Theux-genealogie-be

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Actes de Mariage Theux 1860-1869

Actes de Mariages 1860-1869

 

M 07/01/1860 Gilles Joseph FASSIN et Marie Françoise GOHY (n°02)

L’An mil huit cent soixante, le septième jour du mois de janvier à set heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Gilles Joseph Fassin, Maître mineur, âgé de trente cinq ans, six mois, cinq jours, domicilié à Hestroumont, commune de La Reid, né au même lieu, le deux juillet mil huit cent vingt quatre, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze décembre dernier par Monsieur N.Y. Damseaux, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de La Reid, fils majeur et légitime des défunts Laurent Wathieu Fassin et Marie Anne Letiexhe, décédés au dit Hestroumont, le premier le vingt huit septembre mil huit cent cinquante huit, la seconde le vingt quatre mai mil huit cent vingt huit comme il en conste également par les extraits de leur s actes de décès délivré le douze décembre dernier par le dit Monsieur Damseaux, Bourgmestre. Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Françoise Gohy, Ménagère, âgée de vingt deux ans, cinq jours, domiciliée à Pouillou Fourneau, cette commune, née à Rondehaye, aussi cette commune, le deux janvier mil huit cent trente huit, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt cinq décembre dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Bertrand Joseph Gohy, cultivateur, âgé de soixante deux ans, et de Marie Mailleur, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliés au dit Pouillou Fourneau, ci-présents et consentant ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt cinq décembre denier et premier janvier courant, aux dix heures du matin et au dit Reid, les mêmes jours à la même heure, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le cinq janvier courant par Monsieur F.J. Pirnay, échevin de la commune de La Reid pour le Bourgmestre absent. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de la commune de Pepinster, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et le futur nous ayant affirmé sous serment qu’ils ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent le futur époux, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Gilles Joseph Fassin et Marie Françoise Gohy sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Arnold Joseph Gohy maréchal Ferrant, âgé de trente un ans, de Bertrand Joseph Gohy, maréchal ferrant âgé de vingt cinq ans, domiciliés à Theux, de Lambert Hubert Mailleur, ouvrier mineur, âgé de vingt trois ans, domicilié à Rouge Thier, commune de Louveigné, tous les trois cousins germains de la contractante et de Florent Jean Henri Grosjean, cordonnier âgé de trente deux ans, ami des contractants, domicilié à La Reid et après avoir reçu lecture du présent acte, le père de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, es contractants, la mère de la contractante et Lambert Hubert Mailleur l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 15/02/1860 Lambert George CLOSE et Marie Thérèse Joseph JASON (n°07)

L’An mil huit cent soixante, le quinzième jour du mois de février à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Lambert George Close, chaufournier, âgé de trente un ans, domicilié à Theux, né au même lieu, le seize février mil huit cent vingt neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze février courant, par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Jean Antoine Close, chaufournier, âgé de septante quatre ans, domicilié au dit Theux, ci présent et consentant, et de feue Marie Anne Dessaucy, décédée au même lieu, le vingt six septembre mil huit cent cinquante huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivre le douze février courant par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Thérèse Joseph Jason, tisserande, âgé de vingt trois ans, cinq mois, onze jours, domiciliée au dit Theux, née au même lieu le quatre septembre mil huit cent trente six, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze février courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Hubert Joseph Jason, fileur par mécaniques, âgé de cinquante deux ans, et de Marie Elisabeth Closset, ménagère, âgée de cinquante deux ans, domiciliée au susdit Theux, ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze février courant, aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Lambert George Close et Marie Thérèse Joseph Jason, sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Joseph Dessaucy, cultivateur, âgé de soixante un ans, oncle du contractant, domicilié à Theux, de Jean Michel Jason, fileur par mécaniques, âgé de quarante trois ans, oncle de la contractante, domicilié à Verviers, de Jacques Joseph Closset, Menuisier, âgé de quarante trois ans, oncle de la contractante, domicilié au dit Theux et de Jean Nicolas Close, Propriétaire, âgé de septante huit ans, ami des contractants, domicilié au susdit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, les père et mère de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, Jean Michel Jason, l’un des témoins, a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 13/06/1860 Jean Louis Joseph CARO et Catherine Alexandrine CORNE (n°14)

L’An mil huit cent soixante, le treizième jour du mois de juin à une heure de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’Etat civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement, Monsieur Jean Louis Joseph Caro, Filateur, âgé de trente ans, dix mois, dix neuf jours, domicilié à Polleur, né à Chinru même commune de Polleur, le vingt quatre juillet mil huit cent vingt neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le vingt sept mai dernier par Monsieur J. L. Cornesse, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Polleur, fils majeur et légitime de Pierre Louis Caro, Propriétaire, âgé de soixante cinq ans, et de Marie Margueritte Cornesse, Ménagère, âgé de cinquante trois ans,, domiciliés au dit Polleur, Lesquels ont donné leur consentement au présent mariage par acte en brevet avenu devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, le onze juin courant, enregistré à Spa le lendemain douze, volume cent sept folio septante un, verso, case sixième, reçu en principal et additionnels deux francs vingt un centimes ; vu un demi rôle sans renvoi le Receveur, signé F. Doviller ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L.exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept, ; Et Mademoiselle Catherine Alexandrine Corne, sans profession, âgée de vingt un ans, un mois, neuf jours, domiciliée à Mont, cette commune, né à Wegnez, le quatre mai mil huit cent trente neuf, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier juin courant par Monsieur J.G. Lambrette, Echevin, officier de l’état civil de la commune de Wegnez, fille majeure et légitime des défunts Gaspar Joseph Corne, et Marie Jeanne Decheneux, décédés le premier à Wegnez, le cinq mai mil huit cent quarante deux, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de décès délivré le premier juin courant par Monsieur J.G. Lambrette, Echevin prénommé, la seconde à Mont, cette commune, le vingt neuf août mil huit cent quarante cinq, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le premier juin courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, petite fille du côté paternel de Lambert Joseph Corne, et de Catherine Alexandrine Quaré, décédés au dit Mont, le premier le huit avril mil huit cent vingt huit, la seconde le quinze novembre mil huit cent trente six, ; du côté maternel, de Jean Gilles Decheneux et de Marie Catherine Lardinois, décédés au susdit Mont,, le premier le vingt neuf janvier mil huit cent quarante un, la seconde le dix février mil huit cent quarante sept, comme le tout est constaté par les extraits d’actes de décès annexés au présent acte ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trois et dix juin courant, aux dix heures du matin et au dit Polleur, les mêmes jours à la même heure, comme il est aussi constaté par le certificat des publications des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par Monsieur J.L. Cornesse, Bourgmestre prénommé : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Polleur, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et après que els époux ont eu déclaré qu’il existe entre eux un contrat de mariage avenu devant Maître Alphonse Lefebvre, notaire à Verviers, le treize juin courant, avons demandé au futur époux et à la future épouse, s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Louis Joseph Caro et Catherine Alexandrine Corne sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Henri Joseph Albert, cultivateur, âgé de quarante six ans, oncle par alliance de la contractante, domicilié à Mont, cette commune, de Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de cinquante huit ans, aussi oncle par alliance de la contractante, domicilié à Juslenville, cette commune, de Jean Jacques Quaré, négociant, âgé de trente sept ans, cousin sous germain de la contractante, domicilié à Theux, et de Servais Joseph Sagehomme, fabricant de draps, âgé de trente cinq ans, ami des contractants, domicilié à Dison, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 20/07/1860 Jean Pierre GUSTIN et Anne Marie MOSON(n°20)

L’An mil huit cent soixante, le vingt unième jour du mois de juillet à sept heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’Etat civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement, le sieur Jean Pierre Gustin, charretier, âgé de vingt sept ans, un mois, dix huit jours, domicilié à Theux, né à Forêt le treize juillet mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix huit juin dernier par monsieur J.B. Marechal, Echevin de la commune de Forêt, fils majeur et légitime de Jean Pierre Gustin, roulier, âgé de cinquante neuf ans, domicilié au dit Theux, ci-présent et consentant, et de feue Marie Catherine Massart, décédée au même lieu, le vingt trois octobre mil huit cent cinquante six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le six juillet courant par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. ; Et Anne Marie Moson, ouvrière de fabrique, âgée de vingt deux ans, cinq mois, trois jours, domiciliée à Marché cette commune, née au même lieu le dix huit février mil huit cent trente huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le six juillet courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Henri Joseph Moson et Marie Elisabeth Piffer, décédés à Theux, le premier le vingt quatre février mil huit cent cinquante huit, la seconde le seize décembre mil huit cent cinquante huit, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivrés le six juillet courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit juillet courant, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et la future nous ayant affirmé sous serment qu’elle ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Pierre Gustin et Anne Marie Moson sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Christian Wertz, tisserand, âgé de cinquante ans, beau frère par alliance, de la contractante domicilié à Ensival, de Noël François Schmitz, fileur par mécaniques, âgé de trente ans, cousin germain par alliance de la contractante, de Julien Servais, ouvrier mineur, âgé de trente ans, ami des contractants, domiciliés tous les deux à Spixhe, cette commune et de Jean Joseph Counet, fileur par mécaniques, âgé de vingt sept ans, aussi ami des contractants, domicilié à Oneux, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 13/10/1860 Jean François GOHY et Catherine PAQUAY (n°30)

L’An mil huit cent soixante, le treizième jour du mois d’octobre à six heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur, Jean François Gohy, scieur de long, âgé de trente trois ans, six mois, dix huit jours, domicilié à Deigné, Commune de Louveigné, né au même lieu, le vingt six mars, mil huit cent vingt sept, comme il en conste, par l’extrait de son acte de naissance, délivré le dix sept juin dernier par Monsieur Gaspar Deru, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Louveigné, fils majeur et légitime de feu Jean François Gohy, décédé au dit Deigné, le quatorze février mil huit cent trente sept comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dix sept juin dernier par Monsieur Gaspar Deru, Bourgmestre prénommé, et de Marie Barbe Mestré, Ménagère, âgée de soixante trois ans, domiciliée au même lieu, ci-présente et consentante ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Catherine Paquay, tourneuse aux bures de minerais, âgée de vingt deux ans huit mois, treize jours, domiciliée à Wessay, cette commune, née sur le Thier de Mont aussi cette commune, le trente un janvier mil huit cent trente huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt deux septembre dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeur et légitime de Jean Joseph Paquay, ouvrier minier âgé de cinquante huit ans, domicilié au dit Wessay, ci présents et consentants, et de feue Marie Jeanne Ramonfosse, décédée sur le Thier de Mont cette commune, le dix sept avril mil huit cent trente neuf, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt deux septembre dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois septembre dernier aux dix heures du matin et au dit Louveigné, les trente septembre et sept octobre courant à la même heure, comme il est aussi constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré le dix octobre courant par Monsieur Gaspar Deru, Bourgmestre prénommé, ; Aucune opposition au dit mariage en nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Louveigné, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean François Gohy et Catherine Paquay sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Joseph Gohy, journalier, âgé de vingt quatre ans, frère du contractant, domicilié à Deigné, Commune de Louveigné, de Hubert Sival, cultivateur, âgé de trente ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Rouge Thier, commune de Louveigné, de Guillaume Lempereur, Menuisier, âgé de vingt sept ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié au dit Deigné, et de Jean Hubert Paquay, ouvrier mineur, âgé de soixante ans, oncle de la contractante, domicilié sur le Thier de Mont, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, les contractants, et la mère du contractant, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 15/11/1860 Jean Guillaume WARNOTTE et Marie Anne Catherine de HANSEZ (n°34)

