgé de trente trois ans un mois et quinze jours, demeurant à Hodbomont, village dépendant de cette commune, né au même lieu, le dix Messidor an huit, de la République Française, correspondant au vingt neuf juin, mil huit cent, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de feu Gaspar Lecart, décédé au dit Hodbomont, le vingt un mars mil huit cent huit, comme il est constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Margueritte Close, ménagère demeurant au même lieu, ci présente et consentante.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Anne Louise Jehin, couturière, âgée de vingt neuf ans, deux mois, demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt quatre prairial an douze de la République Française, correspondant au treize juin mil huit cent quatre, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de feu Guilleaume Joseph Jehin, décédé au dit Theux, le vingt deux juin mil huit cent trente un, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Anne Louise Monay, couturière, demeurant au même lieu, ci présente et consentante.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas Joseph Lecart et Anne Louise Jehin, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Hubert Lecart, cultivateur, âgé de cinquante ans, oncle du contractant, de Henri Florentin, Degive, menuisier, âgé de trente trois ans, beau frère du contractant, demeurant au dit Hodbomont, de Laurent Joseph Jehin, serrurier, âgé de trente cinq ans, frère de la contractante demeurant à Ensival et de Jean Joseph Jehin, Maître maçon, âgé de quarante sept ans, oncle de la contractante, demeurant au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 24/08/1833 Joseph DIEUPART et Marie Claire GOHY (n°22)

L’An mil huit cent trente trois, du mois d’août le vingt quatrième jour à cinq heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Joseph Dieupart, journalier, âgé de trente un ans, dix mois demeurant à Banneux, commune de Louveigné, né au même lieu, en octobre mil huit cent un, comme il en conste par l’acte de notoriété reçu par le juge de paix du canton de Louveigné, le dix sept juillet mil huit cent trente trois, enregistré au dit Louveigné, le trente du même mois, folio septante cinq, volume six, an quatre/. Signé./ A. Urbain. Son acte de naissance conformément au vœu des articles septante, septante un et septante deux du code civil fille majeure et légitime des défunts Lambert Dieupart et Marie Anne Pauly, décédé dans la commune de Louveigné, le premier le vingt six août mil huit cent vingt cinq, la seconde le treize septembre mil huit cent trente deux comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivré le seize courant du par Monsieur Jean Mathieu Heuse, assesseur, officier de l’état civil du dit Louveigné. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;

Et Marie Claire Gohy, journalière, âgée de vingt quatre ans, demeurant à Ronde Haye, village dépendant de cette commune, le quatre août, mil huit cent neuf, comme il est aussi constaté par el registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Noé Gohy, journalier, demeurant au dit Ronde Haye, ci présent et consentant, et de Anne Joseph Carpriaux, sans profession, demeurant au même lieu, qui n’a pu se rendre à l’hôtel de ville pour donner son consentement au présent mariage comme étant dans un état de démence.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze de ce mois aux deux heures de relevées et au dit Louveigné les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le seize de ce mois par le dit Monsieur Heuse. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées de l’article cent quarante neuf du chapitre premier du titre cinq du code civil intitulé du mariage qui dit Si l’un des deux est mort ou s’il est dans l’impossibilité de manifester sa volonté, le consentement de l’autre suffit, du chapitre six du même titre et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternelle (sic) pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Joseph Dieupart et Marie Claire Gohy, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Dieupart, colporteur, âgé de quarante trois ans, frère du contractant, demeurant à Theux, de Jean Lambert Heuskin, journalier, âgé de quarante neuf ans, oncle de la contractante, demeurant à la grande place, cette commune, de François Joseph Walrand, cultivateur, âgé de trente six ans, et de Jean Joseph Mathonnet, cordonnier, âgé de vingt cinq ans, demeurant au dit Ronde Haye et après avoir reçu lecture du présent acte, le dit François Joseph Walrand et Jean Joseph Mathonnet ont signé avec nous, les contractants, le père de la contractante, et les autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 25/09/1833 Jean Hubert GILLIS et Marie Joseph DETRIXHE (n°25)

L’An mil huit cent trente trois, du mois de septembre le vingt cinquième jour à quatre heures après midi, par devant nous Gilles Joseph Jacob, premier assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Gillis, domestique, âgé de quarante un ans, deux mois et vingt jours, demeurant à Theux, né à Malmédy, le cinq juillet mil sept cent nonante deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix février mil huit cent treize, par Monsieur J.G. Delvaux, Maire du dit Malmédy, fils majeur et légitime des défunts Jean Wilhelm Gillis, et Marie Elisabeth Brugard, décédés au dit Malmédy, le premier le huit juin mil sept cent nonante trois, la seconde, le dix février mil huit cent dix, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le onze septembre courant par Monsieur Faymonville, Officier de l’état civil du dit Malmédy.

Et Marie Joseph Detrixhe, cultivatrice, âgée de vingt neuf ans, deux mois et treize jours, demeurant à Theux, née au même lieu, le vingt deux Messidor, an douze de la République Française, correspondant au douze juillet mil huit cent quatre, comme il est aussi constaté par les registres aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Léonard Detrixhe, cultivateur, et de Marie Charlotte Jehin, ménagère demeurant au dit Theux, ci présents et consentants.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quinze et vingt deux de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternelle (sic) pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Gillis et Marie Joseph Detrixhe, sont unis par le mariage, De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Legros, cultivateur, âgé de vingt huit ans, de François Legros, cultivateur, âgé de vingt six ans, cousins germains du contractant, demeurant au dit Malmédy, de Jean Léonard Joseph Detrixhe, cultivateur, âgé de vingt huit ans, frère de la contractante, et de Barthelemy Quaré, Aubergiste, âgé de cinquante trois ans, demeurant au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le père de la contractante, a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 30/11/1833 Gilles Joseph JACOB et Claire Joséphine DEPRESSEUX (n°31)

L’An mil huit cent trente trois, du mois de novembre le trentième jour à deux heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement Monsieur Gilles Joseph Jacob, géomètre, âgé de vingt quatre ans, dix mois et douze jours, demeurant à Theux, né au même lieu, le dix huit janvier mil huit cent neuf, comme il en conste par le registre aux actes de naissances, de cette commune, pour la même année, fils mineur et légitime de Gilles Joseph Jacob, géomètre, et de Jeanne Joseph Boniver, ménagère, demeurant au dit Theux, ci présents et consentants.

Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Mademoiselle Claire Joséphine Depresseux, sans profession, âgée de vingt neuf ans, onze mois et onze jours, demeurant au susdit Theux, née au même lieu, le vingt sept frimaire an douze de la République Française, correspondant au dix neuf décembre mil huit cent trois, comme il en conste également par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de feu Monsieur Louis Nicolas Depresseux, décédé au dit Theux, le six août mil huit cent seize, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Madame Jeanne Catherine Cléban, Rentière, demeurant au susdit Theux, qui a donné son consentement au présent mariage, par acte par brevet avenu devant maître Michel Antoine, Notaire à Theux, le vingt sept de ce mois, enregistré à Spa, le même jour, volume trente quatre folio cent onze, recto case six, /.signé ;/ Forgeur.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix sept et vingt quatre de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Gilles Joseph Jacob, et Claire Joséphine Depresseux, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Mathieu Joseph Boniver, maître menuisier, âgé de trente sept ans, oncle du contractant, de Jean Michel Adolphe Depresseux, Marchand tanneur, âgé de trente quatre ans, de Jean Louis Saturnin Depresseux, marchand tanneur, âgé de vingt six ans, frères de la contractante, et de Corneil François Dethier, conducteur des Mines âgé de trente un ans, demeurant au susdit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 08/01/1834 Henri Joseph DEPAIRON et Catherine Alexandrine CORNE (n°01)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de janvier le huitième jour à onze heures du matin, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, par arrêté de Monsieur le Bourgmestre de cette commune en date du sept octobre mil huit cent trente trois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Henri Joseph Depairon, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, un mois, quinze jours, demeurant à Sohan, hameau dépendant de cette commune, né à Poleur le vingt quatre novembre mil huit cent huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze décembre dernier par Monsieur, J.P. Leporck, Assesseur, officier de l’état civil dudit Poleur, fils majeur et légitime de Pierre Joseph Depairon, cultivateur demeurant au dit Sohan, ci présent et consentant, et de feue Marie Jeanne Ponsard, décédée à Petit Rechain, le onze février mil huit cent trente deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quinze décembre dernier par Monsieur E. Bastin, Bourgmestre du dit petit Rechain. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Catherine Alexandrine Corne, cultivatrice, âgé de vingt cinq ans, demeurant à Mont, village dépendant de cette commune, née au même lieu le dix janvier mil huit cent neuf, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de feu Lambert Joseph Corne, décédé au dit Mont, le huit avril mil huit cent vingt huit, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Catherine Alexandrine Quaré ménagère, demeurant au même lieu, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt neuf décembre dernier et cinq du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Henri Joseph Depairon et Marie Alexandrine Corne sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Noël Joseph Depairon, cultivateur âgé de trente neuf ans, demeurant à Chinheid cette commune, de Jean Joseph Depairon, cultivateur âgé de vingt sept ans, demeurant dans la commune de petit Rechain, frères du contractant, de Jean Lambert Parotte, cultivateur, âgé de trente un ans, demeurant à Oneux, cette commune, cousin germain de la contractante et de Joseph Devivier, tailleur de pierres, âgé de quarante quatre ans, demeurant au dit Mont, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, le père du contractant, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, le contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 09/01/1834 Jean Léonard Joseph DETRIXHE et Marie Anne Claire BONIVER (n°02)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de janvier le neuvième jour à trois heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Léonard Joseph Detrixhe, cultivateur, âgé de vingt huit ans, deux mois et vingt jours, demeurant à Theux, né au même lieu, le vingt neuf vendémiaire, an quatorze de la république française, correspondant au vingt octobre mil huit cent cinq, comme il en conste par le registre aux actes de naissances, de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de Léonard Detrixhe, cultivateur et de Marie Charlotte Jehin, ménagère demeurant au même lieu, ci présent et consentant. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;Et, Marie Anne Claire Boniver, ménagère, âgée de vingt huit ans, deux mois et sept jours, demeurant au dit Theux, née au même lieu, le onze brumaire an quatorze, de la République Française, correspondant au deux novembre mil huit cent cinq, comme il en conste également, par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de feu Jean François Joseph Boniver, décédé au susdit Theux, le treize mars mil huit cent vingt huit, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Anne Claire Miner, ménagère demeurant au même lieu, ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt neuf décembre dernier et cinq du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Léonard Joseph Detrixhe et Marie Anne Claire Boniver sont unis par le mariage.. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Hubert Gilis, Domestique, âgé de quarante un ans, Beau frère par alliance du contractant, de François Xavier Joseph Delhez, foulon, âgé de vingt un ans, Beau frère par alliance de la contractante, de Jean François Albert Jason, poëlier, âgé de vingt trois ans, cousin germain de la contractante, et de Laurent Maximilien de Hansez, écrivain âgé de vingt un ans, demeurant tous au dit Theux et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère du contractant, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le père du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 05/02/1834 Jean Joseph WIHET et Marie Elisabeth JASON (n°07)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de février le cinquième jour à trois heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Joseph Wihet, meunier, âgé de vingt huit ans, onze mois et quatorze jours, demeurant dans la commune de Louveigné, né à Pepinster, cette commune, le trente pluviose an treize de la république Française, correspondant au dix neuf février, mil huit cent cinq, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Jean Joseph Wihet et Anne Catherine Thonon, décédé au dit Pepinster, le premier le vingt neuf mars mil huit cent onze, la seconde le vingt huit novembre mil huit cent trente un comme il en conste par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Mademoiselle Marie Elisabeth Jason, sans profession, âgée de vingt deux ans, quatre mois, et treize jours, demeurant à Juslenville, village dépendant de cette commune née au même lieu le vingt trois septembre mil huit cent onze, comme il en conste également par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Adam François Jason, et Jeanne Marie Balthasar décédés au dit Juslenville, le premier le vingt trois juin mil huit cent vingt deux, la seconde le vingt neuf décembre mil huit cent douze, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six janvier dernier et deux février courant aux deux heures de relevée et au dit Louveigné les mêmes jours par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par Monsieur J.M. Heuse, Assesseur Ofiicier de l’état civil de la commune de Louveigné. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’ils n’ont plus ni aïeuls, ni aïeules, tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Wihet et Marie Elisabeth Jason sont unis par le mariage.. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs François Joseph Martin, cultivateur, âgé de vingt huit ans, beau frère par alliance du contractant, de Mathieu Franck, tisserand, âgé de quarante quatre ans, de Henri Lambert Joseph Lambion, fabricant de draps âgé de trente huit ans, et de Barthelemi Bottin, cultivateur, âgé de quarante huit ans, demeurant au dit Pepinster, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 16/04/1834 Dieudonné Hubert HOUBEAU et Marie Lambertine SIMKAY (n°15)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois d’avril le seizième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Dieudonné Hubert Houbeau, Boulanger, âgé de vingt huit ans, demeurant à Theux, né au même lieu, le vingt huit avril mil huit cent six, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de feu Etienne Houbeau, décédé au dit Theux, le vingt deux octobre mil huit cent dix huit, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marguerite Jehin, ménagère demeurant au même lieu, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Lambertine Simkay, couturière, âgée de vingt sept ans, sept mois, demeurant au susdit Theux, née au même lieu, le dix sept septembre mil huit cent six, comme il en conste aussi par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Jean Joseph Simkay, et Marie Catherine Mazure, décédés au susdit Theux, le premier le six avril mil huit cent six, la seconde, le vingt six janvier mil huit cent vingt huit, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune, pour es mêmes années. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize avril courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, de l’article cent quarante neuf du chapitre premier du titre cinq du code civil et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Dieudonné Hubert Houbeau et Marie Lambertine Simkay sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Houbeau cultivateur, âgé de trente sept ans, demeurant à Juslenville cette commune frère du contractant, de Etienne Joseph Bourguignon, Maréchal Ferrant, âgé de vingt cinq ans, neveu du contractant, de Simon Jean Baptiste Michotte, négociant, âgé de trente deux ans, et de Hubert Joseph Lemoine, négociant, âgé de trente un ans, demeurant au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants la mère du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 07/05/1834 Mathieu Joseph MACKAU et Angélique DEMAIREUX (n°18)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de mai le septième jour à quatre heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Mathieu Joseph Mackau, maçon, âgé de trente quatre ans, dix mois, demeurant à Spa né à Olne, le vingt Messidor, An sept, air Républicain, (sic) correspondant au huit Juillet mil sept cent nonante neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le deux janvier mil huit cent trente trois par Monsieur Spirlet, Bourgmestre dudit Olne, fils majeur de Gilles Joseph Mackau, maçon demeurant au dit Spa, comme il en conste par l’acte de reconnaissance avenu devant le juge de paix du canton de spa le quatre avril mil huit cent trente quatre, dont l’extrait a été délivré par J.N.J. Depresseux, commis greffier, ci présent et consentant et de feue Anne Joseph Bonjean, décédée au susdit Spa le vingt six septembre mil huit cent neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le huit avril dernier par Monsieur Jean Gérard Dagly Assesseur, Officier de l’état civil de Spa. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Angélique Demaireux, couturière, âgée de vingt ans, huit mois, demeurant à Spixhe, village dépendant de cette commune, née au même lieu, le deux septembre mil huit cent treize, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille mineure et légitime de Pierre Joseph Demaireux, journalier et de Margueritte Louis Nantulle, ménagère, demeurant au même lieu ci-présent et consentant. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept avril dernier et quatre mai courant aux deux heures de relevée et au dit Spa les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par le dit Monsieur Dagly. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, de et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Mathieu Joseph Mackau et Angélique Demaireux, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Nantulle, cultivateur, âgé de cinquante cinq ans, de Nicolas Nantulle, cultivateur, âgé de cinquante trois ans, oncles de la contractante, de Jean Joseph Louon, ouvrier de fabrique, âgé de trente huit ans, demeurant au dit Spixhe, et de Nicolas Plumus, peintre, âgé de vingt huit ans, demeurant au dit Spa, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous. Le père du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 18/06/1834 Jean Hubert WISLET et Catherine Henriette Josephine JETTEUR (n°20)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de juin le dix-huitième jour à quatre heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Wislet, tailleur d’habits, âgé de vingt trois ans, deux mois, dix huit jours, demeurant à Spa, né au même lieu, le trente un mars mil huit cent onze, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le seize de ce mois par Monsieur J.J. Rouma, Bourgmestre et Officier de l’état civil de la commune de Spa, fils mineur et légitime de feu Gaspar Wislet décédé au dit Spa le deux septembre mil huit cent trente deux, comme il en conste aussi par l’extrait de son acte de décès délivré le seize de ce mois par le dit Monsieur Rouma et de Cécile Siméon, ménagère, demeurant au même lieu, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Catherine Henriette Joséphine Jetteur, couturière, âgée de vingt quatre ans, quatorze jours, demeurant à la route de Spa, hameau dépendant de cette commune, née à Battice le quatre juin mil huit cent six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le six de ce mois par Monsieur J.G. Lekeu, Bourgmestre de la commune de Battice, fille majeure et légitime de feu Henri Joseph Jetteur, décédé au dit Battice le six novembre mil huit cent onze, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le six (sic) de ce mois par le dit Monsieur Lekeu, et de Marie Catherine Bodas, ménagère, demeurant au dit Route de Spa, ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Spa, les mêmes jours comme il est également constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par le dit Monsieur Rouma..Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, de l’article cent quarante neuf du chapitre premier du titre cinq du code civil et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Wislet et Catherine Henriette Josephine Jetteur sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Mathieu Gerlaxhe, de Jean François Lejeune, cordonnier, âgé de vingt sept ans, de Jean Joseph Leroy, peintre, âgé de vingt trois ans, demeurant à Spa, et Laurent Maximilien de Hansez, secrétaire de l’administration de cette commune, âgé de vingt un ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir le faire. Le mot cordonnier interligné est approuvé.

 

 

 

M 20/08/1834 Jean Hubert WAGENER et Marie Lambertine GOHY (n°29)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois d’août le vingtième jour à quatre heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Wagener, journalier, âgé de vingt quatre ans, sept mois, demeurant a Creppe, commune de Spa, né au même lieu, le dix huit janvier mil huit cent dix, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le six de ce mois, par Monsieur Dagly, Assesseur, officier de l’état civil de la commune de Spa, fils mineur et légitime de Cornélis Wagener cultivateur, et de Marie Anne Chalsèche, ménagère, demeurant au même lieu, ci présent et consentant. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Lambertine Gohy, ménagère, âgée de vingt cinq ans, onze mois, demeurant à Ronde Haye, village dépendant de cette commune, née au même lieu, le dix sept septembre mil huit cent huit, comme il en conste également par le registre aux actes de l’Etat civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Arnold Gohy, cultivateur et de Marie Lisies ménagère demeurant au dit Rondehaye, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept juillet dernier aux deux heures de relevée et au dit Spa, les dimanches vingt sept juillet dernier et trois du courant comme il est également constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré le six du courant par le dit Monsieur Dagly. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, de l’article cent quarante neuf du chapitre premier du titre cinq du code civil et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Wagener et Marie Lambertine Gohy sont unis par le mariage De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Bertrand Joseph Gohy, cultivateur, âgé de trente cinq ans, frère de la contractante, demeurant au dit Ronde Haye, de Jacques Constant, journalier, âgé de vingt deux ans, demeurant au dit Spa, de Lambert Hubert Mottet, boutiquier, âgé de soixante deux ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de cinquante ans, demeurant à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, deux des témoins ont signé avec nous, les contactants, les père et mère du contractant, les père et mère de la contractante Jacques Constant et Lambert Hubert Mottet, les deux autres témoins ont déclaré ne savoir ne savoir le faire. Les mots surchargés à la cinquième ligne du présent acte, sont approuvés.

 

 

 

M 23/09/1834 Jean Martin GREGOIRE et Marie Anne HOUBEAU (n°33)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de septembre le vingt troisième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Martin Grégoire, journalier, âgé de trente un ans, neuf mois, demeurant à Stavelot, né à Malmédy, le deux nivose an dix de la république française, correspondant au vingt trois décembre mil huit cent deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le seize août dernier par Monsieur Le ginon, officier de l’état civil du dit Malmédy, fils majeur et légitime des défunts Christophe Nicolas Grégoire et Marie Barbe Bayard, décédés au dit Stavelot, le premier le quinze février mil huit cent vingt sept, la seconde le trois janvier mil huit cent trente trois, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le dit jour, seize août dernier, par Monsieur A. Dumont, échevin, officier de l’état civil du dit Stavelot. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Anne Houbeau, ménagère, âgée de trente neuf ans, sept mois et six jours, demeurant à Theux, née au même lieu, le quatorze mars mil sept cent nonante cinq, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de la paroisse de Theux reposant dans les archives de la commune du même nom, fille majeure et légitime de feu Etienne Houbeau, décédé au dit Theux, le vingt deux octobre mil huit cent dix huit, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année et de Marguerite Jehin, ménagère, domiciliée au même lieu, qui a donné son consentement ay présent mariage par acte en brevet avenue devant Maître Jean Nicolas Delrée, notaire à Theux, le vingt deux de ce mois, enregistré à Spa, le même jour vol.36 F. 17 n° case 3 reçu deux francs quinze centimes /.signé./ Parmentier. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente un août dernier et sept du courant aux deux heures de relevée et au dit Stavelot, les dimanches sept et quinze de ce mois aux neuf heures du matin, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le dix neuf du courant par le dit : Monsieur Dumont, échevin.. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, de l’article cent quarante neuf du chapitre premier du titre cinq du code civil et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules du coté maternel, pour consentir à son mariage, et avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Martin Grégoire et Marie Anne Houbeau, sont unis par le mariage De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Adam François Servais, tonnelier, âgé de cinquante six ans, beau frère de la contractante ; de Etienne François Bourguignon, maréchal Ferrant, âgé de vingt cinq ans, neveu de la contractante, de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, âgé de cinquante quatre ans, et de Jean Nicolas Bottin, tailleur d’habits, âgé de vingt quatre ans, demeurant tous au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 05/11/1834 Clément Joseph TOUSSAINT et Marie Jeanne HERTAY (n°37)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de novembre le cinquième jour à quatre heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Clément Joseph Toussaint, domestique, âgé de vingt neuf ans, sept mois, demeurant à Theux, né à Champlon, le onze foréal an treize, de la république Française, correspondant au trente avril mil huit cent cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt septembre mil huit cent trente un par Mr Bolle, greffier, du tribunal de première instance, de Marche, Province de Luxembourg, fils majeur et légitime des défunts Gilles Toussaint, et Marie Anne Lambert, décédés au dit Champlon, le premier le vingt neuf janvier mil huit cent vingt six, la seconde, le vingt neuf avril mil huit cent dix sept, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le dit jour vingt septembre mil huit cent trente un, par le dit Monsieur Bolle, greffier. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Hertay, journalière, âgée de vingt huit ans, cinq mois, demeurant à Oneux, hameau dépendant de cette commune, née au même lieu, le sept juin mil huit cent six, comme il est aussi constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Henri Joseph Hertay, journalier, et de Marie Jeanne Corne, ménagère, domiciliés au dit Oneux ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six octobre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Clément Joseph Toussaint et Marie Jeanne Hertay, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Hertay, journalier, âgé de cinquante sept ans, cousin de la contractante, de Jean François Detaille, cultivateur, âgé de quarante sept ans, demeurant au dit Oneux, de Servais Joseph Cornet, domestique, âgé de vingt un ans, et de Thomas Joseph Saive, tisserand âgé de vingt huit ans, domiciliés à Dison et après avoir reçu lecture du présent acte, le père de la contractante et deux des témoins ont signé avec nous, les contractants, la mère de la contractante ; Servais Joseph Cornet et Thomas Joseph Saive les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 12/11/1834 Jean Lambert GENON et Marie Charlotte THOMSON (n°41)

