Theux-genealogie-be

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Actes de Mariage Theux 1850-1859

Actes de Mariage 1850-1859

 

M 01/05/1850 Adam LEROY et Marie Catherine GODET (n°03)

L’An mil huit cent cinquante, du mois de mai le premier jour à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, premier échevin, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, faisant fonction de Bourgmestre, en remplacement de Monsieur de Limbourg dont la démission est acceptée, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Adam Leroy, cultivateur, âgé de vingt deux ans, onze mois, huit jours, domicilié à Spixhe, cette commune, né sur la route de Spa, aussi cette commune, le vingt trois mai mil huit cent vingt sept, fils mineur et légitime de Jacques Joseph Leroy et de Marie Catherine Renard, décédés audit Spixhe le premier le quatre juin mil huit cent trente huit, la seconde le dix neuf juillet mil huit cent quarante huit, comme il en conste par le registre des actes de naissances et décès de cette commune pour les mêmes années. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Godet, cultivatrice, âgée de dix neuf ans, un mois, vingt deux jours, domiciliée à Jevoumont, cette commune, née au même lieu le neuf mars mil huit dent trente un, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille mineure et légitime de Jean Pierre Godet, cultivateur, et de Marie Charlotte Antoine, ménagère, domiciliées audit Jevoumont, ci-présents et consentants : lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches vingt un et vingt huit avril dernier aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeux ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Adam Leroy et Marie Catherine Godet sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Moyse Joseph Leroy mécanicien, âgé de trente un ans, domicilié au susdit Spixhe, frère du contractant, Jean François Joseph Colette, menuisier, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, beau frère du contractant, Jean Michel Joseph Leroy, tailleur de pierres, âgé de trente sept ans, domicilié à Juslenville, cette commune, cousin germain du contractant, et Hubert Godet, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, et demi, domicilié audit Jevoumont, frère de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, le père de la contractante a déclaré ne savoir le faire. Les mots le vingt trois mai mil huit cent vingt sept, interlignés, à la huitième et neuvième lignes de l’autre page, sont approuvés.

 

 

M 09/07/1850 Pascal Joseph BRASSEUR et Marie Barbe GOHY (N°8)

L’An mil huit cent cinquante le neuvième jour du mois de juillet à six heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Pascal Joseph Brasseur, toqueur, âgé de cinquante ans, onze mois, vingt cinq jours, domicilié à Juslenville cette commune, né à Forêt le vingt messidor an sept de la République Française correspondant au huit juillet mil sept cent nonante neuf comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier courant par monsieur J. Ancion, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Forêt, veuf de Marie Barbe Hezée décédée audit Juslenville le vingt quatre octobre mil huit cent quarante neuf, comme il en conste également sur le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année, fils majeur et légitime de Pierre Joseph Brasseur, décédé dans la commune d’Olne comme il est constaté par un certificat délivré par monsieur S. M. J. Meyer, Bourgmestre de la commune d’Olne et de Marie Joseph Remacle, décédée audit Olne le trois octobre mil huit cent douze, comme il est aussi constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt un juin dernier Monsieur Meyer, prénommé, lequel ayant dépassé l’âge de la milice nationale est dispensé de produire le certificat S L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Barbe Gohy, ménagère, âgée de trente ans, quatre mois, dix huit jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le dix sept février mil huit cent vingt, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure légitime de Toussaint Joseph Gohy, foulon, et de Marie Catherine Pirlot, messagère, domiciliés audit Theux, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches vingt trois et trente juin derniers aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeux ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage et qu’il est à leur connaissance personnelle que le susdit Pierre Joseph Brasseur est décédé, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Pascal Joseph Brasseur et Marie Barbe Gohy sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Gohy, messager, âgé de vingt huit ans, de François Laurent Joseph Gohy, messager, âgé de vingt deux ans, domiciliés audit Theux, frères de la contractante, Thomas Joseph Beck, directeur de machines, âgé de quarante deux ans, domicilié à Ensival, oncle de la contractante et Laurent Maximilien DeHansez, secrétaire communal, âgé de trente sept ans, domicilié au susdit Theux, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte la contractante, le père et la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le contractant a déclaré ne savoir écrire.