L’An mil huit cent soixante, le quinzième jour du mois de novembre à quatre heures de relevée, par devant Nous, martin Hubert Caro, Premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil pour Monsieur Dandrimont, Bourgmestre de cette commune empêché, sont comparus en notre maison commune, et publiquement, le sieur Jean Guilleaume Warnotte, Maréchal Ferrant, âgé de vingt huit ans, onze mois, treize jours, domicilié à Theux, né à Wegnez, le deux décembre mil huit cent trente un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le six novembre courant par Monsieur J.G. Lambretto, Echevin, officier de l’état civil de la commune de Wegnez, fils majeur et légitime de Jean Guillaume Warnotte, maréchal ferrant, âgé de cinquante deux ans, domicilié au dit Theux ; lequel nous a exhibé trois actes respectueux, faits, le premier, le mardi trente un juillet, le second le samedi premier septembre et le troisième le mardi deux octobre de l’année courante par Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, adressés au dit Jean Guillaume Warnotte, père du requérant, les dits actes respectueux dûment enregistrés à Spa le trois août, quatre septembre et trois octobre de l’année courante, reçu par chacun en principal et additionnels deux francs vingt centimes, les receveurs /.signés./ F. Doviller et Wallomont, et de feue Marie Charlotte Thomson, décédée à Theux, le vingt sept janvier mil huit cent cinquante six, comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le treize novembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne Catherine de Hansez, négociante, âgée de quarante quatre ans, onze mois, dix sept jours, domiciliée au dit Theux, née au même lieu le vingt huit novembre mil huit cent quinze comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize novembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Jean Nicolas DeHansez et Marie Elisabeth Chapelle, décédés au dit Theux, le premier le six avril mil huit cent vingt cinq, la seconde le douze décembre mil huit cent cinquante huit, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivré le treize novembre courant par Monsieur Dandrimont, Bourgmestre prénommé, petite fille du côté paternel de Toussaint de Hansez, et de Anne Marie Depresseux, décédés au dit Theux, le premier le cinq octobre mil sept cent nonante cinq, la seconde le vingt deux novembre mil huit cent vingt six ; du côté maternel de Gilles Joseph Chapelle, et de Elisabeth Florence Thérèse Valentin, décédés au susdit Theux, le premier  le trente un mars mil huit cent seize, la seconde le quatorze mars mil huit cent onze, comme le tout est constaté par les extraits d’actes de décès annexés au présent acte ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze novembre courant, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, # avons demandé au futur époux et à la future épouse, s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Guillaume Warnotte et Marie Anne Catherine de Hansez sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Nicolas Thomson, Négociant en fer, âgé de quarante deux ans, oncle du contractant, domicilié à Theux, de Toussaint Joseph de Hansez, propriétaire, âgé de cinquante sept ans, frère de la contractante, domicilié à Liège, quai de Fragnée, de Laurent Maximilien de Hansez, Secrétaire communal, âgé de quarante huit ans, frère de la contractante, et de Maurice Lamy, Industriel, âgé de quarante ans, ami des contractants, domiciliés tous les deux au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous.

# et après que les époux ont eu déclaré qu’il existe entre eux un contrat de mariage  avenu devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, le quinze novembre courant, renvoi approuvé.

M 13/04/1861 Hubert Joseph GROSDENT et Marie Anne Joseph WAYAFFE (n°08)

L’An mil huit cent soixante un, le treizième jour du mois d’Avril à sept heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Hubert Joseph Grosdent ouvrier mineur, âgé de vingt cinq ans, trois mois, un jour, domicilié à Secheval, commune d’Aywaille, né à Secheval, commune de Sprimont, le douze janvier mil huit cent trente six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le dix sept mars dernier par Monsieur Dognée, Bourgmestre de la commune de Sprimont, fils majeur et légitime de Jean Baptiste Grosdent, ouvrier mineur, âgé de quarante neuf ans, et de Margueritte Uson, ménagère, âgée de cinquante ans, domicilies au dit Secheval, commune d’Aywaille, ci présents et consentants,; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. ; Et Marie Anne Joseph Wayaffe, ménagère, âgée de vingt deux ans, onze mois, dix sept jours, domiciliée à Oneux, cette commune, née au même lieu le vingt six avril mil huit cent trente huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf mars dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Servais Joseph Wayaffe,, journalier, âgé de cinquante quatre ans, et de Marie Laurente Briaimont, ménagère, âgée de cinquante trois ans, domiciliées au dit Oneux, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un mars dernier aux dix heures du matin, et au dit Aywaille, les dimanches trente un mars et sept avril courant, à la même heure, comme il est également constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le onze avril courant par Monsieur J. Wilmotte, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune d’Aywaille. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’Etat civil de la commune d’Aywaille ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Grosdent et Marie Anne Joseph Wayaffe sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Léonard Joseph Giet, ouvrier mineur, âgé de vingt sept ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Aywaille, de Jean François Wayaffe, ouvrier mineur, âgé de vingt cinq ans, frère de la contractante, de Mathieu Joseph Jacob, chef mineur, âgé de vingt quatre an, et de Hermès Jacques Gillis, cultivateur, âgé de vingt deux ans, amis des contractants, domiciliés tous les trois à Oneux, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante, les père et mère du contractant, et les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 13/04/1861 François Lambert MONAY et Marie Thérèse LEFIN (n°06)

L’An mil huit cent soixante un, le treizième jour du mois d’avril, à sept heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur François Lambert Monay, charron, âgé de trente huit ans, deux mois, dix sept jours, domicilié à Theux, né au même lieu le vingt sept janvier mil huit cent vingt trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt huit mars dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Gilles Joseph Monay, charron, âgé de soixante neuf ans, domicilié au dit Theux, lequel a donné son consentement au présent mariage par acte en brevet avenu devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, le dix sept février dernier, enregistré à Spa le dix neuf même mois, volume cent neuf, folio vingt six, recto, case quatrième, contenant un rôle sans renvoi ; reçu en principal et additionnels deux francs vingt centimes

Le receveur, signé Warlomont, et de feue Marie Elisabeth Bragard décédée au dit Theux le quinze novembre mil huit cent quarante deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt huit mars dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; lequel ayant dépassé l’âge de la milice nationale est dispensé de produire le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Thérèse Lefin, servante, âgée de vingt neuf ans, trois mois, seize jours, domiciliée au dit Theux, née à La Reid, le vingt huit décembre mil huit cent trente un, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize février dernier par Monsieur N.J. Damseaux, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de La Reid, fille majeure et légitime de François Joseph Lefin, cultivateur, âgé de soixante un ans et de Marie Joseph Renkin, ménagère, âgée de cinquante un ans, domiciliés à la Reid, ci-présents et consentants..Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente un mars dernier et sept avril courant aux dix heures du matin,. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits François Lambert Monay et Marie Thérèse Lefin sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Mathieu Hardy, foulon, âgé de quarante un ans, de Henri Joseph Wérenne, garde champêtre surnuméraire, âgé de quarante ans, de Jean Pierre Victor Caro, Menuisier, âgé de trente ans, et de Jean Nicolas Michotte, cordonnier, âgé de trente ans, tous les quatre amis des contractants, domiciliés tous à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 27/04/1861 Jean Hubert LEGRANDHENRI et Marie Jeanne GOHY (n°10)

L’An mil huit cent soixante un, le vingt septième jour du mois d’avril, à sept heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Legrandhenri, Charretier, âgé de vingt huit ans, un mois, seize jours, domicilié au Vieux pasay commune de La Reid, né au même lieu le onze mars mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize avril courant par Monsieur N.J. Damseaux, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de La Reid, fils majeur et légitime de Pascal Legrandhenri, journalier, âgé de soixante deux ans, et de Anne Marie Ansay, ménagère, âgée de soixante deux an, domiciliés au dit Vieux pasay, ci-présents et consentants : Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Gohy, ménagère, âgée de trente deux ans, cinq mois, onze jours, domiciliée à Jevoumont cette commune, née au même lieu, le seize novembre mil huit cent vingt huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le trente un mars dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Hubert Joseph Gohy, cultivateur, âgé de septante ans, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant, et de feue Catherine Joseph Delcomminette décédée au même lieu le vingt huit août mil huit cent cinquante sept, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès, délivré le trente un mars dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt un avril courant aux dix heures du matin et au dit Reid, les mêmes jours à la même heure, comme il et également constaté par les certificat de publication de promesses réciproque de mariage. Délivré le vingt cinq avril courant par Monsieur Damseaux, Bourgmestre prénommé ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à ni à l’officier de l’état civil de la commune de La Reid, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Legrandhenri et Marie Jeanne Gohy. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Legrandhenri, plafonneur, âgé de trente deux ans, frère du contractant, domicilié à Dison, de Julien Servais, ouvrier mineur, âgé de trente un ans, cousin germain du contractant, domicilié à Spixhe, cette commune, de Hubert Joseph Gohy, jardinier, âgé de trente neuf ans, frère de la contractante, domicilié à Theux, et de Jean Laurent Bertrand, cultivateur, âgé de vingt trois ans, neveu de la contractante, domicilié à Jevoumont, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, le père du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, le contractant, la mère du contractant et le père de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer. Les mots, la mère du contractant, interlignés ci-dessus sont approuvés.

 

 

 

 

 

M 08/06/1861 Dieudonné MOUREAU et Marie Thérèse JASON (n°14)

L’An mil huit cent soixante un, le huitième jour du mois de juin à sept heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Dieudonné Moureau, ouvrier mineur, âgé de vingt six ans, dix mois, seize jours, domicilié à Juslenville, né au même lieu le vingt deux juillet mil huit cent trente quatre, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt deux mai dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Jean Michel Moureau, journalier, âgé de soixante sept ans, domicilié au dit Juslenville, ci-présent et consentant, et de feue Marie Catherine Toumsin, décédée au même lieu le premier février mil huit cent cinquante huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt deux mai dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Thérèse Jason, ouvrière de fabrique, âgée de trente ans, huit mois, quatorze jours, domiciliée au dit Juslenville, née au même lieu le vingt quatre septembre mil huit cent trente, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt deux mai dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de feu Lambert Joseph Jason, décédé au susdit Juslenville le vingt trois mars mil huit cent cinquante deux, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt deux mai dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Hélène Jason, ménagère, âgée de soixante huit ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six mai dernier et deux juin courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Dieudonné Moureau et Marie Thérèse Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Michel Moureau, fileur par mécaniques, âgé de quarante sept ans, frère du contractant, de Jean Hubert Lambert, serrurier, âgé de trente quatre ans, beau frère par alliance du contractant, domiciliés à Spixhe, cette commune, de François Joseph Jason, laineur, âgé de trente neuf ans, frère de la contractante, et de Jean François Bernardin, Menuisier, âgé de trente trois ans, cousin germain de la contractante, domiciliés à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante et trois des témoins, ont signé avec nous, le contractant, le père du contractant, la mère de la contractante, et Jean Michel Moureau, l’un des témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 15/06/1861 François Lambert BEAUVE et Marie Charlotte Hubertine PIRE (n°15)

L’An mil huit cent soixante un, le quinzième jour du mois de juin à sept heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur François Lambert Beauve, cultivateur, âgé de vingt sept ans, huit mois, vingt huit jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu le dix sept septembre mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier juin courant par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de cinquante neuf ans, domicilié au dit Juslenville, ci-présents et consentants, et de feue Marie Thérèse Decheneux, décédée au même lieu le trois janvier mil huit cent trente neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le premier juin courant par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. Et Marie Charlotte Hubertine Pire, Ménagère, âgée de vingt deux ans, sept mois, treize jours, domiciliée au dit Juslenville, née à Theux le deux novembre mil huit cent trente huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier juin courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Louis Joseph Pire, maître foulon, âgé de cinquante ans, et de Marie Anne Thomson, ménagère, âgée de cinquante un ans, domicilié au susdit Juslenville ci-présents et consentants, Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches deux et neuf juin courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits François Lambert Beauve et Marie Charlotte Hubertine Pire, sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de trente deux ans, frère du contractant, domicilié à Oneux, cette commune, de Bertrand Joseph Gohy, menuisier, âgé de vingt sept ans, beau frère par alliance du contractant, domiciliée à Juslenville cette commune, de François Joseph Job, cultivateur, âgé de quarante quatre ans, oncle par alliance de la contractante, domicilié à Pouillou Fourneau, cette commune, et de Mathias Dehaye, charron, âgé de cinquante cinq ans, oncle par alliance de la contractante, domiciliés à Heusy, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, la mère de la contractante, et trois des témoins ont signé avec nous, le père de la contractante et François Joseph Job, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