L’An mil huit cent trente quatre, du mois de novembre le douzième jour à trois heures et demie après-midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Lambert Genon, domestique, âgé de quarante ans huit mois, quinze jours, demeurant à Theux, né à Harre, grand duché de Luxembourg, le vingt huit février mil sept cent nonante quatre, comme il en conste par l’extrait de acte de naissance délivré le vingt mai mil huit cent vingt huit, par Monsieur H. Lecocq, Bourgmestre, officie de l’état civil du dit Harre, fils majeur et légitime des défunts Léonard Genon et Marguerite Fraipont, décédés le premier à Limerlé le huit juillet mil huit cent vingt un, la seconde à Lierneux le neuf mars mil huit cent treize, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés les onze mars mil huit cent trente quatre et sept décembre mil huit cent trente deux, par Messieurs J.B. Parmentier, Bourgmestre de Limerlé, H.S.A. Latour, Assesseur de Lierneux. ; Et Marie Charlotte Thomson, cultivatrice, âgée de vingt sept ans, deux mois, vingt jours, demeurant au dit Theux, née au même lieu le vingt un août mil huit cent sept comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année fille majeure et légitime de feu Pierre Hubert Thomson décédé au dit Theux, le quatorze octobre mil huit cent trente deux comme il en conste aussi par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année et de Marie Charlotte Thomson, ménagère, demeurant au même lieu ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six octobre denier et deux du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Lambert Genon et Marie Charlotte Thomson sont unis par le mariage De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jacques Joseph Picquereau, journalier, âgé de quarante sept ans, de Lambert Antoine Depresseux, cordonnier, âgé de cinquante six ans, de Thomas Joseph Depresseux, tailleur d’habits, âgé de vingt trois ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de demeurant tous au susdit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, et deux des témoins ont signé avec nous, le contractant, la mère de la contractante, et les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire. Les mots et à la future épouse, interlignés sont approuvés.

 

 

 

M 27/04/1835 Louis Joseph WAYAFFE et Marie Lorette BRIAIMONT (n°10)

L’An mil huit cent trente cinq, du mois d’avril le vingt septième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jean Louis Depresseux, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, en l’absence de notre assesseur délégué à cet effet, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Servais Joseph Wayaffe, journalier, âgé de vingt huit ans, dix mois et quatorze jours, domicilié à Jevoumont, village dépendant de cette commune, né au même lieu le treize juin mil huit cent six, comme il en conste, également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de Jacques François Wayaffe, journalier, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant, et de Marie Joseph Michel, sans profession, domiciliée au même lieu, qui n’a pu se rendre à l’hôtel de ville, pour donner son consentement au présent mariage, comme étant aveugle et infirme. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Lorette Briaimont, journalière, âgée de vingt sept ans, dix mois et cinq jours, demeurant à Oneux, village dépendant aussi de cette commune, née au même lieu, le vingt deux juin mil huit cent sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’Etat civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Toussaint Briaimont, journalier et de Marie Claire Corne, ménagère, domiciliés au dit Oneux, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, de l’article cent quarante neuf du chapitre premier du titre cinq du code civil et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Servais Joseph Wayaffe et Marie Lorette Briaimont sont unis par le mariage.. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Bauduin Joseph Wayaffe, journalier, âgé de vingt cinq ans, frère du contractant, de Laurent Joseph Bertrand, cultivateur, âgé de trente trois ans, domiciliés au dit Jevoumont, de Jean Lambert Depresseux, cabaretier, âgé de septante cinq ans, et de Lambert Hubert Mottet, cabaretier, âgé de soixante deux ans, domiciliés à Theux, et après voir reçu lecture du présent acte, deux des témoins ont signé avec nous, les contractants, le père du contractant, les père et mère de la contractante, Beauduin Joseph Wayaffe et Lambert Hubert Mottet les deux autres témoins, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 17/06/1835 Martin Joseph FONTAINE et Marie Joseph Claire BONIVER (n°17)

L’An mil huit cent trente cinq, du mois de juin le dix-septième jour à six heures et demie du soir, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Martin Joseph Fontaine, chapelier, âgé de cinquante quatre ans, domicilié à Theux, né au même lieu, le dix neuf juin mil sept cent quatre vingt un comme il en conste par un ancien registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux reposant dans les archives de cette commune, veuf de Marie Joseph Barbusiau, décédée à Mons, le vingt quatre février mil huit cent vingt huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quinze mai dernier par Monsieur Binchandel, échevin, officier de l’état civil de la ville de Mons, fils majeur et légitime de François Fontaine, dont on ignore le lieu de son décès et celui de son dernier domicile comme il est constaté par la copie d’un acte de notoriété ci jointe, dressée à Liège, le vingt deux septembre mil huit cent huit, par Monsieur Jean Baptiste Deby, juge de paix du canton de Liège, quartier de l’Est, enregistré au dit Liège, le vingt trois septembre mil huit cent huit, /. Signé./ Canon, et de feue Jeanne Broquet, décédée au dit Liège le quatre septembre mil huit cent cinq, comme il en conste aussi par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt un mai dernier par Monsieur Seronx échevin officier de l’état civil du dit Liège.

Et Marie Joseph Claire Boniver, ménagère, âgée de vingt neuf ans, onze mois, trois jours, domiciliée au dit Theux, née au même lieu, le vingt cinq Messidor an treize de la république française, correspondant au quatorze juillet mil huit cent cinq, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, et de Marie Charlotte Servais, ménagère, domiciliés au même lieu, qui ont donné leur consentement au présent mariage par acte en brevet avenu devant Maître Antoine, notaire à Theux le six mai dernier, enregistré à Spa le lendemain, vol. 37, folio 62 vo cas six, /.signé./Depermentier. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Martin Joseph Fontaine et Marie Joseph Claire Boniver sont unis par le mariage. De tout nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Caro, maître serrurier, âgé de vingt huit ans, domicilié à Verviers, de Barthelemi Quaré, aubergiste, âgé de cinquante quatre ans, de Jean Guillaume Delhez, négociant, âgé de trente cinq ans, et de Jean Nicolas Joseph Depresseux, commis greffier, âgé de vingt sept ans, domiciliés au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 13/08/1835 Jean Hubert WERY et Anne Catherine WARRAND (n°21)

L’An mil huit cent trente cinq, du mois d’août le treizième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Wéry, tisserand, âgé de dix neuf ans, trois mois, neuf jours, domicilié à Pepinster, village dépendant de cette commune, né au même lieu, le vingt deux avril mil huit cent seize, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils mineur et légitime de Emmanuel Wéry, tailleur de pierres, et de Marie Catherine Heuse, ménagère, domiciliés au dit Pepinster, ci présents et consentants. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Anne Catherine Warrand, couturière, âgée de seize ans, quatre mois, neuf jours, domiciliée au dit Pepinster, née à Verviers, le vingt deux mars mil huit cent dix neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt un juillet dernier par Monsieur C. Warnotte, échevin, officier de l’état civil du dit Verviers, fille mineure et légitime de Henri Joseph Warrand, teinturier, et de Anne Joseph Thoumson, ménagère, domiciliés au dit Pepinster, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six juillet dernier et deux du courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Wéry et Anne Catherine Warrand sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Alexandre Drèze, tisserand, âgé de trente ans, beau frère par alliance du contractant, de Pascal Joseph Constant cultivateur, âgé de vingt quatre ans, de Jean François Agathe Wegnez, cultivateur, âgé de vingt deux ans, et de Henri Lambert Constant, cultivateur, âgé de vingt un ans, domiciliés au dit Pepinster, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, le père de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous. La mère du contractant, la mère de la contractante et Alexandre Drèze, l’autre témoin, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 28/11/1835 Bertrand Joseph GOHY et Anne Marie LEMAILLEUR (n°31)

L’An mil huit cent trente cinq, du mois de novembre le vingt huitième jour à six heures du soir, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Bertrand Joseph Gohy, cultivateur, âgé de trente neuf ans, neuf mois vingt quatre jours, domicilié à Ronde Haye, village dépendant de cette commune, né au même lieu le quatre février mil sept cent nonante six, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux reposant dans les archives de la commune du même nom, fils majeur et légitime de Arnold Gohy, cultivateur, domicilié au dit Ronde Haye, ci présent et consentant, et de Anne Marie Budges, sans profession, domiciliée au même lieu, qui n’a pu se rendre à l’hôtel de ville à Theux pour donner son consentement au présent mariage pour cause de maladie. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Anne Marie Lemailleur, cultivatrice, âgé de trente quatre ans, cinq mois, dix neuf jours, domiciliée à Pouillou Fourneau, hameau dépendant aussi de cette commune, née au même lieu le vingt prairial an neuf de la république française, correspondant au neuf juin mil huit cent un, comme il en conste également par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Jean Joseph Lemailleur, décédé au dit Pouillou Fourneau le vingt trois février mil huit cent trente quatre, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année et de Marie Françoise Delva, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Bertrand Joseph Gohy et Anne Marie Lemailleur, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Noël Joseph Gohy, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, frère du contractant, domicilié au dit Ronde Haye, de Jean Guillaume Warnotte, Maréchal Ferrant, âgé de vingt sept ans, de Lambert Hubert Mottet, Boutiquier, âgé de soixante trois ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de cinquante un ans, domiciliés à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et deux des témoins ont signé avec nous, la contractante, le père du contractant, la mère de la contractante Noël Joseph Gohy et Lambert Hubert Mottet les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 05/12/1835 Mathieu Joseph CHEFNEUX et Marie Thérèse BONIVER (n°32)