 

 

 

M 28/08/1850 Lambert Joseph JASON et Anne Marie Antoinette LINCE (N°9)

L’An mil huit cent cinquante le vingt huitième jour du mois d’Août à quatre heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Lambert Joseph Jason, ouvrier en fer, âgé de vingt neuf ans, neuf mois, domicilié à Theux, né au même lieu le vingt huit novembre mil huit cent vingt, fils majeur et légitime de Jean François Jason et de Marie Anne Miner, décédés audit Theux, le premier le quatre septembre mil huit cent quarante deux, la seconde, le premier juin mil huit cent quarante cinq, comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès, de cette commune, pour les mêmes années, Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale au vœu de la Loi du huit janvier mil huit cent dix-sept, et Anne Marie Antoinette Lincé, modiste, âgée de vingt neuf ans, deux mois, vingt jours, domicilié aussi à Theux, née au même lieu le huit juin mil huit cent vingt un, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Jean Lambert Lincé, sans profession, domicilié audit Theux, ci-présent et consentant et de Anne Catherine Jeanne Doneux décédée au même lieu le seize août mil huit cent trente trois comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches dix-huit et vingt cinq août courant aux deux heures de relevée, Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins, qu’il n’a plus ni aïeux, ni aïeuls, tant du côté paternel que maternel, pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Lambert Joseph Jason et Anne Marie Antoinette Lincé sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Albert Jason, cultivateur, âgé de quarante ans, frère du contractant, François Joseph Servais, boulanger, âgé de quarante cinq ans, beau frère du contractant, Jean Joseph Lincé, serrurier âgé de vingt six ans, frère de la contractante, domiciliés tous les trois audit Theux, et Antoine Joseph Malherbe, propriétaire, âgé de soixante trois ans, domicilié à Saint Germain, commune de Cornesse, cousin sous-germain de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

M 18/01/1851 Martin Nicolas Joseph DEMAZURE et Lambertine Isabelle JASON (N°1)

L’An mil huit cent cinquante un le dix huitième jour du mois de janvier à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Martin Nicolas Joseph Demazure, fileur par mécanique, âgé de trente quatre ans, quatre mois, trente jours, domicilié à Theux, né au même lieu le dix-neuf août mil huit cent seize, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de François Demazure, garde-champêtre, domicilié audit Theux, ci présent et consentant et de Marie Joseph Mattar, décédée au même lieu le dix novembre mil huit cent vingt neuf, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale au vœu de la Loi du huit janvier mil huit cent dix-sept, et Lambertine Isabelle Jason, couturière, âgée de vingt un ans, neuf mois, treize jours, domiciliée aussi à Theux, née au même lieu le cinq avril mil huit cent vingt neuf, fille majeure et légitime de Henri Joseph Jason, décédé audit Theux le trois juillet mil huit cent trente huit comme il est constaté par le registre aux actes de naissances et décès de cette commune pour les mêmes années, et de Marie Isabelle Gavray, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante.Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches cinq et douze janvier courant aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Martin Nicolas Joseph Demazure et Lambertine Isabelle Jason sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Paul Demazure, cabaretier, âgé de trente six ans, François Benjamin Demazure, commis-négociant, âgé de vingt trois ans, domiciliés tous les deux à Theux et frère du contractant, Guillaume Joseph Jehin, fileur par mécanique, âgé de trente cinq ans, domicilié à Juslenville, cette commune, cousin sous germain de la contractante, et Joseph Wilmet, tailleur de pierres, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Ensival, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père du contractant, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 29/01/1851 Jean Nicolas THOMSON et Marie Agnès GOHY (n°4)

L’An mil huit cent cinquante un du mois de janvier le vingt neuvième jour à quatre heures de relevée, par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Nicolas Thomson, forgeron, âgé de trente deux ans, onze mois, domicilié à Theux, né au même lieu le vingt huit février mil huit cent dix-huit, fils majeur et légitime de Jean Nicolas Thomson, décédé audit Theux le dix neuf janvier mil huit cent quarante huit comme il en conste sur les registres aux actes de naissance et décès de cette commune pour la même année et de Marie Catherine Godet, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur le rapport de la milice nationale au nom de la Loi du dix-huit janvier mil huit cent dix sept et Marie Agnès Elisabeth Gohy, couturière, âgée de vingt trois ans, huit mois, deux jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, née dans la commune de Nessonvaux, le vingt sept mai mil huit cent vingt sept, comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance délivré le seize janvier courant par Monsieur Moray, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Nessonvaux, fille majeure et légitime de François Gohy, cabaretier et de Marie Françoise Degotte, ménagère, domiciliés audit Juslenville, ci-présents et consentants, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix-neuf et vingt-six janvier courant, aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse, s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Nicolas Thomson et Marie Agnès Elisabeth Gohy sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Thomas Hubert Thomson, charron, âgé de trente deux ans, frère du contractant, de Guillaume Warnotte, maréchal ferrant, âgé de quarante trois ans, beau frère du contractant, domiciliés tous les deux à Theux, Jean Denis Noël Paes, menuisier, âgé de vingt cinq ans, domicilié audit Juslenville, beau frère de la contractante, et Michel Henri Simon Simart, Garde forestier, âgé de trente deux ans, domicilié à Polleur, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant et le père de la contractante ont déclaré ne savoir le faire.