 

M 05/07/1862 Guilleaume Jacques Joseph BÜNTGENS et Jeannette Françoise COUMONT (n°14)

L’an mil huit cent soixante deux le cinquième jour du mois de juillet à sept heures de relevée, par devant Nous Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus, en notre maison commune, et publiquement le sieur Guilleaume Jacques Joseph Büntgens, mécanicien, âgé de vingt cinq ans, trois mois, onze jours, domicilié à Eupen, Prusse, né au même lieu le vingt cinq mars mil huit cent trente sept fils majeur et légitime des défunts François Guilleaume Büntgens et Elisabeth Lahay, décédés au dit Eupen, le premier le dix février mil huit cent trente neuf, la seconde le seize juillet mil huit cent quarante un, petit fils du côté paternel de Jacques Büntgens et Elisabeth Leffin décédés au dit Eupen, le premier le cinq février mil huit cent trente trois, la seconde le vingt un janvier mil huit cent quarante quatre, du côté maternel de Jean Léonard Lahay et Anne Catherine Jaeghers, décédé au susdit Eupen, lé premier le vingt un avril mil huit cent quarante huit, la seconde le quinze décembre mil huit cent soixante, comme il en conste par les extraits de leurs actes de naissance et décès délivrés le dix neuf avril dernier par Monsieur Koets, Bourgmestre, officier de l’état civil de la ville d’Eupen, traduits les dits extraits le quatre juillet courant par Monsieur Konighaus, traducteur juré à Verviers ; lequel appartenant à un pays où les Belges en sont pas astreints au service militaire est dispensé de produire el certificat Litt. L.L. exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Jeannette Françoise Coumont, drousseuse, âgée de vingt sept ans, huit mois, dix jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, né au même lieu le vingt six octobre mil huit cent trente quatre, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre juillet courant par nous, Martin Hubert Caro, Premier échevin, prénommé, fille majeure et légitime de François Joseph Coumont, nettoyeur de machines, âgé de cinquante neuf ans, et de Pétronille Françoise Lelotte, ménagère, âgée de soixante ans, domiciliés au dit Juslenville, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit et quinze juin derniers aux dix heures du matin et au dit Eupen les dimanches vingt deux et vingt neuf du même mois de juin à neuf heures du matin, comme il est également constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré le deux juillet courant par Monsieur Beckers, Bourgmestre d’Eupen, traduit le dit certificat le quatre juillet courant par Monsieur Konighaus, traducteur juré prénommé ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la ville d’Eupen, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Guilleaume Jacques Joseph Büntgens et Jeannette Françoise Coumont, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Lelotte, tisserand, âgé de soixante quatre ans, oncle de la contractante, domicilié à Verviers, de Louis Joseph Formatin, tisserand, âgé de trente sept ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Pepinster, de Thomas Joseph Lancereau, Fileur par mécaniques âgé de vingt six ans, domicilié à Forges Thiry, commune de Pepinster, et de Dieudonné Joseph Edouard Martin, mécanicien, âgé de vingt quatre ans, domicilié au dit Verviers, non parents ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante et les père et mère de la contractante, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 08/11/1862 Jean Joseph COUNET et Marie Catherine LEHOUSSE (n°21)

L’An mil huit cent soixante deux le huitième jour du mois de novembre à cinq heures de relevée, par devant Nous, Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus, en notre maison commune, et publiquement le sieur Jean Joseph Counet, fileur par mécaniques, âgé de trente ans, six mois, treize jours, domicilié à Oneux, cette commune, né au même lieu le vingt six mai mil huit cent trente deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf octobre dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de feu Hubert Joseph Counet, décédé au dit Oneux, le douze mars mil huit cent soixante, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dix neuf octobre dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Margueritte Jason, ménagère, âgée de cinquante neuf ans, domiciliée au même lieu, ci-présente et consentante ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Lehousse, tisserande, âgée de vingt sept ans, sept mois, six jours, domiciliée à Marché cette commune, née à Theux le deux avril mil huit cent trente cinq, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf octobre dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean François Lehousse, ouvrier mineur, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Catherine Piffer, ménagère, âgée de cinquante six ans, domiciliés au dit Marché, ci-présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six octobre derniers aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Joseph Counet et Marie Catherine Lehousse sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Thomas Joseph Parotte, cultivateur, âgé de trente quatre ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Oneux, cette commune, de Hubert Joseph Jason, ouvrier mineur âgé de cinquante cinq ans, oncle du contractant, domicilié à Theux, de Jean François Lehousse, fileur par mécaniques, âgé de trente deux ans, frère de la contractante, domicilié à Marché, cette commune et de Noël François Smitz, fileur par mécaniques, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Spixhe, aussi cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous. La mère du contractant, le père de la contractante et Jean François Lehousse, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 22/11/1862 Mathieu Joseph BONIVER et Adèle Jacques Adrienne DEJONC (N°24)

L’An mil huit cent soixante deux, le vingt deuxième jour du mois de novembre à sept heures de relevée, par devant Nous Martin Hubert CARO, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus, en notre maison commune, et publiquement le sieur Mathieu Joseph BONIVER, Propriétaire, âgé de soixante cinq ans, six mois et vingt trois jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu le huit floréal an cinq de la République, correspondant au vingt sept avril mil sept cent nonante sept, comme il conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze novembre courant par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre, Officier de l’état civil de cette commune, veuf de Marie Dieudonnée ANGENOT, décédée au dit Juslenville le vingt deux février mil huit cent cinquante un, fils majeur et légitime des défunts Mathieu BONIVER et Anne Marie SOTTREZ, décédés à Theux, le premier le vingt sept avril mil huit cent vingt quatre, la seconde le vingt trois août mil huit cent trente un, comme il conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le douze novembre courant par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre, prénommé ;Lequel ayant dépassé l’âge de la Milice Nationale est dispensé de produire le certificat Litt. L.L. exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept. ; Et Adèle Jacques Adrienne DEJONC, couturière, âgée de trente quatre ans, dix mois, dix huit jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le quatre janvier mil huit cent vingt huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze novembre courant par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Charles DEJONC et Marie Jeanne ANTOINE décédés au dit Theux, le premier, le dix sept novembre mil huit cent trente huit, la seconde, le trente un mars mil huit cent cinquante neuf, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivrés le douze novembre courant par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé ;

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize novembre courant aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et les futurs nous ayant affirmé également sous serment qu’ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de leurs ascendants et après que les époux ont eu déclaré que dans leur contrat de mariage retenu par le Notaire Delrée le vingt et un novembre courant, ils ont déclaré vouloir se marier  avec séparation des biens, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Mathieu Joseph BONIVER et Adèle Jacque Adrienne DEJONC sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Charles Joseph Désiré Napoléon DEJONC, Menuisier, âgé de vingt huit ans, frère de la contractante, domicilié à Juslenville cette commune, de Eugène VERNIER, garde au chemin de fer de Pepinster à Spa, âgé de quarante un ans, beau frère par alliance de la contractante, de Jean Guillaume STEPHENS, Menuisier, âgé de trente quatre ans et de Modeste CAPITAINE, Appariteur, âgé de cinquante un ans, non parents ni alliés des contractants, domicilié le premier au Pont de Rainonfosse, cette commune et les deux derniers à Theux et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et trois des témoins ont signé avec nous, Eugène VERNIER, l’un des témoins, a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 06/12/1862 Nicolas Joseph GUSTIN et Marie BONGARD (n°26)

L’an mil huit cent soixante deux, le sixième jour du mois de décembre, à six heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus, en notre maison commune, et publiquement le sieur Nicolas Joseph Gustin, ouvrier mineur, âgé de vingt trois ans, deux mois, douze jours, domicilié à Theux, né à Prayon, commune de Forêt, le vingt quatre septembre mil huit cent trente neuf comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le neuf novembre dernier par Monsieur J.B. Maréchal, Echevin de la commune de Forêt, fils mineur et légitime de Jean Pierre Gustin, charretier, âgé de soixante un ans, domicilié audit Theux, ci-présent et consentant, et de feue Marie Catherine Massart, décédée au même lieu, le vingt trois octobre mil huit cent cinquante six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le trente novembre dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Bongard, servante, âgée de trente trois ans, un mois vingt un jours, domiciliée à Sassor, cette commune, née à Bernister, Département de Régence d’Aix la Chapelle, Prusse, le seize octobre mil huit cent vingt neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept novembre dernier par Monsieur J. Stouse, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Malmédy, fille majeure et légitime de François Bongard, cultivateur, âgé de soixante quatre ans, domicilié au dit Bernister, ci présent et consentant, et de feue Marie Hélène Bragard, décédée au même lieu le quatorze juin mil huit cent trente deux, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le dix sept novembre dernier par Monsieur J. Stouse, Bourgmestre prénommé. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente novembre derniers aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Nicolas Joseph Gustin et Marie Bongard sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Hubert Joseph George, cultivateur, âgé de quarante trois ans, de Jean Pierre Gustin, journalier, âgé de trente six ans, de Jean Henri Lentz, Employé de station du chemin de fer de Spa, âgé de trente ans, domiciliés tous les trois à Marché, cette commune, et de Modeste Capitaine, appariteur, âgé de cinquante un ans, domicilié à Theux, non parents ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père du contractant, et trois des témoins ont signé avec nous, le père de la contractante et Jean Pierre Gustin l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 14/02/1863 Arnold Joseph GOHY et Marie Hélène GOHY (n°05)

L’An mil huit cent soixante trois, le quatorzième jour du mois de février, à six heures de relevée, par devant nous, Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus, en notre maison commune, et publiquement le sieur Arnold Joseph Gohy, maréchal Ferrant, âgé de trente quatre ans, dix mois, dix neuf jours, domicilié à Theux, né à Juslenville, cette commune, le vingt six mars, mil huit cent vingt huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt sept janvier dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de Noël Joseph Gohy, maréchal Ferrant, âgé de soixante trois ans, et de Marie Thérèse Pondant, ménagère, âgée de soixante un ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. ; Et Marie Hélène Gohy, ménagère, âgée de trente un ans, six mois, dix huit jours, domiciliée au dit Theux, né au même lieu le vingt sept juillet mil huit cent trente un, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt sept janvier dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de feu Toussaint Joseph Gohy, décédé au susdit Theux le vingt quatre décembre mil huit cent cinquante neuf, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt sept janvier dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé et de Marie Catherine Pirlot, messagère, âgée de soixante cinq ans, domiciliée au même lieu, ci-présente et consentante ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit février courant aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Arnold Joseph Gohy et Marie Hélène Gohy sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Noël Joseph Gohy, ouvrier mineur, âgé de trente ans, de Jean François Gohy, Menuisier, âgé de vingt un ans, frères du contractant, de Jean Toussaint Gohy, Charretier, âgé de vingt six ans, et de Denis Joseph Gohy, serrurier, âgé de vingt un ans, frère de la contractante,, domiciliés tous les quatre à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère du contractant, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, le p ère du contractant, a déclaré bne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 18/04/1863 Félix Joseph Hubert POUSSART et Marie Pauline FASSIN (n°07)