L’An mil huit cent trente cinq, du mois de décembre le cinquième jour à trois heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Mathieu Joseph Chefneux, maçon, âgé de vingt quatre ans, trois mois, vingt jours, domicilié à Rainonfosse, hameau dépendant de cette commune, né au même lieu, le seize (sic) mil huit cent onze comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Michel Joseph Chefneux, maçon, et de Marie Jeanne Detaille, ménagère, domiciliés au dit Rainonfosse ci présents et consentants. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Thérèse Boniver, couturière, âgée de vingt sept ans, onze mois, domiciliée à Theux, née au même lieu le onze décembre mil huit cent sept, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Jean François Boniver, décédé au dit Theux, le treize mars mil huit cent vingt huit, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Anne Claire Miner, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt deux et vingt neuf novembre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Mathieu Joseph Chefneux et Marie Thérèse Boniver sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Léonard James, instituteur, âgé de trente cinq ans, domicilié au dit Rainonfosse, Beau frère par alliance du contractant, de Jean Léonard Joseph Detrixhe, cultivateur, âgé de trente ans, beau frère par alliance de la contractante, de François Xavier Joseph Delhez, foulon, âgé de vingt trois ans, beau frère par alliance de la contractante, domiciliés à Theux, et Jean François Defawe, fabricant de draps, âgé de trente cinq ans, domiciliée à Spixhe, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

M 08/02/1836 François Joseph MAQUINAY et Marie Catherine LECHANOINE (n°02)

L’An mil huit cent trente six, du mois de février le huitième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur François Joseph Maquinay, cultivateur âgé de cinquante trois ans, quatre mois, quatre jours, domicilié à Juslenville, village dépendant de cette commune, né au même lieu le quatre octobre mil sept cent quatre vingt deux, comme il en conste par un registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux, reposant dans les archives de cette commune pour la même année, veuf de Marie Catherine Franquinet, décédée au même lieu, le huit mars mil huit cent vingt quatre, fils majeur et légitime des défunts Jean Joseph Maquinay et Marie Barbe Delcomminette, décédés à Sohan, cette commune, le premier le trente un juillet mil huit cent quinze, la seconde le vingt cinq octobre mil huit cent dix sept, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années ; Et Marie Catherine Lechanoine, cabaretière, âgée de quarante quatre ans, cinq mois, neuf jours, domiciliée à Theux, née au même lieu, le vingt neuf août mil sept cent nonante un, comme il est également constaté par les registres aux actes de naissances de la paroisse de Theux, reposant aussi dans les archives de cette commune, pour la même année, veuve de Jean Baptiste Jason, décédé au dit Juslenville, le treize février mil huit cent trente quatre, fille majeure et légitime de feu Jean Laurent Lechanoine, décédé au dit Theux le onze janvier mil sept cent nonante quatre, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années, et de Marie Gertrude Depresseux, ménagère, domiciliée au dit Theux, ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un janvier dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits François Joseph Maquinay et Marie Catherine Lechanoine sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Hubert Nivette, propriétaire âgé de soixante un ans, de Jacques Joseph Legentil, fileur par mécaniques, âgé de trente quatre ans, domiciliés au dit Juslenville, de Philippe Lambert Nicolas Depresseux, serrurier, âgé de trente sept ans, et de Jean Nicolas Joseph Depresseux, commis greffier, âgé de vingt huit ans, domiciliés au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 11/02/1836 Simon Joseph DELVILLE et Anne Margueritte JASON (n°03)

L’An mil huit cent trente six, du mois de février le onzième jour à une heure de relevée, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Simon Joseph Delville, journalier, âgé de trente huit ans, dix mois, domicilié à Aywaille, né à Esneux le vingt six germinal an cinq de la République française, correspondant au seize avril mil sept cent nonante sept, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept janvier dernier par Monsieur F.J. Godinas, Assesseur, officier de l’état civil de la commune d’Esneux, fils majeur et légitime des défunts Simon Delville et Eléonore Lehaire, décédés à Remouchamps, commune d’Aywaille, le premier le trois mars mil huit cent vingt, la seconde, le quatre mai, mil huit cent trente trois, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le quatorze janvier dernier par Monsieur J.J. Collard, Assesseur, officier de l’état civil de la commune d’Aywaille. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et

Anne Margueritte Jason, ouvrière de fabrique, âgée de vingt cinq ans, six mois, neuf jours, domiciliée à Juslenville, village dépendant de cette commune, née à Spixhe, aussi cette commune, le deux août mil huit cent dix, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Pascal François Jason, et Aili Joseph Cornet, décédés dans cette commune, le premier le vingt quatre mars mil huit cent treize, la seconde, le trente un janvier mil huit cent vingt, comme il en conste aussi par les registres aux actes de l’état civil de cette commune pour les mêmes années. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un janvier dernier aux deux heures de relevée et au dit Aywaille, les mêmes jours, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le trois de ce mois, par Monsieur Collard, Assesseur. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’ils n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Simon Joseph Delville et Anne Margueritte Jason, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs François Joseph Depresseux, menuisier, âgé de vingt deux ans, cousin germain de la contractante, domicilié à Theux, de Henri Lambert Constant, cultivateur, âgé de vingt deux ans, de Jean François Fanchamps, instituteur, âgé de quarante ans, et de Jean Joseph Magis, foulon, âgé de vingt deux ans, domicilié tous les trois à Pepinster cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et trois des témoins ont signé avec nous, la contractante et Jean Joseph Magis, l’autre témoin, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 21/07/1836 Jean Joseph PONDANT et Catherine Anne COLETTE (n°23)

L’An mil huit cent trente six, du mois de juillet le vingt unième jour à cinq heures et demie après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Joseph Pondant, foulon, âgé de trente sept ans, sept mois, trois jours, domicilié à Juslenville, village dépendant de cette commune, né au même lieu le vingt huit frimaire an sept de la république française, correspondant au dix huit décembre mil sept cent nonante huit, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Jean François Pondant et de Marie Thérèse Jason, décédés au dit Juslenville, le premier le douze juin mil huit cent vingt cinq, la seconde, le dix neuf décembre mil huit cent treize, comme il en conste également par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Catherine Anne Colette, ménagère, âgée de trente un ans, domiciliée au dit Juslenville, née au même lieu, le premier Messidor an treize de la République Française, correspondant au vingt juin mil huit cent cinq, comme il est également constaté par les registres aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Pierre Joseph Colette, cultivateur et de Catherine Cornet, ménagère, domiciliées, au susdit Juslenville, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Pondant et Catherine Anne Colette sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Thomas Joseph Lancereau, contremaître, âgé de quarante ans, beau frère du contractant, de Jean François Colette, menuisier, âgé de vingt neuf ans, frère de la contractante, de Thomas Joseph Beauve, Charpentier, âgé de quarante neuf ans, cousin germain du contractant et de Henri Joseph Jason, ouvrier en fer, âgé de vingt six ans, domiciliés tous au susdit Juslenville et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 08/09/1836 Thomas Joseph THOMSON et Marie Agnès BOUTET (n°29)

L’An mil huit cent trente six, du mois de septembre le huitième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jean Lambert Lincé, Assesseur délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Thomas Joseph Thomson, journalier, âgé de vingt quatre ans, cinq mois, dix huit jours, domicilié à Spixhe, village dépendant de cette commune, né à Theux le vingt mars mil huit cent douze, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et naturel de Anne Marie Thomson, journalière domiciliées au dit Theux, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et

Marie Agnès Boutet, cultivatrice, âgée de vingt quatre ans, trois mois, douze jours, domiciliée au dit Spixhe, née à Theux le vingt six mai mil huit cent douze, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Toussaint Boutet, cultivateur, et de Marie Anne Siquet, ménagère, domiciliés au dit Spixhe, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt huit août dernier et quatre de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Thomson et Marie Agnès Boutet sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Thomson, charron, âgé de vingt un ans, cousin du contractant, de Jacques ¨Picquereau, cabaretier, âgé de quarante six ans, de Jean Guilleaume Delhez, négociant, âgé de trente six ans, domiciliés tous les trois à Theux, et de Laurent Joseph Collard, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Spa, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père de la contractante et deux des témoins ont signé avec nous. La contractante, la mère du contractant, la mère de la contractante, Jacques Picquereau et Laurent Joseph Collard, les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire, les mots contractante la interlignés sont approuvés.

 

 

 

 

 

M 14/11/1836 Louis Joseph JASON et Marie Catherine CLOSSET (n°37)

L’An mil huit cent trente six, du mois de novembre le quatorzième jour à quatre heures après midi, par devant nous Jacques Louis Bertrand, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Louis Joseph Jason, ouvrier de fabrique, âgé de trente deux ans, quatre mois, domicilié à Juslenville, village dépendant de cette commune, né au même lieu le vingt huit Messidor an douze de la République Française, correspondant au dix sept juillet mil huit cent quatre, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Jean Jacques Jason, ouvrier en fer, domicilié au dit Juslenville, ci présent et consentant, et de feue Marie Catherine Jason, décédée au même lieu le vingt huit mars mil huit cent trente trois, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Closset, ménagère, âgée de vingt sept ans, quatre mois, deux jours, domicilié à Theux, né au même lieu, le douze juillet mil huit cent neuf, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Jacques Joseph Closset, tisserand, domicilié au dit Theux, ci présent et consentant, et de feue Jeanne Joseph Louis, décédée au même lieu le deux juin mil huit cent trente quatre, comme il est également constaté par le registres aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente octobre dernier et six de ce mois aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Louis Joseph Jason et Marie Catherine Closset sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Jason, ouvrier en fer, âgé de vingt six ans, frère du contractant, de Hubert Joseph Wathieu Simar, contremaître, âgé de trente sept ans, Beau frère par alliance du contractant, de Jean Joseph Wihet, Boulanger, âgé de trente un ans, cousin germain du contractant, domiciliés tous les trois au dit Juslenville, et de Laurent Maximilien de Hansez, secrétaire de cette commune, âgé de vingt quatre ans, domicilié au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 21/11/1836 Louis Joseph HAYETINE et Marie Margueritte GUSTIN (n°38)