 

 

M 26/02/1851 Etienne Joseph DECHENEUX et Marie Catherine GOHY (n°09)

L’An mil huit cent cinquante un le vingt sixième jour du mois de février à cinq heures de relevée, par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Etienne Joseph Decheneux, cultivateur, âgé de vingt huit ans, onze mois, vingt trois jours, domicilié à Pouillou Fourneau, cette commune, né au même lieu, le trois mars mil huit cent vingt deux, fils majeur et légitime de Etienne Joseph Decheneux, et de Marie Joseph Dejace, décédés audit Pouillou Fourneau, le premier le dix sept octobre mil huit cent cinquante, la seconde le vingt six mars mil huit cent trente trois, comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès de cette commune pour les mêmes années ; Lequel a justifié d’voir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Gohy, ménagère, âgée de vingt sept ans, huit mois, cinq jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le vingt un juin mil huit cent vingt trois, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Toussaint Joseph Gohy, foulon, et de Marie Catherine Pirlot, messagère, domiciliés audit Theux, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches seize et vingt trois février courant, aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni Aïeux, ni aïeules, tant du côté paternel que du côté maternel, pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse, s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Etienne Joseph Decheneux et Marie Catherine Gohy, sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pascal Joseph Ramonfosse, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Tancrémont, commune de Pepinster, cousin germain du contractant, Pierre François Bastin, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, domicilié audit Pouillou Fourneau, cousin germain par alliance du contractant, Laurent François Gohy, cultivateur, âgé de vingt deux ans, domicilié audit Theux, frère de la contractante, et Jean Joseph Bertrand, fileur par mécaniques, âgé de quarante deux ans, domiciliée à Ramonfosse, cette commune, oncle de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père et la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 11/06/1851 Quirin Joseph BODY et Marie Jeanne HURLET (n°14)

L’An mil huit cent cinquante un le onzième jour du mois de juin à six heures de relevée, par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Quirin Joseph Body, serrurier, âgé de dix neuf ans, sept mois, vingt jours, domicilié à Spa, né au même lieu, le vingt deux octobre mil huit cent trente-un, fils mineur et légitime de Jean Quirin Body, décédé audit Spa le onze avril mil huit cent quarante un, comme il en conste par l’extrait de leurs actes de naissances et décès délivré le dix sept mai dernier par Monsieur, J. Servais, Officier de l’état civil de la ville de Spa, et de Margueritte Jehin, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; lequel a justifié d’avoir satisfait sous le rapport de la milice nationale au vœu de la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Hurlet, journalier, âgé de vingt quatre ans, neuf mois, huit jours, domiciliée à Theux, née à Spa le trois septembre mil huit cent vingt six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept mai dernier par Monsieur J. Servais prénommé, fille majeure et légitime de Henri Jacques Hurlet, décédé audit Theux le vingt novembre mil huit cent quarante huit, comme il en conste par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Jeanne Demaret, ménagère, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches premier et huit juin courant, aux deux heures de relevée et à Spa les mêmes jours à la même heure, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par monsieur J. Servais prérappelé. Aucune opposition audit mariage n’ayant été signifiée dans cette commune ni dans celle de Spa, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse, s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Quirin Joseph Body et Marie Jeanne Hurlet sont unis par le mariage ; Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe féminin inscrit sur les registres aux actes de naissance de cette commune, le douze décembre mil huit cent quarante neuf sous les noms et prénoms de Hurlet Marie Eve, lequel ils reconnaissent pour leur fille ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Lambert Joseph Badon, menuisier, âgé de trente sept ans, domicilié à Spa, beau frère de la contractante, Jean Nicolas Rosette, cordonnier, âgé de quarante ans, domicilié à Spa, Jean Nicolas Michotte, menuisier, âgé de vingt huit ans, domicilié à Theux, et Lambert Darimont, serrurier, âgé de vingt deux ans, domicilié à Spa, tous les trois amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante, la mère du contractant et celle de la contractante ont déclaré ne savoir écrire.