L’An mil huit cent soixante trois, le dix huitième jour du mois d’Avril, à sept heures de relevée, par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Félix Joseph Hubert Poussart, tisserand, âgé de vingt cinq ans, un mois, deux jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu, le seize mars mil huit cent trente huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt cinq mars dernier, par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Mathieu Joseph Poussart, journalier, âgé de cinquante huit ans, domicilié au dit Juslenville, ci présent et consentant, et de feue Margueritte Joseph Jason, décédée au même lieu le vingt cinq avril mil huit cent quarante deux, comme il en conste également, pour l’extrait de son acte de décès, délivré le vingt cinq, mars dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. Et Marie Pauline Fassin, Ménagère, âgée de vingt un ans, cinq mois, quinze jours, domiciliée à Juslenville-petite, aussi cette commune, née à Juslenville, cette commune, les trois novembre mil huit cent quarante un, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance, délivré le vingt cinq mars dernier par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Pierre Joseph Fassin, cultivateur, âgé de cinquante sept ans, et de Anne Claire Lardinois, Ménagère, âgée de cinquante huit ans, domiciliées au dit Juslenville-petite, ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux, et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt neuf mars dernier et cinq avril courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Félix Joseph Hubert Poussart et Marie Pauline Fassin, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Noël Henri Joseph Lambotte, Négociant, âgé de cinquante ans, oncle par alliance du contractant, domicilié à Engis, de François Joseph Wayaffe, ouvrier mineur, âgé de trente ans, beaufrère par alliance du contractant, domicilié à Juslenville, cette commune, de François Nicolas Fassin tisserand, âgé de vingt quatre ans, cousin germain de la contractante, domicilié à Verviers, et de Jean Nicolas Brulle, fileur par mécaniques, âgé de trente trois ans, cousin germain de la contractante, domicilié à Juslenville petite, aussi cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir écrire ni signer ;

 

M 25/04/1863 Henri Joseph LAGUESSE et Marie Joseph HERTAY (n°09)

L’an mil huit cent soixante trois, le vingt cinquième jour du mois d’avril à sept heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre Maison commune et publiquement le sieur Henri Joseph Laguesse, cultivateur, âgé de trente cinq ans, onze mois, huit jours, domicilié à Oneux, cette commune, né au même lieu, le dix sept mai mil huit cent vingt sept, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze février mil huit cent soixante deux, par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, veuf de Marie Anne Defat, décédée au dit Oneux, le quatorze septembre mil huit cent cinquante huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le onze février dernier mil huit cent soixante deux, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de feu Jean Joseph Laguesse, décédé au dit Oneux, le six février mil huit cent cinquante six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le onze février mil huit cent soixante deux, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Anne Pirnay, ménagère, âgée de septante quatre ans, domiciliée au même lieu, ci-présente et consentante ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par le Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Hertay, ménagère, âgée de trente six ans, dix mois, dix neuf jours, domiciliée au dit Oneux, née au même lieu le six juin mil huit cent vingt six, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze février mil huit cent soixante deux, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Henri Joseph Hertay, et Marie Jeanne Corne, décédés au susdit Oneux, le premier, le treize janvier mil huit cent trente neuf, la seconde, le sept septembre mil huit cent cinquante neuf, comme il est aussi constaté par els extraits de leurs actes de décès délivrés le onze février, mil huit cent soixante deux, par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf avril courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du code civil intitulé du mariage et la future nous ayant affirmé sous serment qu’elle ignore le lieu le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et Aïeules et les témoins nous ayant affirmés également sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Henri Joseph Laguesse et Marie Joseph Hertay sont unis par le mariage ; Et à l’instant ces époux, nous ont déclaré qu’ils est né d’eux à Oneux, cette commune, le vingt février mil huit cent soixante deux, Marie Catherine Henriette Laguesse, qu’ils reconnaissent pour leur fille et entendent légitimer par leur mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Legrand,, maître mineur, âgé de quarante deux ans, beaufrère par alliance du contractant, domicilié à Lossay (?) cette commune, de Jean Joseph Libert, Chef mineur, âgé de quarante ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Bilstain, de Jean Toussaint Defaaz, ouvrier mineur, âgé de trente quatre ans, beau frère du contractant, domicilié à Oneux, cette commune ; et de Jean Noël Sacré, cultivateur, âgé de trente sept ans, neveu par alliance de la contractante, domicilié à Hevremont, commune de Limbourg, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le contractant et la mère du contractant ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 23/12/1863 Ferdinand Joseph BONIVER et Victorine DUMOULIN (n°23)

L’An mil huit cent soixante trois, le vingt troisième jour du mois de décembre, à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Dpa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Ferdinand Joseph Boniver, Platineur, âgé de trente ans, dix mois, seize jours, domicilié à Theux, né au même lieu le sept février mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre décembre courant par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Charles Léonard Ferdinand Boniver platineur, âgé de cinquante six ans, et de Marie Catherine Jehin, ménagère, âgée de cinquante deux ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ;Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Mademoiselle Victorine Dumoulin, institutrice communale, âgée de trente ans, deux mois, dix sept jours, domiciliée au dit Theux, née à Oteppe, Arrondissement de Huy, le six octobre mil huit cent trente trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le deux décembre courant par Monsieur Louis Wégria, échevin, officier de l’état civil de la commune d’Oteppe, fille majeure et légitime de Jean Joseph Dumoulin, cordonnier, âgé, de soixante quatre ans, domicilié à Huy, ci-présent et consentant, et de feue Marie Thérèse Jadin,, décédée au dit Theux le deux avril mil huit cent cinquante six, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès, délivré le quatre décembre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux, et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches treize et vingt décembre courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Ferdinand Joseph Boniver et Victorine Dumoulin sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Nicolas Joseph Lecart, charron, âgé de soixante trois ans, oncle par alliance du contractant, de Jean François Charlier, tailleur d’habits, âgé de cinquante cinq ans, cousin sous germain par alliance du contractant, de Noël Joseph Halut, Instituteur communal, âgé de vingt neuf ans, et de Laurent Maximilien de Hansez, secrétaire communal, âgé de cinquante un ans, non parents ni alliés des contractants, domiciliés tous les quatre à Theux, et après avoir reçu après lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 02/04/1864 Mathieu Théodore MOUREAU et Marie Claire VISE (n°08)

L’An mil huit cent soixante quatre, le deuxième jour du mois d’avril à six heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Mathieu Théodore Mourau, fileur par mécaniques, âgé de vingt cinq ans, huit mois, sept jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu, le vingt cinq juillet, mil huit cent trente huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf février dernier, par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Jean Michel Moureau, Briseur, âgé de septante ans, domicilié au dit Juslenville, ci-présent et consentant, et de feue Marie Catherine Thomsin, décédée au même lieu, le premier février mil huit cent cinquante huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dix neuf février dernier par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, ; Lequel a produit le certificat Litt L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Visé, drousseuse, âgée de vingt deux ans, onze mois, vingt deux jours, domiciliée au dit Juslenville, née au même lieu, le onze avril mil huit cent quarante un, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf février dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de feu Jean Noël Visé, décédé à Verviers le vingt quatre juillet mil huit cent cinquante six, transcrits sur les registres de décès de cette commune pour la même année en conformité de l’article quatre vingt du code civil, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le dix neuf février par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Marguerite Quoibion, ménagère, âgée de cinquante cinq ans, domiciliée au susdit Juslenville, ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept mars derniers aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et la future et sa mère nous ayant attesté qu’il y a identité de nom entre Jean Noël Visé époux de Marie Margueritte Quoibion, portés à l’acte de naissance de la future et Noël Visez, époux de Margueritte Gobion porté sur l’acte de décès dudit Visez et que les véritables noms sont Jean Noël Visé et Marie Margueritte Quoibion, attestation qui a été faite aussi sous serment par les témoins, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Mathieu Théodore Moureau et Marie Catherine Visé sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs, Dieudonné Moureau, fileur par mécaniques, âgé de vingt neuf ans, frère du contractant, domicilié à Juslenville cette commune, de François Joseph Guisenne, charretier âgé de quarante ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Pepinster, de Léonard Joseph Fraikin,, journalier, âgé de vingt sept ans, domicilié à Stembert et de Joseph Fassin, fileur par mécaniques, âgé de vingt cinq ans, domicilié au dit Juslenville, non parents ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent actes, les contractants, la mère de la contractante, et trois des témoins ont signé avec nous, le père du contractant et Joseph Fassin, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 23/04/1864 Henri Joseph FASSIN et Antoinette Joseph WAYAFFE (n°10)

L’An mil huit cent soixante quatre, le vingt troisième jour du mois d’avril à sept heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Henri Joseph Fassin, maître mineur, âgé de vingt huit ans, cinq mois, quatre jours, domicilié à La Reid, né à Hestroumont, même commune de La Reid, le dix neuf novembre mil huit cent trente cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt avril courant par Monsieur N.J. Damseaux, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de La Reid, fils majeur et légitime des défunts Laurent Walthère Fassin et Marie Françoise Rosisus, décédés au dit Reid, le premier le vingt huit septembre mil huit cent cinquante huit, la seconde le vingt un mars mil huit cent soixante quatre, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le vingt avril courant par Monsieur N.J. Damseaux, Bourgmestre prénommé ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit dix sept ; Et Antoinette Joseph Wayaffe, ménagère, âgée de vingt trois ans, trois mois, six jours, domiciliée à Oneux, cette commune, née au même lieu, le dix sept janvier mil huit cent quarante un, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de naissance délivré le huit avril courant par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Servais Joseph Wayaffe, cultivateur, âgé de cinquante cinq ans, et de Marie Laurette Briaimont, ménagère, âgée de cinquante trois ans, domiciliée au dit Oneux, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix-sept avril courant aux dix heures du matin et au dit Reid les mêmes jours à la même heure, comme il est également constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt deux avril courant par Monsieur N.J. Damseaux, Bourgmestre prénommé ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de la commune de La Reid, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et le futur nous ayant affirmé sous serment qu’il ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmés également sous serment que quoiqu’ils connaissent les époux, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Henri Joseph Fassin et Antoinette Joseph Wayaffe sont unis par le mariage, ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Wayaffe, journalier, âgé de vingt huit ans, frère de la contractante, de Jean Lambert Detaille, cultivateur, âgé de trente sept ans, domicilié à Oneux, cette commune, de Julien Servais, Maître mineur, âgé de trente quatre ans, domicilié à Spixhe, aussi cette commune, et de Florent Henri Grosjean, cordonnier, âgé de trente six ans, domicilié à La Reid, non parents ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 25/06/1864 Thomas Joseph MONVILLE et Marie Jeanne GOHY (n°18)

L’An mil huit cent soixante quatre, le vingt cinquième jour du mois de juin à sept heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Thomas Joseph Monville, serrurier mécanicien âgé de vingt trois ans, six mois, trois jours, domicilié en la commune de Cornesse, né en celle d’Olne, le vingt deux décembre mil huit cent quarante, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf mai dernier par Monsieur Noël André, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune d’Olne, fils mineur et légitime de Jean Joseph Monville, cultivateur, âgé de cinquante deux ans, et de Dieudonnée Palau, ménagère, âgée de cinquante deux ans, domiciliée en la dite commune de Cornesse, ci présents et consentants, lequel à produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Gohy, messagère, âgée de vingt cinq ans, un mois, domiciliée à Theux, née au même lieu le vingt six mai mil huit cent trente neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze juin courant par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de feu Toussaint Joseph Gohy décédé à Theux le vingt quatre décembre mil huit cent cinquante neuf, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le onze juin courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Catherine Pirlot, ménagère, âgée de soixante six ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf juin courant aux dix heures du matin et au dit Cornesse les mêmes jours à huit heures du matin, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt deux juin courant par Monsieur Lambert François Pélécheid, Bourgmestre, officier de l’Etat civil de la commune de Cornesse ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de la commune de Cornesse, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Thomas Joseph Monville et Marie Jeanne Gohy sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Sébastien Joseph Coulange, tisserand, âgé de quarante six ans, oncle par alliance du contractant, domicilié à Cornesse, de Henri Joseph Palau, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, cousin germain du contractant, domicilié à Wegnez, de Jean Toussaint Gohy, Charretier, âgé de vingt huit ans, et de Denis Joseph Gohy, serrurier, âgé de vingt deux ans, frères de la contractante, domiciliés tous les deux à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 26/10/1864 Lambert Antoine MARCOTTE et Catherine Joséphine GODET (n°24)

L’An mil huit cent soixante quatre, le vingt sixième jour du mois d’octobre à six heures de relevée, par devant Nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Lambert Antoine MARCOTTE, Boulanger, âgé de vingt trois ans, deux mois, six jours, domicilié à Theux, né au même lieu le vingt Août mil huit cent quarante un, comme il en conste par l’extrait de son acte de Naissance délivré le treize octobre courant par Nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fils mineur et légitime de Antoine MARCOTTE, cultivateur, âgé de soixante deux ans et de Marie Anne Thérèse BERTRAND, Ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; lequel a produit le certificat Litt L.L. exigé par la Loi du huit janvier mille huit cent dix sept ; Et Catherine Joséphine GODET, cultivatrice, âgée de vingt neuf ans, deux mois six jours, domiciliée à Jevoumont, cette commune, née au même lieu le vingt Août mil huit cent trente cinq ; comme il en conste également par l’extrait de son acte de Naissance délivré le treize octobre courant par Nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean Pierre GODET, cultivateur, âgé de septante trois ans, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant et de feue Marie Charlotte ANTOINE, décédée au même lieu le vingt janvier mil huit cent soixante quatre, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le treize octobre dernier par Nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois octobre courant aux dix heures du matin; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Lambert Antoine MARCOTTE et Catherine Joséphine GODET sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Joseph MARIN, Foulon, âgé de vingt quatre ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Marché, cette commune, de André MARCOTTE, Propriétaire, âgé de soixante ans, Oncle du contractant, domicilié à Verviers, de Jean François Guilleaume HERTAY, cultivateur, âgé de quarante huit ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Mangombroux, commune de Heusy et de Jean Auguste Alexis BLUTZ, jardinier, âgé de quarante deux ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Verviers et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant et trois des témoins ont signé avec nous, le père de la contractante et Jean François Guilleaume HERTAY, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir ni écrire, ni signer.