L’An mil huit cent trente six, du mois de novembre le vingt unième jour à six heures du soir, par devant nous Jacques Louis Bertrand, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Louis Joseph Hayetine, laineur de draps, âgé de trente quatre ans, cinq mois, huit jours, domicilié à Theux, né au même lieu le vingt quatre prairial an dix de la république française, correspondant au treize juin mil huit cent deux, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de feu Antoine Hayetine, décédé au dit Theux, le dix neuf novembre mil huit cent seize, comme il en conste, également par le registres aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année et de Marie Anne Briscot, journalière, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Margueritte Gustin, ouvrière de fabrique, âgée de trente neuf ans, dix mois, domiciliée à Juslenville, village dépendant de cette commune, née à Pouillou Fourneau, aussi cette commune le sept pluviose an cinq de la République Française, correspondant au vingt six janvier mil sept cent nonante sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Nicolas Gustin et de Marie Barbe Closset, décédés dans cette commune, le premier le trente un août mil huit cent vingt sept, la seconde, le vingt février mil huit cent huit, comme il est aussi constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente octobre dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Louis Joseph Hayetine et Marie Margueritte Gustin sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Antoine Joseph Hayetine, journalier, âgé vingt huit ans, frère du contractant, de Jean Noël Lescure, chaudronnier, âgé de trente huit ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de cinquante deux ans, domiciliés tous les trois au dit Theux, et de Paul Joseph Darimont, fileur par mécaniques, âgé de quarante six ans, domicilié au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte, le dit Gaye a signé avec nous, les contractants, la mère de la contractante et les trois autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

 

M 01/02/1837 Gaspar Joseph CORNE et Marie Jeanne DECHENEUX (n°05)

L’An mil huit cent trente sept, du mois de février le premier jour à trois heures après midi, par devant nous Jacques Louis Bertrand, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Gaspar Joseph Corne, cultivateur, âgé de trente cinq ans, onze mois, neuf jours, domicilié à Mont, village dépendant de cette commune, né au même lieu le deux ventôse an neuf de la république française, correspondant au vingt un février mil huit cent un, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Lambert Joseph Corne et Catherine Alexandrine Quaré décédés au dit Mont, le premier le huit avril mil huit cent vingt huit, la seconde le quinze novembre mil huit cent trente six, comme il en conste également par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Decheneux, cultivatrice, âgée de trente ans, sept mois, dix huit jours, domiciliée au dit Mont, née au même lieu, le onze juin mil huit cent six, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Jean Gilles Decheneux, cultivateur et de Catherine Lardinois, ménagère, domiciliés au même lieu, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt deux et vingt neuf janvier dernier aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Gaspar Joseph Corne et Marie Jeanne Decheneux sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Corne, cultivateur, âgé de vingt un ans, frère du contractant, domicilié au dit Mont, de Barthelemi Quaré, aubergiste, âgé de cinquante six ans, oncle du contractant, domicilié au dit Theux, de Jean Baptiste Beauve, charpentier, âgé de trente cinq ans, beau frère de la contractante, domicilié à Juslenville, cette commune, et de Jean Jacques Decheneux, cultivateur, âgé de vingt six ans, cousin germain de la contractante, domicilié au dit Mont, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous ; les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 13/05/1837 Lambert Joseph FASSIN et Marie Jeanne Joseph ALBERT (n°12)

L’An mil huit cent trente sept, du mois de mai le treizième jour à (sic) heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre Echevin délégué à cet effet indisposé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Lambert Joseph Fassin, cultivateur, âgé de cinquante trois ans, six mois, domicilié à Juslenville, hameau dépendant de cette commune, né au même lieu le vingt un novembre mil sept cent quatre vingt trois, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux reposant dans les archives de la commune du même nom, veuf de Anne Victoire Palange, décédée au dit Juslenville le vingt neuf mai mil huit cent vingt sept, fils majeur et légitime des défunts Lambert Joseph Fassin et Pétronille Maréchal, décédés au dit Juslenville, le premier, le premier avril mil huit cent et quinze la seconde, le dix sept janvier mil huit cent vingt six, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Et Marie Jeanne Joseph Albert, ménagère, âgée de quarante ans, six mois, six jours, domiciliée au susdit Juslenville, née dans la commune de Sart, le trois juillet mil sept cent nonante six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt sept juin mil huit cent seize, par Monsieur, N. G. Beaupain, Maire adjoint, officier de l’état civil de la dite commune de Sart, rapporté dans l’acte de mariage contracté dans cette commune le vingt six juillet mil huit cent seize entre la dite Marie Jeanne Albert et Jean Nicolas Hermeau, décédé au dit Juslenville le vingt deux septembre mil huit cent trente cinq, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime du Sieur Joseph Albert, cultivateur, domicilié à la Neuville, commune d’Andrimont, qui a donné son consentement au présent mariage par acte en brevêt avenu devant Maître Antoine Leroux, notaire à Dison, le trente avril dernier, enregistré à Verviers le premier de ce mois signé (vide) et de Marie Anne Raway, sans profession, domiciliée au dit Neuville, commune d’Andrimont, qui n’a pu se rendre à l’hôtel de ville à Theux pour sonner son consentement au présent mariage, ayant l’esprit aliéné ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois avril dernier aux deux heures de relevée et au dit Andrimont, les mêmes jours, comme il est également constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt cinq dudit mois par Monsieur H. J. Cramer Echevin, officier de l’état civil du dit Andrimont.; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre premier du titre cinq du code civil intitulé du Mariage qui dit si le père où la mère des futurs est mort ou s’il est dans l’impossibilité de manifester sa volonté, le consentement de l’autre suffit, et du chapitre six du titre (vide), et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Lambert Joseph Fassin et Marie Jeanne Joseph Albert sont unis par le mariage et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe masculin inscrit sur le registre aux actes de l’état civil de cette commune le vingt deux octobre mil huit cent trente cinq, sous les prénoms et noms de Lambert Joseph Fassin, lequel ils reconnaissent pour leur fils ; de tout quoi nous avons dressé en présence des sieurs Hermès Alexandre Leligué, maréchal ferrant, âgé de quarante quatre ans, de Thomas Joseph Beauve, charpentier, âgé de cinquante ans, de Thomas Joseph Lancereau, contremaître, âgé de trente neuf ans, domiciliés tous les trois au dit Juslenville, et de Jean François Jason, propriétaire, âgé de cinquante deux ans, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 13/05/1837 Arnold Joseph GOHY et Jeanne Margueritte Joseph LESCURE (n°13)

L’An mil huit cent trente sept, du mois de mai le treizième jour à sept heures et demie du soir, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre Echevin délégué à cet effet indisposé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Arnold Joseph Gohy, cultivateur, âgé de trente cinq ans, domicilié à Ronde Haye, village dépendant de cette commune, né au même lieu le premier prairial, an dix de la république française, correspondant au vingt un mai mil huit cent deux, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille (sic) majeur et légitime de Arnold Gohy, cultivateur, domiciliée au dit Ronde Haye, ci présent et consentant, et de feue Marie Lisies décédée au même lieu le vingt deux février mil huit cent trente six, comte (sic) également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Jeanne Margueritte Joseph Lescure, journalière, domiciliée à Juslenville, village dépendant de cette commune, âgée de trente quatre ans, quatre jours, née dans la commune de Reid, le dix neuf floréal an onze de la République Française, correspondant au neuf mai mil huit cent trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le trente un mars dernier par Mr Damseaux, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Reid, fille majeure et légitime de Jean Lescure et Jeanne Françoise Defaaz, décédés au dit Reid, le premier le trois juin mil huit cent dix sept, la seconde le vingt neuf juin mil huit cent vingt huit, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivrés le dit jour trente un mars dernier par le dit Mr Damseaux, Bourgmestre ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize avril dernier aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Arnold Joseph Gohy et Jeanne Margueritte Joseph Lescure sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Noël Gohy, cultivateur, âgé de vingt six ans, frère du contractant, domicilié au dit Ronde Haye, de Noël Joseph Gohy, maréchal ferrant, âgé de trente sept ans, frère du contractant, de Jean Noël Lescure, chaudronnier âgé de trente huit ans frère de la contractante, et de Jean Laurent Bouffa, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, domiciliés tous les trois au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le sieur Bouffa un des témoins, a signé avec nous, les contractants, me père du contractant et les trois autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 24/06/1837 Thomas Joseph BECK et Marie Barbe GOHY (n°17)

L’An mil huit cent trente sept, du mois de juin le vingt quatrième jour à six heures de relevée, par devant nous Jacques Louis Bertrand, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Thomas Joseph Beck, fileur par mécaniques, âgé de vingt neuf ans, trois mois, cinq jours, domicilié à Ensival, né au même lieu, le dix neuf mars mil huit cent huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept de ce mois, par Monsieur L.J. Zourbrode, Echevin, officier de l’état civil de la commune de Ensival, fils majeure et légitime des défunts Jean Joseph Beck et Marie Elisabeth Arnault, décédés au dit Ensival, le premier le vingt un novembre mil huit cent vingt sept, la seconde le trois mars mil huit cent trente deux, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivré le dit jour sept du courant par le dit Monsieur Zourbrode, échevin. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Barbe Gohy, couturière, âgée de trente six ans, un mois, quinze jours, domiciliée à Juslenville, village dépendant de cette commune, née au même lieu le dix neuf floréal an neuf de la république française, correspondant au neuf mai mil huit cent un, comme il est également constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de des défunts Lambert Gohy et Marie Barbe Jason, décédés au dit Juslenville, le premier le quatorze octobre mil huit cent huit, la seconde le onze avril mil huit cent trente cinq, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années.; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Ensival, les mêmes jours, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt un du courant, par Monsieur Grégoire, Joseph Deleerer (?) Bourgmestre dudit Ensival. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle des contractants et des quatre témoins qu’il n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à leur mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Beck et Marie Barbe Gohy, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Toussaint Lejeune, négociant, âgé de cinquante quatre ans, domicilié à Ensival, de François Léonard Boniver, menuisier, âgé de trente trois ans, domicilié au dit Juslenville, de Jean François Fanchamps, instituteur, âgé de quarante ans, domicilié à Pepinster cette commune, et de Nicolas François Nantulle, cultivateur, âgé de cinquante un ans, domicilié à Spixhe, aussi cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 22/07/1837 Léonard Théodore DEBLON et Lambertine Joséphine BONIVER (n°23)