 

 

 

M 29/10/1864 Jean François BERNARDIN et Marie Joseph BICHET (n°26)

L’An mil huit cent soixante quatre, le vingt neuvième jour du mois d’octobre à six heures de relevée, par devant Nous Martin Hubert Caro, Premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean François Bernardin, menuisier, âgé de trente six ans, huit mois, dix neuf jours, domicilié à Juslenville cette commune, né au même lieu le dix février mil huit cent vingt huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize octobre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de Jean Joseph Bernardin, journalier, âgé de cinquante neuf ans, domicilié audit Juslenville, lequel a donné son consentement au présent mariage par acte en brevet avenu devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, le dix neuf octobre courant, enregistré à Spa le lendemain, volume cent dix neuf, folio nonante sept, recto, case cinq, Reçu en principal et additionnels deux francs vingt centimes.vu un rôle sans renvoi, le Receveur, signé Warlomont et de Jeanne Joseph Jason, ménagère, âgée de soixante un ans, domiciliée au susdit Juslenville, ci présente et consentante ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Bichet, ménagère, âgée de trente six ans, huit jours, domiciliée au dit Juslenville, née à Winanplanche, commune de Spa, le vingt un octobre mil huit cent vingt huit, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze octobre courant par Monsieur Jules Lezaack, échevin, officier de l’état civil de la commune de Spa, épouse divorcée de Ignace Louis Creir, suivant jugement par défaut du tribunal civil de première instance de Verviers en date du vingt cinq mars mil huit cent soixante trois, dont expédition a été jointe aux pièces de mariage de cette commune de la même année, et le divorce prononcé par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, le six août mil huit cent soixante trois, et transcrits sur les registres aux actes de mariage de la même année, fille majeure et légitime de feu Antoine Bichet, décédé au Moulin de Theux, cette commune le trente un mars mil huit cent quarante six, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le treize octobre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé et de Catherine Joseph Dessaucy, ménagère, âgée de soixante trois ans, domiciliée au susdit Juslenville, ci-présente et consentante ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois octobre courant aux dix heures du matin; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean François Bernardin et Marie Joseph Bichet, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Dieudonné Moureau, Fileur par mécaniques, âgé de trente ans, cousin germain par alliance du contractant, de Jean François Hodiamont, couvreur en ardoises, âgé de trente huit ans, beau frère par alliance de la contractante, De Georges Joseph Dessaucy, cultivateur, âgé de trente ans, cousin sous-germain de la contractante, et de Pierre Joseph Depairon, cultivateur, âgé de vingt huit ans, non parent ni allié des contractants, domiciliés tous les quatre à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et trois des témoins ont signé avec nous ; la contractante, la mère de la contractante et Jean François Hodiamont l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer. La mère du contractant a déclaré également ne pouvant plus signer par suite de la perte de la première phalange de l’index droit.

 

M 05/11/1864 Jean Mathieu COLLINS et Dieudonnée FASSIN (n°27)

L’An mil huit cent soixante quatre, le cinquième jour du mois de novembre à cinq heures de relevée, par devant Nous Martin Hubert Caro, Premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Mathieu Collins, Directeur de filature, âgé de vingt cinq ans, sept mois vingt un jours, domicilié à Dison, né à Aubel, le quinze mars mil huit cent trente neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix octobre dernier par Monsieur J.L.J. Nicolaï Bourgmestre, officier de l’Etat civil de la commune d’Aubel, fils majeur et légitime de Mathieu Collins, garçon boulanger, âgé de cinquante quatre ans, et de Marie Jeanne Zauwen, ménagère, âgée de quarante huit ans, domiciliés au dit Dison, ci-présents et consentants ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Dieudonnée Fassin, ménagère, âgée de dix huit ans, quatre mois, vingt quatre jours, domiciliée à Juslenville petite, cette commune, née au même lieu, le onze juin mil huit cent quarante six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept octobre dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, fille mineure et légitime de Pierre Joseph Fassin, cultivateur, âgé de cinquante neuf ans, et de Anne Claire Lardinois, ménagère, âgée de cinquante neuf ans, domiciliés au dit Juslenville-petite, ci-présent et consentant. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente octobre dernier aux dix heures du matin et au dit Dison les mêmes jours, comme il est également constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le deux novembre courant par Monsieur Chandelle-Hannotte, Bourgmestre, officier de l’état-civil de la commune de Dison ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à Monsieur l’officier de l’état civil de la commune de Dison, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Mathieu Collins et Dieudonnée Fassin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Zauwen, jardinier âgé de cinquante six ans, oncle du contractant, de Nicolas Rutten, tailleur d’habits, âgé de trente trois ans, cousin germain du contractant, domiciliés tous les deux à Aubel, de Jean Joseph Fassin, tisserand, âgé de cinquante cinq ans, oncle de la contractante, domicilié à Verviers, et de Jean Jacques Brulle, journalier, âgé de soixante sept ans, oncle par alliance de la contractante, domicilié à Juslenville, cette commune, et après voir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, le père de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, la mère du contractant, la m ère de la contractante et Henri Zauwen, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 28/01/1865 Jean Nicolas LEMAIRE et Marie Charlotte JOB (n°03)

L’an mil huit cent soixante cinq le vingt huitième jour du mois de janvier à six heures de relevée, par devant nous Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le Sieur Jean Nicolas Lemaire, tisserand, âgé de vingt six ans, cinq mois, dix sept jours, domicilié à Pouillou Fourneau, cette commune, née à Oneux, aussi cette commune, le onze août mil huit cent trente huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze janvier courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de Jean Lambert Lemaire, journalier, âgé de cinquante sept ans, et de Marie Françoise Gillet, ménagère, âgée de cinquante un ans, domiciliés au dit Pouillou Fourneau, ci-présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Charlotte Job, ménagère, âgée de vingt un ans, deux mois quinze jours, domiciliée au dit Pouillou Fourneau, née à Theux le treize novembre mil huit cent quarante trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le onze janvier courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de François Joseph Job, cultivateur, âgé de quarante sept ans, et de Anne Joseph Thomson, ménagère, âgée de quarante six ans, domiciliés au susdit Pouillou Fourneau, ci-présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quinze et vingt deux janvier courant aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Nicolas Lemaire et Marie Charlotte Job sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre François Troisier, tisserand, âgé de vingt cinq ans, beau frère par alliance du contractant, de Dieudonnée Joseph Gillet, ouvrier mineur, âgé de trente trois ans, oncle du contractant, de Georges Joseph Dessaucy, laveur de minerais, âgé de trente ans, cousin sous germain de la contractante, domiciliés tous les trois à Juslenville-petite cette commune, et de Jean Pierre Victor Caro, menuisier, âgé de vingt cinq ans, non parent des contractants, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le p ère du contractant, les père et mère de la contractante, et les quatre témoins, ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 06/05/1865 Jean Thomas Joseph TALBOT et Marie Louise GODET (n°13)

L’An mil huit cent soixante cinq, le sixième jour du mois de mai à six heures de relevée, par devant nous Martin Hubert CARO, premier échevin de la commune de Theux, canton de spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le Sieur Jean Thomas Joseph TALBOT, ouvrier mécanicien, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, né Devant Staneux, cette commune le sept mai mil huit cent quarante et un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept avril dernier par Monsieur Henri DANDRIMONT , Bourgmestre Officier de l’Etat civil de cette commune, fils mineur et légitime de feu Thomas Joseph TALBOT, décédé au dit Devant Staneux le vingt six janvier mil huit cent quarante six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dix sept avril dernier par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, et de Anne Joseph DEBOUNY, Ménagère, âgée de cinquante cinq ans, domiciliée au dit Theux, ci présente et consentante ; lequel a produit le certificat Litt. LL exigé par la Loi du huit janvier Mil huit cent dix sept ; Et Marie Louise GODET, cultivatrice, âgée de trente un ans, onze mois, dix jours, domiciliée à Jevoumont, cette commune, née au même lieu le vingt six mai mil huit cent trente trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept avril dernier par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean Pierre GODET, cultivateur, âgé de septante quatre ans, domicilié au fit Jevoumont, ci présent et consentant et de feue Marie Charlotte ANTOINE, décédée au même lieu le vingt janvier mil huit cent soixante quatre, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le dix sept avril dernier par Monsieur Henri DANDRIMONT bourgmestre prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente avril dernier aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Thomas Joseph TALBOT et Marie Louise GODET sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs François Joseph TALBOT, Surveillant à l’abattoir de Verviers, âgé de vingt trois ans, cousin germain du contractant, domicilié au dit Verviers, de Pascal Joseph RAMONFOSSE, cultivateur, âgé de trente neuf ans, beau frère par alliance de la contractante,  domicilié à Hodbomont, cette commune, de Lambert Antoine MARCOTTE, Boulanger, âgé de vingt trois ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Theux et de Jean George DOHOGNE, cantonnier, âgé de vingt cinq ans, non parent ni allié des contractants, domicilié à Heusy et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant et le père de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

 

M 20/09/1865 Joseph MARECHAL et Marie Jeanne GUSTIN (n°23)

L’An mil huit cent soixante cinq, le vingtième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant nous Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le Sieur Joseph Maréchal, cordonnier, âgé de trente un ans, un mois vingt un jours, domicilié à Marché cette commune, né à Malmédy, province d’Aix-la-Chapelle, Prusse, le trente juillet mil huit cent trente quatre, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre août dernier par Monsieur G. Piette, Bourgmestre de la commune de Malmédy, fils majeur et légitime des défunts Jean François Maréchal et Catherine Henesse, décédés, le premier, à Marché cette commune, le cinq juin mil huit cent soixante, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le sept septembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, la seconde au dit Malmédy le onze mai mil huit cent trente neuf, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le quatre août dernier par Monsieur G. Piette, Bourgmestre prénommé, Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Gustin, journalière, âgé de trente ans, un mois, quinze jours, domiciliée au dit Marché, née au même lieu, le cinq août mil huit cent trente cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre août dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Jean Nicolas Gustin, et Marie Jeanne Dyon, décédés au susdit Marché, le premier le vingt quatre juin mil huit cent quarante deux, la seconde le vingt huit avril mil huit cent soixante et un, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès, délivré le vingt quatre août dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix-sept septembre courant aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et les futurs nous ayant affirmé sous serment qu’ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de leurs aïeuls et Aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent les futurs époux époux ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de leurs ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Joseph Maréchal et Marie Jeanne Gustin sont unis par le mariage, ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Marin, foulon, âgé de vingt cinq ans, de Hubert Joseph George, cultivateur, âgé de quarante six ans, de Pierre Joseph Gustin, journalier, âgé de trente deux ans, domiciliés tous les trois à Marché, cette commune, et de Antoine Joseph Rensonnet, foulon, âgé de vingt cinq ans, domicilié devant Staneux, aussi cette commune, non parents ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 02/12/1865 Pierre Joseph Léopold GONAY et Marie Anne GODET (n°31)

L’An mil huit cent soixante cinq, le deuxième jour du mois de décembre à cinq heures de relevée, par devant nous Martin Hubert CARO, premier échevin de la commune de Theux, canton de spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le Sieur Pierre Joseph Léopold GONAY, Boucher, âgé de vingt trois ans, dix sept jours, domicilié à Theux, né au même lieu le quinze novembre mil huit cent quarante deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivre le dix huit novembre  dernier par Monsieur Henri DANDRIMONT, Bourgmestre Officier de l’Etat civil de cette commune, fils mineur et légitime de Jacques GONAY, boucher, âgé de cinquante trois ans et de Marie Catherine WARICHET, ménagère, âgée de quarante neuf ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. Exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne GODET, cultivatrice, âgée de vingt trois ans, quatre mois, dix jours, domiciliée à Jevoumont cette commune, née au même lieu le vingt deux juillet mil huit cent quarante deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de Naissance délivré le dix huit novembre dernier par Monsieur Henri DANDRIMONT Bourgmestre, prénommé, fille majeure et légitime de Jean Pierre GODET, cultivateur, âgé de septante cinq ans, domicilié au dit Jevoumont, ci présent et consentant et de feue Marie Charlotte ANTOINE, décédée au même lieu le vingt janvier mil huit cent soixante quatre, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le dix huit novembre dernier  par Monsieur Henri DANDRIMONT Bourgmestre, prénommé

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six novembre dernier aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Pierre Joseph Léopold GONAY et Marie Anne GODET ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Florent GONAY, boucher, âgé de vingt huit ans, de Jacques Mathieu GONAY, Patissier, âgé de vingt quatre ans, frères du contractant , de Lambert Antoine MARCOTTE, Boulanger, âgé de vingt quatre ans, beau frère par alliance de la contractante, domiciliés tous les trois à Theux et de Jean Thomas Joseph TALBOT, ouvrier mécanicien, âgé de vingt quatre ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Jevoumont cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, le père du contractant et le père de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 26/09/1866 Hermès HOUBEAU et Marie Joséphine THOMSON (N°20)

L’An mil huit cent soixante six, le vingt sixième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant Nous, martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’Etat civil de la commune de Theux par devant X Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Hermès Houbeau, ouvrier mineur, âgé de vingt six ans, huit mois, vingt quatre jours, domicilié à Theux, né au même lieu, le deux janvier mil huit cent quarante comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier septembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’Etat civil de cette commune, fils majeur et légitime de feu Jean Pierre Houbeau, décédé au dit Theux le vingt sept janvier mil huit cent cinquante trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quinze septembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, prénommé et de Catherine Caro, ménagère, âgée de soixante cinq ans, domiciliée au même lieu ci présente et consentante ; lequel a produit le certfiicat litt L.L. exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joséphine Thomson, ménagère, âgée de cinquante quatre ans, quatre mois, vingt sept jours, domiciliée au dit Theux, née au même lieu le vingt sept avril mil huit cent douze, comme il conste également par l’extrait de son acte de naissance, délivré le quinze septembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Pierre Hubert Thomson et Marie Charlotte Thomson décédé au susdit Theux, le premier le treize octobre mil huit cent trente deux, la seconde le trente décembre mil huit cent cinquante cinq, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivré le quinze septembre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune els dimanches seize et vingt trois septembre courant aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et le future nous ayant affirmé sous serment qu’elle ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmés également sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Hermès Houbeau et Marie Joséphine Thomson sont unis par le mariage, De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Pierre Houbeau, Ouvrier mineur, âgé de trente huit ans, de Etienne Joseph Houbeau, ouvrier mineur, âgé de trente trois ans, frères du contractant, de Louis Joseph Degotte, boulanger, âgé de trente cinq ans, cousin germain par alliance du contractant, et de Jean Baptiste Houbeau boulanger, âgé de vingt huit ans, cousin germain du contractant, domiciliés tous les quatre à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 18/03/1867 Barthélemy FYON et Félicité FYON (n°04)

L’An mil huit cent soixante sept le dix huitième jour du mois de mars à six heures de relevée, par devant nous Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Barthelemy Fyon, tisserand, âgé de vingt neuf ans, un mois, quinze jours, domicilié à Verviers, né à Theux le trois février mil huit cent trente huit comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt six janvier dernier par Monsieur C. Beaufort, commis greffier, près le tribunal de première instance de Verviers, fils majeur et légitime de Jean Joseph Fyon, sans profession, âgé de septante trois ans, domicilié à Heusy, ci-présent et consentant, et de feue Elisabeth Moureau, décédée à Verviers le trente un juillet mil huit cent quarante cinq, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt neuf janvier dernier par Monsieur A. Ancion, commis greffier près le tribunal de première instance de Verviers ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Félicité Fyon, Tisserande, âgée de vingt trois ans, sept mois, vingt sept jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, née à Verviers, le vingt un juillet mil huit cent quarante trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt six janvier dernier par Monsieur C. Beaufort, commis greffier prénommé, fille majeure et légitime de Barthélemi Joseph Fyon, tisserand, âgé de soixante un ans et de Marie Catherine Elisabeth Jason, ménagère, âgée de cinquante ans, domiciliée au dit Juslenville, ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux, et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix sept et vingt quatre février dernier aux dix heures du matin et au dit Verviers les mêmes jours comme ils ont également constaté par le certificat de publication des promesses de mariage délivré le vingt sept février dernier par Monsieur H.F. Grandjean, Echevin, officier de l’état civil de la ville de Verviers, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Barthelemy Fyon et Félicité Fyon sont unis par le mariage ; Et à l’instant ces époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux à Juslenville, cette commune, le trois mars mil huit cent soixante sept, Marie Catherine Fyon qu’ils reconnaissent pour leur fille, et entendent légitimer per leur mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Aimond Fyon, tisserand, âgé de trente neuf ans, frère du contractant, domicilié à Heusy et Jacques Joseph Barthelemi Fyon, serrurier, âgé de vingt six ans, frère de la contractante, de Jean Barthélemi Fyon, fileur par mécanique, âgé de trente sept ans, cousin germain de la contractante, domiciliés au dit Juslenville, et de Jean Joseph Bierset, tisserand, âgé de trente un ans, non parent ni allié des contractants, domicilié à Verviers, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père de la contractante, Jacques Joseph Barthélemy Fyon et Jean Joseph Bierset, deux des témoins ont signé avec nous, la contractante, le père du contractant, la ère de la contractante, Aimond Fyon et Jean Barthélemi Fyon, les deux autres témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

M 26/10/1867 Pierre Joseph FASSIN et Marie Thérèse LAGUESSE (n°22)

L’An mil huit cent soixante sept, le vingt sixième jour du mois d’octobre à quatre heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Pierre Joseph Fassin, fileur par mécaniques, âgé de vingt huit ans, deux mois, dix jours, domicilié à Juslenville petite cette commune, né à Juslenville aussi cette commune, le seize août mil huit cent trente neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze octobre courant par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Pierre Joseph Fassin, cultivateur âgé de soixante deux ans, et de Anne Claire Lardinois, ménagère, âgée de soixante deux ans, tous les deux domiciliés à Juslenville petite cette commune, ci-présents et consentants,. Lequel a produit le certificat Litt L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept.

Et Marie Thérèse Laguesse, couturière, âgée de dix neuf ans, un mois vingt sept jours, domiciliée à Juslenville petite cette commune, née à Theux, le vingt neuf août, mil huit cent quarante huit comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze octobre courant par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille mineure et légitime de Louis Joseph Laguesse, décédé à Theux le sept février mil huit cent cinquante deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le douze octobre courant par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé et de Marie Barbe Thérèse Caro, ménagère, âgée de cinquante quatre ans, domiciliée à Juslenville petite cette commune, ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux, et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches treize et vingt octobre courant aux dix heures du matin. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et la mère de la future nous ayant attesté sous serment qu’il y a identité de nom entre Barbe Thérèse Caro porté à l’acte de naissance de la future et Marie Barbe Thérèse Caro porté à l’acte de décès de son époux et que son véritable nom est Marie Barbe Thérèse Caro, laquelle attestation a été faite aussi sous serment par les témoins, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Joseph Fassin et Marie Thérèse Laguesse sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Hubert Poussart, tisserand, âgé de vingt huit ans, domicilié à Juslenville petite cette commune, beau frère du contractant, Mathieu Collins, directeur de filature, âgé de vingt six ans, domicilié à Juslenville, cette commune, beau frère du contractant, Martin Hubert Caro, propriétaire, âgé de septante un ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, et Jean Nicolas Laguesse, maître foulon, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Spixhe, cette commune, oncle de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père et la mère du contractant, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 12/03/1868 Jules Joseph GILLARD et Marie Ida Eve WILKIN (n°10)

L’an mil huit cent soixante huit, le douzième jour du mois de mars à quatre heures et demie de relevée par devant Nous, Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonctions d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jules Joseph Gillard, meunier, âgé de vingt six ans, huit mois quatre jours, domicilié à Pré au moulin cette commune, né à Theux, le huit juillet mil huit cent quarante un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt neuf février dernier par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de Antoine Gillard, meunier, âgé de septante quatre ans, et de Marie Françoise Doneux, ménagère, âgée de soixante ans, domiciliés au dit Pré au moulin cette commune, ci présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. Et Mademoiselle Marie Ida Eve Wilkin, sans profession, âgée de vingt trois ans, sept mois, seize jours domiciliée à Mont, cette commune, née au même lieu, le vingt cinq juillet mil huit cent quarante quatre comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt neuf février dernier par le dit Monsieur Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Melchior Joseph Wilkin, décédé à Mont cette commune le vingt sept juin mil huit cent soixante cinq et de Marie Jeanne Corne, décédée au même lieu le quatorze février mil huit cent cinquante huit comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le vingt neuf février dernier par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit mars courant aux dix heures du matin, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et la future nous ayant attesté sous serment qu’elle ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant également attesté sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et après que les futurs époux ont eu déclaré qu’il ya un contrat de mariage avenu devant maître Delrée notaire à Theux, le trois mars courant, avons, demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jules Joseph Gillard et Marie Ida Eve Wilkin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Joseph Gillard, meunier, âgé de trente quatre ans, domicilié au Pré au moulin cette commune, frère du contractant, de Henri Joseph Albert, fabricant de sirop âgé de cinquante trois ans, oncle par alliance de la contractante ; de Servais Joseph Corne, cultivateur, âgé de cinquante ans, oncle de la contractante, ces deux derniers domiciliés à Mont cette commune, et de Toussaint Detaille, corroyeur, âgé de trente cinq ans, domicilié à Verviers, cousin germain de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père et la mère du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 09/05/1868 Arnold GOHY et Marie Françoise Joseph CLOSE (n°13)

L’An mil huit cent soixante huit, le neuvième jour du mois de mai à six heures de relevée, par devant nous Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune absent, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Arnold Gohy, tisserand, âgé de trente ans, sept mois, vingt quatre jours, domicilié à Theux, né à Rondehaye cette commune, le quinze septembre mil huit cent trente sept comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre avril dernier, par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, fils majeur et légitime de Arnold Joseph Gohy, cultivateur domicilié à Theux, ci présent et consentant, et de Jeanne Marguerite Joseph Lescure décédée à Theux le vingt sept février mil huit cent soixante sept comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt quatre avril dernier par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, lequel a produit le certificat Litt L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Françoise Joseph Close, journalière, âgée de vingt sept ans, cinq mois, seize jours, domiciliée à Thier des Heids, cette commune, née à Theux, le vingt deux novembre mil huit cent quarante comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre avril dernier par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean Nicolas Close décédé à Thier des Heids cette commune, le quatre novembre mil huit cent soixante deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt quatre avril dernier par le dit Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Françoise Jodocy, cultivatrice âgée de soixante ans, domiciliée au dit Thier des Heids cette commune ci présente et consentante. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six avril dernier et trois mai courant aux dix heures du matin, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et le futur nous ayant attesté sous serment qu’il y a identité de nom entre Marguerite Lescure porté à son acte de naissance et Jeanne Marguerite Joseph Lescure porté à l’acte de décès de sa mère et que son véritable nom est Jeanne Marguerite Joseph Lescure ce qui est également attesté sous serment par les témoins, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Arnold Gohy et Marie Françoise Joseph Close, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Dehez, âgé de trente cinq ans, laveur de laines, beau frère par alliance du contractant, Jean Henri Lescure, ouvrier mineur, âgé de trente sept ans, frère utérin du contractant ; de Noël Gohy, tisserand, âgé de vingt cinq ans, frère du contractant, tous les trois domiciliés à Theux, et de Louis Duvivier, charretier, âgé de trente sept ans, domicilié à Pepinster, beau frère, nous disons non-parent des contractants.