L’An mil huit cent trente sept, du mois de juillet le vingt deuxième jour à cinq heures après midi, par devant nous Jacques Louis Bertrand, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, district de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Léonard Théodore Deblon, menuisier, âgé de quarante deux ans, trois mois, dix huit jours, domicilié à Seraing, né à Forge Thiry, cette commune, le quatre avril mil sept cent nonante cinq, comme il en conste par un registre aux actes de naissances de la paroisse de Theux reposant dans les archives de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de feu Gilles Deblon décédé au dit Forge Thiry le trois mai mil huit cent vingt neuf comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Catherine Sottré, ménagère domiciliée au dit Seraing, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Lambertine Joséphine Boniver, ménagère, âgée de trente sept ans, sept mois, domiciliée à Juslenville, village dépendant de cette commune, née au même lieu le huit nivose an huit de la République Française, correspondant au vingt huit décembre mil sept cent nonante neuf, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime des défunts Mathieu Joseph Boniver et Anne Marie Sottrez, décédés à Theux, le premier, le vingt sept avril mil huit cent vingt quatre, la seconde, le vingt trois, août mil huit cent trente un, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois aux deux heures de relevée et au dit Seraing les dimanches vingt et un et vingt huit mai derniers aux huit heures du matin ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Léonard Théodore Deblon et Lambertine Joséphine Boniver, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs, François Léonard Boniver, menuisier, âgé de trente trois ans, frère de la contractante, de Jacques Paes, serrurier, âgé de quarante sept ans, beau frère par alliance de la contractante, de Jean Michel Tisselenne, boulanger, âgé de cinquante trois ans, aussi beau frère par alliance de la contractante, et de Thomas Beauve, charpentier, âgé de quarante cinq ans, domiciliés tous les quatre au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les quatre témoins ont signé avec nous ; la mère du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 24/01/1838 Gilles Joseph Arnold DEPOUILLE et Marguerite Noël SOUMAGNE (n°01)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de janvier le vingt quatrième jour à quatre heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, par arrêté du collège des Bourgmestre et Echevins en date du trois de ce mois, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Gilles Joseph Arnold Depouille ferblantier âgé de vingt sept ans, onze mois, dix sept jours, domicilié à Theux, né au même lieu, le neuf février mil huit cent dix, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de Jean Joseph Depouille, sans profession, domicilié au dit Theux ci présent et consentant, et de feue Anne Joseph Henriette Lechanoine, décédée au même lieu le douze juillet mil huit cent trente et un, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marguerite Noël Soumagne, ménagère, âgée de vingt six ans, deux mois, domiciliée au dit Theux, née au même lieu le vingt cinq décembre mil huit cent onze, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Lambert Joseph Soumagne, menuisier et de Marie Catherine Lemarly, ménagère, domiciliée au susdit Theux, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Gilles Joseph Depouille et Marguerite Noël Soumagne sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Depouille, serrurier, âgé de vingt cinq ans, frère du contractant, de Gilles Joseph Lechanoine, maçon, âgé de quarante huit ans, cousin germain du contractant, de Jean Thomas Lemarly, ouvrier en fer, âgé de trente un ans, cousin germain de la contractante, et de Jean Jacques Charles Jeunechamps, menuisier, âgé de vingt cinq ans, domiciliés tous au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, les père et mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 07/02/1838 Hermès Jacques BERTRAND et Marie Charlotte DETRIXHE (n°02)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de février le septième jour à trois heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hermès Jacques Bertrand, menuisier, âgé de vingt six ans, onze mois, dix neuf jours, domicilié à Theux, né au même lieu, le dix huit février mil huit cent onze, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de feu Nicolas Hermès Bertrand décédé au dit Theux, le cinq février mil huit cent trente cinq, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Anne Joseph Servais, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Charlotte Detrixhe, ménagère, âgée de vingt sept ans, six mois, vingt jours, domiciliée au dit Theux, née au même lieu, le dix sept juillet mil huit cent dix, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Léonard Detrixhe, cultivateur, domicilié au susdit Theux, ci présent et consentant, et de feue Marie Charlotte Jehin, décédée au même lieu le seize février mil huit cent trente cinq comme il est aussi constaté par le registres aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt huit janvier dernier et quatre février courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Hermès Jacques Bertrand et Marie Charlotte Detrixhe sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Nicolas Joseph Bertrand, propriétaire, âgé de septante sept ans, oncle du contractant, de Jean Léonard Joseph Detrixhe, cultivateur, âgé de trente deux ans, frère de la contractante, de Jean Hubert Gellis, domestique, âgé de quarante cinq ans, beau frère par alliance de la contractante, et de François Joseph Servais, menuisier, âgé de trente deux ans, cousin germain du contractant, domiciliés tous les quatre au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère du contractant, et les quatre témoins ont signé avec nous, le père de la contractante déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 07/02/1838 Jean Jacques POUSSART et Marie Elisabeth DETRIXHE (n°03)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de février le septième jour à trois heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison et publiquement le sieur Jean Jacques Poussart, cultivateur, âgé de trente un ans, quatre mois, seize jours, domicilié à Jevoumont, village dépendant de cette commune, né à Lambermont, le vingt un septembre mil huit cent six, Comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le deux décembre dernier par Monsieur Louis Angenot, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Lambermont, fils majeur et légitime de Pierre Poussart, cultivateur, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant, et de feue Marie Jeanne Decheneux, décédée au même lieu le deux février mil huit cent trente six, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Elisabeth Detrixhe, couturière, âgée de trente ans, huit mois, vingt six jours, domiciliée à Theux, née au même lieu, le onze mai mil huit cent sept, comme il en conste sur le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Léonard Detrixhe, cultivateur, domicilié au susdit Theux, ci présent et consentant, et de feue Marie Charlotte Jehin, décédée au même lieu le seize février mil huit cent trente cinq comme il est également constaté par le registres aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt huit janvier dernier et quatre février courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Jacques Poussart, et Marie Elisabeth Detrixhe, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Pierre Poussart, cultivateur, âgé de trente cinq ans, de Jean Joseph Poussart, cultivateur, âgé de vingt un ans, frères du contractant, domiciliés au dit Jevoumont, et de Henri Joseph Léonard Gathy, propriétaire, âgé de quarante ans, oncle par alliance de la contractante, domicilié à la Basse Hermale, canton de Glons, Province de Liège, et de Jean Joseph Jehin, maître maçon, âgé de cinquante deux ans, cousin issu germain de la contractante, domicilié au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et les quatre témoins ont signé avec nous, le père du contractant, et le père de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 22/02/1838 Thomas Joseph LEJEUNE et Anne Marie Louise LELOUP (n°04)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de février le vingt deuxième jour à cinq heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Thomas Joseph Lejeune, ouvrier de fabrique, âgé de vingt quatre ans, huit mois ; dix neuf jours, domicilié à Pepinster, village dépendant de cette commune, né à Ensival le trois juin mil huit cent treize comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix février courant par Monsieur Zourbrode, échevin, officier de l’état civil de la commune de Ensival, fils mineur et légitime de Thomas Joseph Lejeune, ouvrier de fabrique, domicilié au dit Pepinster, ci présent et consentant, et de feue Marie Antoinette Molhan, décédée au même lieu le quatre mai mil huit cent trente deux, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lequel a satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Anne Marie Louise Leloup, ouvrière de fabrique, âgée de vingt huit ans, un mois, domiciliée à Theux, née au même lieu, le vingt deux janvier mil huit cent dix, comme il est également constaté par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Remacle Joseph Leloup, tisserand et de Anne Marie Thomson, journalière domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze février courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Lejeune et Anne Marie Louise Leloup sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Joseph Fooz, fileur par mécaniques, âgé de vingt trois ans, domicilié à Cornesse, de Jean Leloup, fileur par mécaniques, âgé de vingt sept ans, domicilié à Ensival, de Pierre Joseph Larose, fileur par mécaniques, âgé de trente quatre ans, domicilié au dit Pepinster, et de Jean François Defossa, journalier, âgé de vingt six ans, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, deux des témoins ont signé avec nous, les contractants, le père du contractant, les père et mère de la contractante, Lambert Joseph Fooz et Pierre Joseph Larose les deux autres témoins, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 28/02/1838 Laurent Joseph BERTRAND et Marie Joseph Noël GOHY (n°07)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de février le vingt huitième jour à trois heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Laurent Joseph Bertrand, cultivateur, âgé de trente six ans, neuf mois, vingt sept jours, domicilié à Jevoumont, village dépendant de cette commune, né au même lieu le treize floréal an neuf de la république française, correspondant au trois mai mil huit cent un, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Laurent Joseph Bertrand, cultivateur, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant et de feu Marie Catherine Renard, décédée au même lieu le vingt huit nivose an onze de la république française, correspondant au dix huit janvier mil huit cent trois, comme il, en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; Lequel a satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Joseph Noël Gohy, ménagère, âgée de vingt deux ans, deux mois, trois jours, domiciliée au dit Jevoumont, née au même lieu, le vingt cinq décembre mil huit cent quinze, comme il est également constaté par le registre actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Hubert Joseph Gohy, cultivateur, et de Marie Catherine Delcomminette, ménagère, domiciliée au susdit Jevoumont, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq février courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Laurent Joseph Bertrand et Marie Joseph Noël Gohy sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Bertrand, cultivateur, âgé de trente six ans, cousin du contractant, domicilié au dit Jevoumont, de Louis Joseph Leboutte, cordonnier, âgé de vingt sept ans, domicilié à Spixhe, cette commune, de Jean François Charlier, tailleur d’habits, âgé de vingt neuf ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de cinquante trois ans, domiciliés à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, le père du contractant, le père de la contractante et Hubert Bertrand, un des témoins, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 29/03/1838 Edmond Maximilien GROULARD et Marie Charlotte BONIVER (n°10)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de mars le vingt neuvième jour à quatre heures et demie du matin, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Edmond Maximilien Groulard, tanneur, âgé de vingt six ans, sept mois, deux jours, domiciliés à Verviers, né à Hodimont le vingt sept août mil huit cent onze, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le seize mars courant par Monsieur Léonard Simar, échevin, officier de l’état civil de la commune de Hodimont, fils majeur et légitime de Lambert Maximilien Groulard, fabricant et de Marie Elisabeth Krupper, sans profession, domiciliés au dit Verviers et qui ont donné leur consentement au présent mariage par actes en brévêts le premier devant maître Pierre Joseph Hemen notaire royal prussien à la résidence de la ville d’Eupen, royaume de Prusse le vingt quatre mars courant, enregistré à Verviers, le vingt six, volume dix huit, folio douze, recto, case six, contenant un rôle sans renvoi reçu deux francs quinze centimes en principal et vingt six pour cent additionnel. Le Receveur / : signé/ Rettine. La seconde devant maître Delexhy, notaire à la résidence de de (sic) Liège, le vingt trois de ce mois, enregistré au dit Liège, le même jour, volume deux cent septante trois, folio cinquante neuf, recto, case sixième reçu pour principal, un franc septante centimes pour additionnels quarante cinq centimes, total deux francs quinze centimes / : signé:/ Lawalée. Lequel a satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Charlotte Boniver, couturière, âgée de vingt deux ans, onze mois, deux jours, domiciliée à Theux, née au même lieu, le vingt sept avril mil huit cent quinze, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Ferdinand Boniver platineur et de Marie Charlotte Servais, ménagère, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq mars courant aux deux heures de relevée et au dit Verviers les mêmes jours, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt huit mars courant par Monsieur C. Warnotte, échevin, officier de l’état civil de la ville de Verviers. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Edmond Maximilien Groulard et Marie Charlotte Boniver sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Emile Jean Clément Auguste Groulard, commis négociant, âgé de trente ans, frère du contractant, Henri Joseph Charlier, Greffier de la justice de paix de Verviers, âgé de vingt six ans, beau frère par alliance du contractant, domiciliés le premier à Liège, le second à Verviers, de Charles Léonard Ferdinand Boniver, platineur, âgé de trente ans, et de Louis Léonard Boniver, platineur, âgé de vingt huit ans, frères de la contractante, domiciliés tous les deux à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père et lé mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 23/04/1838 Jean Henri JASON et Louise Catherine JACQUES (n°11)

L’An mil huit cent trente huit, du mois d’avril le vingt troisième jour à trois heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Henri Jason, laineur de draps âgé de trente quatre ans, quatre jours, domicilié à Forge Thiry, village dépendant de cette commune, né au même lieu le trente germinal an douze de la république française, correspondant au dix neuf avril mil huit cent quatre comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Jean François Jason et Marie Elisabeth Delvenne, décédés à Marché aussi cette commune le premier le vingt quatre août mil huit cent dix huit, la seconde le vingt sept octobre mil huit cent trente un, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années. Lequel a satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Louise Catherine Jacques, fileuse, âgée de trente sept ans, neuf mois, domiciliée à Pouillou Fourneau aussi cette commune, née au même lieu le cinq thermidor an huit de la république française, correspondant au vingt quatre juillet mil huit cent, veuve de Jacques Joseph Borgard, décédé au dit Pouillou Fourneau, le dix sept septembre mil huit cent trente quatre, fille majeure et légitime de feu Antoine Jacques décédé au dit Pouillou Fourneau le quatorze avril mil huit cent quinze, comme il est également constaté par le registre aux actes de naissances et décès de cette commune pour les mêmes année et de Marie Louise Herbillon, ménagère, domiciliée au susdit Pouillou Fourneau, ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches huit et quinze avril courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Henri Jason et Louise Catherine Jacques sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Antoine Joseph Jacques, garde particulier, âgé de cinquante trois ans, frère de la contractante, domicilié à Juslenville petite, cette commune, et de Jean Hubert Jacques, fermier, âgé de cinquante deux ans, aussi frère de la contractante, domicilié à Grand Rechain, de Théodore Joseph Sottrez, journalier, âgé de trente quatre ans, beau frère par alliance de la contractante, et de François Joseph Beaumont, relieur de chardons, âgé de trente deux ans, domiciliés au dit Forge Thiry, et après voir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne pouvoir plus le faire à cause d’un tremblement des membres.