Et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, Henri Dehez, Noël Gohy et Louis Duvivier ont signé avec nous, le contractant, le père du contractant, la mère de la contractante et Jean Henri Lescure ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 03/10/1868 Antoine JASON et Marie Françoise LEMAIRE (n°25)

L’an mil huit cent soixante huit, le troisième jour du mois d’octobre à cinq heures de relevée, par devant Nous Dieudonné Joseph Dessaucy, deuxième échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Antoine Jason, tisserand, âgé de vingt huit ans, neuf mois, neuf jours, domicilié à Juslenville cette commune, né à Forge Thiry, alors cette commune, actuellement commune de Pepinster, le vingt quatre décembre mil huit cent trente neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf septembre dernier par Monsieur Henri Dandrimont Bourgmestre officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et légitime de Henri Joseph Jason, négociant âgé de soixante quatre ans, et de Catherine Louise Jacques, ménagère âgée de soixante huit ans, domiciliés à Juslenville cette commune, ci présents et consentants, lequel a produit le certificat Littt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. Et Marie Françoise Lemaire, ménagère, âgée de vingt quatre ans, six mois, vingt deux jours domiciliée à Pouillou Fourneau, cette commune, née à Bra le onze mars mil huit cent quarante quatre comme il en conste également de par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept septembre dernier.par Monsieur J fs Lesenfants Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Bra, fille majeure et légitime de Jean Joseph Lemaire cultivateur âgé de soixante deux ans, et de Jeanne Catherine Thomas, ménagère âgée de cinquante six ans, tous les deux domiciliés à Pouillou Fourneau cette commune ci-présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept septembre dernier aux dix heures du matin. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Antoine Jason et Marie Françoise Lemaire sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs François Joseph Jason, fileur par mécaniques âgé de vingt six ans, domicilié à Juslenville cette commune non parent ni allié des contractants, de Eugêne Bastin cultivateur, âgé de vingt huit ans, domicilié à Pouillou Fourneau cette commune non parent ni allié des contractants, de Théodore Bertrand, fileur par mécanique, âgé de vingt six ans, domicilié à Juslenville cette commune et de Remacle Mailleur, tisserand, âgé de vingt huit ans, domicilié à Pepinster ces deux derniers non-parents ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, les pères du contractant et de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous les mères du contractant et de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

 

M 03/10/1868 Jean Hubert THOMSON et Jeanne Catherine Eléonore JAMINON (n°26)

L’an mil huit cent soixante huit, le troisième jour du mois d’octobre à six heures de relevée, par devant Nous Dieudonné Joseph Dessaucy, deuxième échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Thomson, charron, âgé de vingt six ans, onze jours domicilié à Theux, né au même lieu le vingt deux septembre mil huit cent quarante deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt septembre dernier par Monsieur Henri Dandrimont Bourgmestre officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et naturel de Marie Joseph Thomson, ménagère, âgée de cinquante cinq ans domiciliée à Theux, ci-présente et consentante, lequel a produit le certificat ci Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. Et Jeanne Catherine Eléonore Jaminon, ménagère âgée de vingt deux ans deux mois, vingt deux jours, domiciliée actuellement à Marché cette commune et précédemment à Wegnez (1), fille majeure et légitime de Frédéric Martin Joseph Jaminon et de Marie Joseph Masset, tous les deux décédés à Seraing le premier le deux août mil huit cent cinquante cinq et la seconde le trente juillet mil huit cent cinquante cinq comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le huit septembre dernier par Monsieur J. Leclercq officier de l’état civil de la commune de Seraing petite fille du coté paternel de Jean Gilles Jaminon, sans profession âgé de quatre vingt six ans et de Marie Jeanne Crismère sans profession âgé de quatre vingt un ans tous les deux domiciliés à Wegnez ci présents et consentants ; et du côté maternel de Jean François Masset et de Thérèse Cremeure dont le lieu de décès et celui du dernier domicile est inconnu ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept septembre dernier aux dix heures du matin et audit Wegnez les mêmes jours aux deux heures de relevée comme il en conste également par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le trente septembre dernier par Monsieur J.J. Lambrette échevin, officier de l’état civil de la commune de Wegnez ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de la commune de Wegnez ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et la future nous ayant affirmé sous serment qu’elle ignore le lieu de décès et celui du dernier domicile de ses aïeul et aïeule du côté maternel, et les témoins nous ayant affirmés sous serment que quoi qu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu de décès et celui du dernier domicile de ses ascendants du côté maternel, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Thomson et Jeanne Catherine Eléonore Jaminon sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs François Jaminon, tailleur de pierres, âgé de quarante un ans, domicilié à Wegnez, oncle de la contractante ; François Troestler (?), charpentier, âgé de quarante sept ans, domicilié à Andrimont, oncle par alliance de la contractante, de Jean Guillaume Warnotte, sans profession, âgé de soixante ans, oncle par alliance du contractant, domicilié à Theux et de Hubert Joseph Warnotte, maréchal Ferrant, âgé de trente un ans, cousin germain du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, l’aïeule de la contractante, la mère du contractant, et les quatre témoins ont signé avec nous, l’aïeul de la contractante a déclaré ne savoir le faire.

 

 (1) Née à Cornesse le onze juillet mil huit cent quarante six comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix neuf septembre dernier par Monsieur Pelecheid, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Cornesse.

 

 

M 24/10/1868 Jean Hubert MIDRE et Marie Anne Elisabeth JASON (n°29)

 

L’An mil huit cent soixante huit, le vingt quatrième jour du mois d’octobre à six heures de relevée, par devant Nous Dieudonné Joseph Dessaucy, deuxième échevin de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, absent, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Hubert Midré, maçon, âgé de vingt sept ans, deux mois quatre jours, domicilié à Juslenville cette commune, né au même lieu le vingt août mil huit cent quarante un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept octobre courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de cette commune, fils majeur et naturel de Catherine Midré, sans profession, domicilié à Juslenville cette commune, lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept. Et Marie Anne Elisabeth Jason, drousseuse, âgée de vingt cinq ans, sept mois, vingt jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le trois mars mil huit cent quarante trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept octobre courant par le dit Monsieur Henri Dandrimont Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Guillaume François Jason, cultivateur, âgé de cinquante un ans, et de Anne Catherine Drèze, ménagère, âgée de cinquante un ans, domicilié au même lieu ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux, et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit octobre courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Midré et Marie Anne Elisabeth Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Hubert Midré, maçon, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Stembert, frère de la mère du contractant, de Thomas Joseph Defraity, fileur par mécaniques, âgé de cinquante un ans, domicilié à Juslenville ; de Jean Joseph Wihet, boulanger, âgé de trente ans, domicilié à Juslenville cette commune, cousin germain de la contractante et Adam François Jason, menuisier âgé de vingt trois ans, domicilié à Oneux cette commune, les dits Defraity et Jason non parent ni alliés des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père (‘et la mère’ sont barrés) de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant, a déclaré ne savoir le faire de même que la mère de la contractante, . les mots et la mère rayés ci-dessus sont approuvés comme nuls.

Pour absence de l’acte dans les registres en lignes pour cause de pages manquantes.

 

PM 25/10/1868 Hubert Joseph DIEUPART et Marie Catherine GASPAR (n°86)

L’an mil huit cent soixante huit, le dimanche vingt cinquième jour du mois d’octobre à dix heures du matin.

Nous soussigné Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, avons publié pour la première fois devant la porte principale de notre maison commune qu’il y a promesse de mariage entre Hubert Joseph Dieupart, foulon domicilié à Rondehaye, cette commune, fils majeur et légitime de Thomas Joseph Dieupart et de Marie Gohy, tous les deux décédés, Et Marie Catherine Gaspar, domestique, domiciliée de fait à grand place cette commune, et de droit à La Gleize, fille majeure et légitime de Jean Guillaume Gaspar charpentier et de Marie Joseph Boutet ménagère, domiciliés à La Gleize.

Et à l’instant nous avons fait afficher à la porte de Notre Maison commune un extrait du présent acte de publication.

 

 

Pour absence de l’acte dans les registres en lignes pour cause de pages manquantes.

 

PM 22/11/1868 Gilles Joseph VIGNON et Marguerite COUNET (n°105)

L’an mil huit cent soixante huit, le dimanche vingt deuxième jour du mois de novembre à dix heures du matin.

Nous soussigné Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, avons publié pour la première fois devant la porte principale de notre maison commune qu’il y a promesse de mariage entre Gilles Joseph Vignon, menuisier, domicilié à Oneux cette commune, veuf de Marie Béatrix Detaille, fils majeur et légitime de Martin Joseph Vignon, menuisier et de Anne Marie Defosse ménagère tous les deux domiciliés à Hodchamps commune de Louveigné, Et Marguerite Counet, ménagère, domiciliée à Oneux, cette commune, fille majeure et légitime de Hubert Joseph Counet, décédé et Marguerite Jason, ménagère, domiciliée à Oneux, cette commune.

Et à l’instant nous avons fait afficher à la porte de Notre Maison commune un extrait du présent acte de publication.

 

 

Pour absence de l’acte dans les registres en lignes pour cause de pages manquantes.

 

PM 13/12/1868 Guillaume Joseph MOSBEU et Marie Catherine RONKART (n°110)

L’an mil huit cent soixante huit, le dimanche sixième jour du mois de décembre à dix heures du matin.

Nous soussigné Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, avons publié pour la première fois devant la porte principale de notre maison commune qu’il y a promesse de mariage entre Guillaume Joseph Mosbeu, fileur par mécaniques, domicilié à Juslenville cette commune, fils majeur et légitime de Guillaume Joseph Mosbeu, décédé et de Marguerite Jason, ménagère, domiciliée à Juslenville cette commune. Et Marie Catherine Ronkart, drousseuse, domiciliée à Juslenville cette commune, fille majeure et légitime de Jean Joseph Ronkart fileur par mécaniques, et de Marie Magdelaine Sody, ménagère, domiciliés à Juslenville, cette commune.

Et à l’instant nous avons fait afficher à la porte de Notre Maison commune un extrait du présent acte de publication.