 

 

 

 

M 30/05/1838 Nicolas Joseph LEMAIRE et Marie Anne BRIAIMONT (n°17)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de mai le trentième jour à cinq heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil en l’absence de notre échevin délégué à cet effet, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Nicolas Joseph Lemaire, journalier, âgé de vingt un ans, quatre mois, dix huit jours, domicilié à Oneux, village dépendant de cette commune, né à Herve le douze janvier mil huit cent dix sept, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le huit mai courant par Messieurs T.J. Voisin Echevin et DeBy, secrétaire de la ville de Herve, fils mineur et légitime de feu Jean François Lemaire décédé au dit Herve le dix neuf juillet mil huit cent trente deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dit jour huit mai courant, par les dits Messieurs Voisin et DeBy, et de Judieth Philippe, colporteuse, domiciliée au dit Oneux, ci présente et consentante. Lequel a satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne Briaimont, ménagère, âgée de vingt trois ans, un mois, vingt cinq jours, domiciliée au dit Oneux, née au même lieu le cinq avril mil huit cent quinze, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Toussaint Antoine Briaimont, décédé au dit Oneux, le cinq juin mil huit cent trente six, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Claire Corne, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept de ce mois aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas Joseph Lemaire et Marie Anne Briaimont sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Lemaire, charretier, âgé de vingt trois ans, domicilié à Chaudfontaine, frère du contractant, de Lambert Joseph Wayaffe, journalier, âgé de trente sept ans, beau frère du contractant, de Jacques Joseph Picquereau, journalier, âgé de quarante neuf ans et de Jean Guillaume Delhez, négociant, âgé de trente six ans, domiciliés tous les trois au dit Theux, et après voir reçu lecture du présent acte, Jean Guillaume Delhez, un des témoins, a signé avec nous les contractants, la mère de la contractante, et les trois autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 30/06/1838 Louis Joseph PIRE et Marie Anne THOMSON (n°22)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de juin le trentième jour à cinq heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Louis Joseph Pire, domestique, âgé de vingt sept ans, neuf mois, onze jours, domicilié à Oneux, village dépendant de cette commune, né à Soumagne le dix neuf septembre mil huit cent dix, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le seize avril dernier par Monsieur Martin Joseph Dessy, Bourgmestre de la commune de Soumagne, fils majeur et légitime de Jean Joseph Pire, cultivateur, domicilié au dit Oneux, ci présent et consentant, et de feue Marie Catherine Defays, décédé à Wegnez, le vingt huit mars mil huit cent vingt deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dix huit avril dernier par Monsieur M. Arnotte Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Wegnez. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Anne Charlotte Thomson, cultivatrice, âgée de vingt huit ans, sept mois, seize jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le quatorze décembre mil huit cent neuf, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Pierre Hubert Thomson, décédé au dit Theux, le treize octobre mil huit cent trente deux, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, et de Marie Charlotte Thomson, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept mai dernier et trois juin courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Louis Joseph Pire et Marie Anne Thomson sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs François Joseph Pire, cultivateur, âgé de vingt trois ans, frère du contractant, de Vincent Joseph Vincent, cultivateur, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance du contractant, domiciliés au dit Oneux, de Jean Mathias Deshayes, charron, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance du contractant, domiciliée à Heusy, et de Laurent Maximilien de Hansez, secrétaire de cette commune, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, la contractante (sic) et trois des témoins ont signé avec nous, le contractant, le père du contractant, la mère de la contractante et Vincent Joseph Vincent l’autre témoin ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

M 10/11/1838 Jean Antoine BONIVER et Marie Catherine THUMUS (n°34)

L’An mil huit cent trente huit, du mois de novembre le dixième jour à quatre heures et demie de l’après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Antoine Boniver, fileur par mécanique, âgé de vingt deux ans, un mois, dix neuf jours, domicilié à Juslenville petite, hameau dépendant de cette commune, né au même lieu, le dix neuf septembre mil huit cent et seize, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils mineur et légitime de feu Louis Joseph Boniver, décédé au dit Juslenville petite, le dix huit juin mil huit cent vingt, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Françoise Copa, ménagère, domiciliée au même lieu ci présente et consentante. Lequel a satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Catherine Thumus, couturière, âgée de vingt trois ans, domiciliée à Juslenville, village dépendant aussi de cette commune, née à Pepinster, également cette commune, le seize mai mil huit cent quinze, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Nicolas Thumus, fileur par mécaniques, et de Marie Françoise Jaspar, ménagère, domiciliés au même lieu, ci présents et consentants, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt un et vingt huit octobre dernier aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Antoine Boniver et Marie Catherine Thumus sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Serp, fileur par mécaniques, âgé de quarante ans, domicilié à Forge Thiry, cette commune, de Jean Joseph Vuidar, presseur, âgé de vingt deux ans, domicilié sur les hauts sarts aussi cette commune, de Dieudonné Joseph Closset, cordonnier, âgé de vingt six ans, domiciliée au dit Juslenville petite, et de Jean Hubert Lecart, foulon, âgé de trente trois ans, domicilié dans la commune de Sart, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père de la contractante, et trois des témoins ont signé avec nous, la contractante, la mère du contractant, la mère de la contractante et Jean Hubert Lecart, l’autre témoin ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 19/01/1839 Guillaume François JASON et Anne Catherine DREZE (n°07)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois de janvier le dix neuvième jour à cinq heures du soir, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Guillaume François Jason, boulanger, âgé de vingt deux ans, trois mois, domicilié à Juslenville, village dépendant de cette commune, né au même lieu le vingt deux octobre mil huit cent seize, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Adam François Jason et de Marie Elisabeth Jehin, décédés au dit Juslenville, le premier le vingt quatre juin mil huit cent vingt deux, la seconde le vingt neuf décembre mil huit cent trente six, comme il en conste également par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Anne Catherine Drèze, cultivatrice, âgée de vingt un ans, dix mois, quatre jours, domiciliée à Oneux, village dépendant aussi de cette commune ; née au même lieu le quinze mars mil huit cent dix sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Nicolas Joseph Drèze, cultivateur et de Marie Elisabeth Colette, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente décembre dernier et six janvier courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Guillaume François Jason et Anne Catherine Drèze sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Jason, ouvrier en fer, âgé de vingt sept ans, cousin germain du contractant, de François Joseph Jason, cultivateur, âgé de vingt trois, cousin issu germain du contractant domiciliés au dit Juslenville, de François Joseph Pire, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, beau frère par alliance de la contractante, et de Jean François Wilkin, cultivateur, âgé de vingt neuf ans, domiciliés au dit Oneux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante et le père de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 20/04/1839 Guillaume Joseph SEEL et Marie Joseph GUSTIN (n°14)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois d’avril le vingtième jour à cinq heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Guillaume Joseph Seel, fileur par mécaniques, âgé de vingt huit ans, onze mois, dix jours, domicilié à Juslenville, village dépendant de cette commune, né à Thimister le douze mai mil huit cent dix, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept février dernier par Monsieur J.G. Rawet, officier de l’état civil de la commune de Thimster, fils majeur et légitime de Jean Joseph Seel, houilleur domicilié au dit Thimister, ci présent et consentant, et de feue Catherine Mazon, décédée au même lieu le vingt deux août mil huit cent vingt deux comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le dit jour sept février dernier par le dit Monsieur Ruwet officier de l’état civil ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Gustin, dévideuse (?), âgée de dix neuf ans, un mois quatorze jours, domiciliée au dit Juslenville, né à Theux le six mars mil huit cent vingt, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille mineure et naturelle de Marie Margueritte Gustin, journalière domiciliée au dit Juslenville, ci présente et consentante ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente un mars dernier et sept avril courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après donné (sic) lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Guillaume Joseph Seel et Marie Joseph Gustin sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Noël Joseph Roufosse directeur de mécaniques, âgé de trente quatre ans, de Thomas Joseph Defraity, fileur par mécaniques, âgé de vingt deux ans, de Hubert Abraham Jamar, fileur par mécaniques, âgé de vingt cinq ans, domiciliés tous les trois au dit Juslenville, et de Jean Paul Paulis, teinturier, âgé de vingt huit ans, domicilié à Verviers, et après avoir reçu lecture du présent acte, trois des témoins ont signé avec nous, les contractants, le père du contractant, la mère de la contractante, et Noël Joseph Roufosse, l’un des témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

M 17/07/1839 Jean George DESSAUCY et Marie Anne DETRIXHE (n°26)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois de juillet le dix septième jour à cinq heures après midi, par devant nous Simon Jean Baptiste Michotte-Farsy, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean George Dessaucy, tailleur de pierres, âgé de quarante un ans, domicilié à Theux, né à Sasserotte, cette commune, le trente un mars mil sept cent nonante huit, veuf de Marie Elisabeth Jacob, décédée au dit Theux le vingt neuf juillet mil huit cent trente huit, fils majeur et légitime des défunts Jérôme Dessaucy et Catherine Piret, décédés le premier au dit Sasserotte le dix sept ventose an onze de la République Française, correspondant au huit mars mil huit cent trois, la seconde à Marché, aussi cette commune, le dix sept septembre mil huit cent trente quatre, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années ; Et Marie Anne Detrixhe, couturière, âgée de vingt cinq ans, trois mois, vingt sept jours, domiciliée au dit Theux, née à Oneux aussi cette commune, le vingt mars mil huit cent quatorze, comme il en conste également par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Léonard Detrixhe, cultivateur, domicilié au dit Theux, ci présent et consentant, et de feue Marie Charlotte Jehin, décédée au même lieu le seize février mil huit cent trente cinq, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean George Dessaucy et Marie Anne Detrixhe sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Olivier Joseph Dessaucy cultivateur, âgé cinquante neuf ans, frère du contractant, domicilié à Reid, de Jean Léonard Joseph Detrixhe, cultivateur, âgé de trente trois ans, frère de la contractante, de Hermès Jacques Bertrand, teinturier, âgé de vingt huit ans, beau frère par alliance de la contractante, et de Jean Joseph Jehin, maître maçon, âgé de cinquante trois ans, cousin sous germain de la contractante, domiciliés tous les trois au susdit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et les quatre témoins ont signé avec nous, le père de la contractante a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 07/08/1839 Melchior Joseph WILKIN et Marie Jeanne CORNE (n°28)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois d’Août le septième jour à six heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre échevin délégué à cet effet, décédé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Melchior Joseph Wilkin, cultivateur, âgé de quarante deux ans huit mois, onze jours, domicilié à Oneux, village dépendant de cette commune, né au même lieu le six frimaire an cinq de la République Française, correspondant au vingt six novembre mil sept cent nonante six, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, veuf de Jeanne Gilmard, décédée à Remouchamps, commune d’Aywaille, le vingt six mai mil huit cent vingt neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quatre de ce mois par Monsieur J.J. Collard, échevin, officier de l’état civil de la commune d’Aywaille, fils majeur et légitime de Lambert Joseph Wilkin, cultivateur, domicilié au dit Oneux, ci présent et consentant, et de feue Marie Ida Paulis, décédée au même lieu, le seize septembre mil huit cent trente cinq, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; Et Marie Jeanne Corne, ménagère, âgée de trente cinq ans, quatre mois, quatre jours, domiciliée à Mont, village dépendant aussi de cette commune, née au même lieu le treize germinal an douze de la république française, correspondant au trois avril mil huit cent trente (sic) quatre, fille majeure et légitime des défunts Lambert Corne et de Catherine Alexandrine Quaré, décédés au dit Mont, le premier le huit avril mil huit cent vingt huit, la seconde le quinze novembre mil huit cent trente six, comme il est également constaté par les registres aux actes de naissances et décès de cette commune pour les mêmes années ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt huit juillet dernier et quatre de ce mois aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle de la contractante et des quatre témoins qu’elle n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Melchior Joseph Wilkin et Marie Jeanne Corne sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Detaille, cultivateur, âgé de cinquante deux ans, beau frère par alliance du contractant, de Albert Joseph Parotte, cultivateur, âgé de trente trois ans, cousin germain de la contractante, domiciliés au dit Oneux, de Joseph Duvivier, tailleur de pierres, âgé de quarante neuf ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié au dit Mont, et de Barthelemi Quaré, aubergiste, âgé de soixante ans, oncle de la contractante, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, le père du contractant a déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 04/09/1839 Jean Laurent Rock DECHENEUX et Marie Martine POUSSART (n°31)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois de septembre le quatrième jour à trois heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre échevin délégué à cet effet, décédé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Laurent Rock Decheneux, charron, âgé de vingt six ans, dix huit jours, domicilié à Mont, village dépendant de cette commune, né au même lieu le seize août mil huit cent treize, fils majeur et légitime de feu Jacques Decheneux, décédé au dit Mont le douze mars mil huit cent seize, comme il en conste par les registres aux actes de l’état civil de cette commune pour les mêmes années, et de Marie Marguéritte Gohy, ménagère, domiciliée au susdit Mont, ci présente et consentante, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Martine Poussart, cultivatrice, âgée de vingt cinq ans, huit mois, vingt jours, domiciliée à Jevoumont, village dépendant aussi de cette commune, née dans la commune de Lambermont, le quatorze décembre mil huit cent treize, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze août dernier par Monsieur Louis Angenot, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Lambermont, fille majeure et légitime de Pierre Joseph Poussart, cultivateur, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant, et de feue Marie Jeanne Decheneux, décédée au même lieu le deux février mil huit cent trente six, comme il est constaté également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt cinq août dernier et premier septembre courant aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Laurent Rock Decheneux et Marie Martine Poussart sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacques Decheneux, cultivateur, âgé de vingt neuf ans, domicilié au dit Mont, frère du contractant, de Hubert Poussart, gérant des affaires de Madame la Comtesse da Pinto, âgé de trente neuf ans, demeurant à Hodbomont, cette commune, de Jean Jacques Poussart, cultivateur, âgé de trente trois ans, demeurant à Sart et de Jean Joseph Poussart, cultivateur, âgé de vingt trois ans, domicilié au dit Jevoumont, tous les trois frères de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant, et le père de la contractante, ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 07/09/1839 Frédéric PIERRARD et Marie Isabelle SERVAIS (n°32)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois de septembre le septième jour à six heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre échevin délégué à cet effet, décédé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Frédéric Pierrard, garçon meunier, domicilié dans la commune de Munshausen, province de Luxembourg, âgé de vingt six ans, six mois, treize jours, né à Hosingen, département des forêts, le vingt quatre février mil huit cent treize, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier juin dernier par monsieur F.M. Pondrom, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Hosingen, fils majeur et légitime de feu Nicolas Pierrard, décédé dans la dite commune de Munshausen, le trois mars mil huit cent vingt neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le deux juin dernier par monsieur J.P. Hamus, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Munshausen, traduit le présent extrait le vingt sept juillet dernier par Monsieur Angenot père, traducteur juré à Verviers, comme il en conste par la traduction ci jointe et de Suzanne Roé, ménagère, domiciliée au dit Munshausen, qui a donné son consentement au présent mariage par acte en brévêt avenu devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux le treize août dernier, enregistré à Spa le vingt même mois, volume quarante huit, folio vingt neuf verso, case sept X pour le receveur /. Signé:/ Badon : lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Isabelle Servais, ménagère, âgée de vingt un ans, dix mois, dix neuf jours, domiciliée à Spixhe, village dépendant de cette commune, née au même lieu le dix huit octobre mil huit cent dix sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année. Fille majeure et légitime de Jean Louis Servais, ouvrier de fabrique, et de Marie Elisabeth Nantulle, ménagère, domiciliée au dit Spixhe, ci présents et consentants, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit août dernier aux deux heures de relevée et au dit Munshausen les dimanches dix huit et vingt cinq août comme il en conste aussi par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt huit août dernier par le dit Monsieur J.P. Hamus, Bourgmestre de Munshausen; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Frédéric Pierrard et Marie Isabelle Servais sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Nicolas François Nantulle, cultivateur, âgé de cinquante trois ans, oncle de la contractante, de Louis Joseph Leboutte, cordonnier, âgé de vingt huit ans, de Jean Thomas Leboutte, receveur communal, âgé de vingt six ans, domiciliés tous les trois au dit Spixhe, et Mathieu Joseph Macko, maçon, âgé de quarante ans, domicilié à Spa, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et les quatre témoins ont signé avec nous, les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

 

 

M 23/11/1839 Jean Noël GOHY et Marie Joseph BODSON (n°38)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois de novembre le vingt troisième jour à quatre heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre échevin délégué à cet effet, décédé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Noël Gohy, journalier, âgé de vingt huit ans, onze mois, domicilié à Ronde Haye, village dépendant de cette commune, né au même lieu le vingt cinq décembre mil huit cent dix, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Arnold Gohy, cultivateur, domicilié au dit Ronde Haye, ci présent et consentant, et de feue Marie Lisies, décédée au même lieu le vingt deux février mil huit cent trente six, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Bodson, journalière, âgée de vingt quatre ans, neuf mois, vingt deux jours, domiciliée Elle fagne, hameau dépendant de cette commune, née à Olne le premier février mil huit cent quinze, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt trois septembre dernier par Monsieur Detiffe, échevin, officier de l’état civil de la commune d’Olne, fille majeure et légitime de feu Jean Joseph Bodson, décédé à Chalsèche, aussi cette commune, le neuf avril mil huit cent vingt sept, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Anne Joseph Guemette, ménagère, domiciliée au dit Elle Fagne ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trois et dix de ce mois aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Noël Gohy et Marie Joseph Bodson sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Arnold Gohy, journalier, âgé de trente huit ans, frère du contractant, de Gilles Joseph Mathonet, journalier, âgé de vingt six ans, domiciliés tous les deux au dit Ronde Haye, de Jean Lambert Duvivier, cultivateur, âgé de trente six ans, domicilié au dit Elle Fagne, et de Lambert Hubert Mottet, boutiquier, âgé de soixante cinq ans, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, Jean Lambert Duvivier, un des témoins a signé avec nous, les contractants, le père du contractant, la mère de la contractante, et les trois autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

M 14/12/1839 Jean WISLET et Marie Jeanne LARDINOIS (n°39)

L’An mil huit cent trente neuf, du mois de décembre le quatorzième jour à quatre heures après midi, par devant nous Philippe Jean Baptiste de Limbourg, Bourgmestre de la commune de Theux, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant les fonctions d’officier de l’état civil pour notre échevin délégué à cet effet, décédé, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Wislet, journalier, âgé de trente sept ans, seize jours, domicilié à Juslenville petite, hameau dépendant de cette commune, né dans la commune de Spa le sept frimaire an onze de la République Française correspondant au vingt huit novembre mil huit cent deux comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance et de reconnaissance y joint délivré le douze de ce mois par Monsieur T.F. Hayemal, Bourgmestre, officier de l’état civil du dit Spa, veuf de Marie Anne Latour, décédée à Ensival le onze décembre mil huit cent trente huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quinze novembre dernier par Monsieur Zourbroude échevin, officier de l’état civil dudit Ensival, fils majeur et légitime de Lambert Wislet journalier, domicilié à Verviers, ci présent et consentant, et de feue Jeanne Catherine Hansoulle, décédée au dit Spa le sept février mil huit cent vingt trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dit jour douze décembre courant par Monsieur Hayemal Bourgmestre prénommé ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Lardinois, ménagère, âgée de trente neuf ans, six mois, quatorze jours, domiciliée au dit Juslenville petite, née à Arbrefontaine, province de Luxembourg Belge, le onze prairial an huit de la république française, correspondant au trente un mai mil huit cent, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt sept novembre dernier par Monsieur Moulon, Bourgmestre de la commune d’Arbrefontaine, légalisé le vingt neuf, même mois par Monsieur le Président et Greffier de première instance de l’Arrondissement de Marche, fille majeure et légitime de Jacques Lardinois, journalier, et de Marie Toubon, ménagère, domiciliés au dit Juslenville petite, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix sept et vingt quatre novembre dernier aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Wislet et Marie Jeanne Lardinois sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacques Brulle, ouvrier de fabrique, âgé de quarante deux ans, de Pierre Joseph Fassin, fileur par mécaniques, âgé de trente cinq ans, beau frère de la contractante, de Jean Antoine Boniver, fileur par mécaniques, âgé de vingt quatre ans, domiciliés tous les trois au dit Juslenville petite, et de Michel Joseph Jason, fileur par mécaniques, âgé de vingt trois ans, domicilié à Juslenville, cette commune ; et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, les père et mère de la contractante, et deux des témoins ont signé avec nous la contractante, le père du contractant, et les deux autres témoins ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


16/11/2014
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