 

 

 

 

M 24/04/1869 Joseph LOUSBERG et Marie Thérèse LAGUESSE (n°06)

L’an mil huit cent soixante neuf, le vingt quatrième jour du mois d’août, à six heures et demie de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Joseph Lousberg, menuisier, âgé de trente sept ans, deux mois, vingt un jours, domicilié à Baelen, né au même lieu le trois février mil huit cent trente deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le trente mars dernier par Monsieur E. L. Sühs (?), Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Baelen, fils majeur et légitime de Jean François Lousberg, décédé à Baelen, le trente juin mil huit cent soixante et de Anne Marie Jonkher, décédée au dit Baelen, le dix février mil huit cent quarante trois comme il en conste de également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le trente mars dernier par le dit Monsieur Sühs Bourgmestre prénommé, petit fils du côté paternel de Jacques Lousberg, décédé à Baelen le vingt quatre novembre mil huit cent trente trois, et de Marie Jeanne Hans, décédée au dit Baelen, le dix huit septembre mil sept cent nonante cinq ; du côté maternel de Renier Joncker décédé au dit Baelen, le vingt un juillet mil huit cent onze, et de Marie Madeleine Voss, décédée au dit Baelen, le six octobre mil huit cent vingt comme il conste également des extraits de leurs actes de décès délivrés le dix avril courant par le dit Monsieur Sühs, Bourgmestre prénommé ; Lequel ayant dépassé l’âge de la milice nationale est dispensé de fournir le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et, Marie Elisabeth Laguesse, sans profession, âgée de seize ans, onze mois vingt neuf jours, domiciliée à Theux, née à Chinru, commune de Polleur, le vingt six avril, mil huit cent cinquante deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le six avril courant par Monsieur J.P. Cornesse, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Polleur, fille mineure et légitime de Nicolas François Laguesse, Foulon, âgé de quarante neuf ans, et de Marie Elisabeth Jehin, ménagère, âgée de quarante neuf ans, tous les deux domiciliés à Theux, ci-présents et consentants, Lesquels nous ont requis, de procéder à la célébration du mariage, projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches onze et dix huit avril courant, aux dix heures du matin, et au dit Baelen les mêmes jours comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt un avril courant par le dit Monsieur Sühs, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Baelen; Aucune opposition au dit Mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Baelen ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé aux futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons aun nom de la Loi que les dits Joseph Lousberg et Marie Elisabeth Laguesse, sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Frédéric Hendrick, tailleur d’habits, âgé de trente huit ans, domicilié à Dolhain, Baelen, cousin germain du contractant ; François Gillis, mécanicien, âgé de vingt huit ans, domicilié à Limbourg, non parents des contractants ; Henri Laguesse, foulon, âgé de trente trois ans, oncle de la contractante ; Toussaint Laguesse, tisserand, âgé de vingt cinq ans, cousin germain de la contractante, ces deux derniers domiciliés à Theux, et après avoir reçu lecture du présent actes, les contractants, le père et la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 18/08/1869 Jean Joseph WIHET et Victoire Victorine COLETTE (n°18)

L’an mil huit cent soixante neuf, le dix huitième jour du mois d’août à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Joseph Wihet, boulanger, âgé de trente un ans, quatorze jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu le quatre août mil huit cent trente huit, comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance, délivré par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé#, fils majeur et légitime de Jean Joseph Wihet et de Marie Elisabeth Jason, tous les deux décédés à Juslenville, cette commune, le premier le premier mars mil huit cent quarante cinq et la seconde, le trois mai mil huit cent quarante trois, comme il en conste également des extraits de leurs actes de décès délivrés le sept août courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept, Et Victoire Victorine Colette, sans profession, âgée de vingt ans six mois, deux jours, domiciliée à Juslenville cette commune, fille mineure et légitime de Pierre Joseph Colette, nous disons, née à Juslenville, cette commune, le seize février mil huit cent quarante neuf, comme il en conste également de l’extrait de son acte de naissance délivré par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé le sept août courant, fille mineure et légitime de Pierre Joseph Colette, menuisier, âgé de cinquante deux ans domicilié à Juslenville cette commune, ci présent et consentant et de Victoire Joseph Leroy, décédée à Juslenville, cette commune, le premier mars mil huit cent soixante quatre, comme il en conste également de l’extrait de son acte de décès, délivré par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, le sept avril courant. Lesquels nous ont requis, de procéder à la célébration du mariage, projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches huit et quinze août courant, aux dix heures du matin, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et le père de la future nous ayant affirmé sous serment qu’il y a identité de nom entre Marie Victoire Leroy porté à l’acte de naissance de la future et Victoire Joseph Leroy porté à l’acte de décès de sa mère et que son véritable nom est Victoire Joseph Leroy, ce qui est également attesté sous serment par les témoins, avons demandé aux futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Joseph Wihet et Victoire Victorine Colette sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Adam Wihet, mécanicien, âgé de vingt sept ans, frère du contractant; Mathieu Jason, charretier, âgé de vingt six ans, cousin sous-germain du contractant, Joseph Colette, menuisier, âgé de vingt quatre ans, frère de la contractante, Joseph Colette, sans profession, âgé de vingt un ans, cousin germain de la contractante, tous domicilié à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

# le sept août courant renvoi approuvé.

 

 

M 09/10/1869 Hubert ROEL et Marie Lambertine JASON (n°28)

L’An mil huit cent soixante neuf, le neuvième jour du mois d’octobre à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Hubert Roel ouvrier mineur, âgé de vingt huit ans, deux mois, huit jours, domicilié à Theux, né à Rocherath, commune de Bullingen, province d’Aix-la-Chapelle, Prusse, le premier août mil huit cent quarante un comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance délivré le cinq février dernier par Monsieur Manderfeld, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Bullingen, traduit le dit extrait le seize février dernier par Monsieur, Koninghaus, traducteur juré à Verviers, fils majeur et naturel de Elisabeth Roel, sans profession, âgée de soixante cinq ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante, lequel appartenant à un pays où les Belges ne sont pas astreints au service militaire est dispensé de fournir le certificat Litt. L.L. exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Lambertine Jason, drousseuse, âgée de vingt un ans, quatre mois, vingt deux jours, domiciliée à Theux, née à Juslenville, cette commune, le dix sept mai mil huit cent quarante sept comme il en conste également de l’extrait de son acte de naissance délivré le deux octobre courant par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean François Jason et de Marie Joseph Pironnet, tous les deux décédés, le premier à Pepinster, alors cette commune, le vingt neuf juillet, mil huit cent quarante neuf, et la seconde à Juslenville, cette commune, le vingt huit avril mil huit cent soixante huit comme il en conste également des extraits de leurs actes de décès délivrés le deux octobre courant par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt six septembre dernier et trois octobre courant, aux dix heures du matin, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et la future nous ayant déclaré sous serment qu’elle ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant également attesté sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu de décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé aux futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Hubert Roel et Marie Lambertine Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Lambert Joseph Jason, sans profession, âgé de cinquante neuf ans, oncle de la contractante, Lambert George Close, ouvrier mineur, âgé de quarante ans, cousin germain par alliance de la contractante, Michel Joseph Sottrez, menuisier, âgé de cinquante cinq ans, non parent ni allié des contractants, Jean célestin Marcotte, négociant, âgé de trente sept ans, non parent ni allié des contractants, tous les quatre domiciliés à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante et trois des témoins ont signé avec nous ; le contractant, la mère du contractant et le dit Lambert Joseph Jason, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

(Note du transcripteur : La mariée signe Hubertine Jason)

 

 

M 16/10/1869 Noël Joseph GOHY et Marie Catherine LESSAINT (N°30)

L’An mil huit cent soixante neuf, le seizième jour du mois d’octobre à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Noël Joseph Gohy, tisserand, vingt six ans, neuf mois, seize jours, domicilié à Theux, né au même lieu le trente un décembre mil huit cent quarante deux comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt cinq septembre dernier par Nous Henri Dandrimont Bourgmestre prénommés, fils majeur et légitime de Arnold Joseph Gohy, cultivateur, âgé de soixante sept ans, domicilié à Theux, ci-présent et consentant, et de Jeanne Marguerite Joseph Lescure ; décédée à Theux le vingt sept février mil huit cent soixante sept comme il en conste également de l’extrait de son acte de décès délivré le vingt cinq septembre dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé. Lequel a produit le certificat Lit. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ;

Et Marie Catherine Lessaint, couturière, domiciliée à Theux, âgée de vingt cinq ans, quatre mois, huit jours, domiciliée précédemment à Vielsalm, née à Beaufays près ville du bois, commune de Vielsalm, province de Luxembourg, le huit juin mil huit cent quarante quatre, comme il en conste également de l’extrait de son acte de naissance, délivré le quinze août dernier, par Monsieur Jacques, échevin officier de l’état civil de la commune de Vielsalm, fille majeure et légitime de Jean François Lessaint, décédé à Ville du bois, commune de Vielsalm, le premier mars mil huit cent cinquante, comme il en conste également de l’extrait de son acte de décès délivré le quinze août dernier par le dit Monsieur Jacques échevin prénommé, et de Marie Joseph Falize, laquelle a donné son consentement à ce présent mariage par acte en brevet avenu devant Maître Jules Jacques, notaire à Vielsalm, le dix septembre dernier, enregistré à Houffalize le onze septembre mil huit cent soixante neuf volume cent vingt folio huit verso case trois enrôlé sans renvoi. Le receveur signé Monsiau (?). Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt six septembre dernier et trois octobre courant, aux dix heures du matin et à Vielsalm, les mêmes jours comme il est constaté par le certificat de publication des extraits des promesses réciproques du mariage ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Vielsalm, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, et la future nous ayant attesté sous serment qu’il y a identité de nom entre Arnold Gohy porté à son acte de naissance et Arnold Joseph Gohy, porté à l’acte de décès de sa mère et que son véritable nom est Arnold Joseph Gohy ; Qu’il y a également identité de nom entre Marguerite Lescure porté à son acte de naissance et Jeanne Marguerite Lescure porté à l’acte de décès de sa mère et que son véritable nom est Jeanne Marguerite Lescure ce qui est également affirmé sous serment par les témoins ; et la future nous ayant également attesté sous serment qu’il y a identité de nom entre François Lessaint porté à son acte de naissance et Jean François Lessaint porté à l’acte de décès de son père, ce qui est aussi attesté sous serment par les témoins, avons demandé aux futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Noël Joseph Gohy et Marie Catherine Lessaint sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Joseph Rahier fabricant de draps et âgé de trente six ans domicilié à Lambermont cousin germain du contractant ; Guillaume Joseph Quoibion, cordonnier âgé de quarante deux ans, domicilié à Theux, cousin germain par alliance du contractant, Guillaume Lessaint, mécanicien, âgé de trente un ans ; Antoine Lessaint, ouvrier tanneur, âgé de trente deux ans, ces deux derniers frères de la contractante, domiciliés à Vielsalm ; Et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et deux des témoins ont signé avec nous. La contractante, et les dits Guillaume et Antoine Lessaint ont déclaré ne savoir ni écrire ni signer.

 

M 06/11/1869 Jean Louis FYON et Marie Barbe JEHIN (n°33)

L’an mil huit cent soixante neuf, le sixième jour du mois de novembre à quatre heures de relevée par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Louis Fyon, tisserand âgé de vingt trois ans, huit mois, seize jours, domicilié à Juslenville cette commune, né à Verviers, le vingt un février mil huit cent quarante six, comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance délivré le six octobre dernier par Monsieur H.F. Grandjean, échevin, officier de l’état civil de la ville de Verviers, fils mineur et légitime de Barthélemi Joseph Fyon, cabaretier, âgé de soixante quatre ans, et de Marie Catherine Elisabeth Jason, ménagère, domiciliés au dit Juslenville cette commune, ci-présents et consentants ; la dite marie Catherine Elisabeth Jason, âgée de cinquante deux ans. Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Barbe Jehin, haspleuse, âgée de vingt un ans, huit mois, vingt neuf jours, domiciliée audit à Juslenville, née au même lieu le dix février mil huit cent quarante huit, comme il en conste également de l’extrait de son acte de naissance délivré le neuf octobre dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Guillaume Joseph Jehin fileur par mécaniques âgé de cinquante quatre ans, domicilié audit Juslenville, ci-présent et consentant, et de Marie Catherine Briaimont, décédée à Juslenville, cette commune, le vingt cinq octobre mil huit cent cinquante comme il en conste également de l’extrait de son acte de décès délivrés le neuf octobre dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches dix et dix-sept octobre dernier. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du Mariage, avons demandé aux futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Louis Fyon et Marie Barbe Jehin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Barthelemi Fyon, tisserand, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance du contractant, François Joseph Jason, fileur par mécaniques, âgé de vingt six ans, cousin germain de la contractante ; Adam François Jehin, menuisier, âgé de cinquante ans, oncle de la contractante ; Adam François Jason, menuisier, âgé de vingt quatre ans, cousin germain de la contractante, tous les quatre domiciliés à Juslenville cette commune ; Et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père et la mère du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.



16/11/2014
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