 

M 23/07/1851 Nicolas François LAGUESSE et Marie Elisabeth JEHIN (N°15)

L’An mil huit cent cinquante-un, le vingt troisième jour du mois de juillet à six heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur, Nicolas François Laguesse, ouvrier foulon, âgé de trente ans, six mois dix-neuf jours, domicilié à Theux, né à Poleuheid cette commune, le quatre janvier mil huit cent vingt un comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Jean Nicolas Laguesse, journalier, domicilié audit Theux, ci présent et consentant, et de Marie Elisabeth Lespire décédée au même lieu le six janvier mil huit cent quarante-un, comme il en conste également par le registres aux actes de décès de cette commune pour la même année, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la Loi du huit janvier mil huit cent dix-sept, et Marie Elisabeth Jehin, journalière, âgée de trente un ans, trois mois, domiciliée à Theux, née au même lieu le vingt cinq avril mil huit cent vingt, fille majeure et légitime de Jean Michel Jehin, décédé audit Theux le dix huit février mil huit cent quarante trois comme il est constaté par le registre aux actes de naissance et décès de cette commune pour les mêmes années, et de Marie Elisabeth Noidré, ménagère, domiciliée audit Theux ci présente et consentante, Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize juillet courant, aux deux heures de relevée. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du Titre du code civil intitulé : du Mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas François Laguesse et Marie Elisabeth Jehin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Laguesse, Maître-foulon, âgé de trente trois ans, domicilié à Marché, cette commune, frère du contractant, Guillaume Joseph Jehin, fileur par mécanique, âgé de trente six ans, domicilié à Juslenville, aussi cette commune, François Monay, Tailleur d’habits, âgé de vingt sept ans, domicilié à Theux, tous les deux cousins germains de la contractante, et Jean Nicolas Cléban, tisserand, âgé de vingt cinq ans, domicilié audit Theux, ami des contractants et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père du contractant, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 01/10/1851 Jean Pierre GUSTIN et Marie Anne Joséphine DEPRESSEUX (n°16)

L’An mil huit cent cinquante un le premier jour du mois d’octobre à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’Etat civil de la commune de Theux, canton de Spa, arrondissement de Verviers, province de Liège, ont comparu en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Pierre Gustin, journalier, âgé de vingt six ans, quatre mois, deux jours, domicilié à Marché, cette commune, né au même lieu le vingt neuf mai mil huit cent vingt cinq, fils majeur et légitime de Jean Nicolas Gustin, décédé audit Marché le vingt quatre juin mil huit cent quarante deux, comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès de cette commune pour les mêmes années et de Marie Jeanne Dion, ménagère, âgée de cinquante quatre ans, domiciliée au même lieu ci-présente et consentante, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la Loi du huit janvier mil huit cent dix-sept, et Marie Anne Joséphine Depresseux, ménagère, âgée de vingt deux ans dix jours, domiciliée audit Marché, né à Theux le vingt un septembre mil huit cent vingt neuf comme il en conste au registre des actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Jean Lambert Depresseux, cordonnier, âgé de quarante six ans, domicilié audit Marché, ci-présent et consentant, et de Marie Catherine Thérèse Jacob, décédée audit Theux le dix huit octobre mil huit cent trente deux, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux, et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt un et vingt huit septembre dernier, aux deux heures de relevée ; Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que le sieur Jean Pierre Gustin et Marie Anne Joséphine Depresseux sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Jacques Joseph Cabron, ouvrier tanneur, âgé de soixante un ans, Gerome Joseph Job, journalier, âgé de vingt neuf ans, Jacob Dombard, journalier, âgé de vingt six ans, et Jean Thomas Jehin, ouvrier-mineur, âgé de vingt quatre ans, domiciliés tous les quatre au susdit Marché et amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, le père de la contractante ont signé avec nous, le contractant, la mère du contractant et les quatre témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 21/01/1852 Toussaint Joseph WISLEZ et Marie Thérèse BONHOMME (N°1)

L’An mil huit cent cinquante deux le vingt unième jour du mois de janvier a quatre heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Toussaint Joseph Wislez, tisserand, âgé de vingt huit ans, onze mois, cinq jours, domicilié à Ensival, né au même lieu le seize février mil huit cent vingt trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt neuf novembre dernier par Monsieur Adolphe David, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune d’Ensival, fils majeur et légitime de Toussaint Joseph Wislez, sans profession, âgé de septante un ans, et de Marguerite Dewaide ; ménagère, âgée de cinquante deux ans, domiciliés audit Ensival, ci-présents et consentants, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale au vœu de la Loi du huit janvier mil huit cent dix-sept, et Marie Thérèse Bonhomme, cultivatrice, âgée de vingt trois ans, huit mois, quatorze jours, domiciliée à Oneux, cette commune, née à Andrimont, le cinq octobre mil huit cent vingt huit, comme il conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre novembre mil huit cent quarante quatre par Monsieur Jacques Henrotte, Echevin, officier de l’Etat civil de la commune d’Andrimont, fille majeure et légitime de Henri Nicolas Joseph Bonhomme, cultivateur, âgé de cinquante neuf ans et de Marie Thérèse Wathelet, ménagère, âgée de soixante ans, domiciliés audit Oneux, ci présents et consentants. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches onze et dix huit janvier courant aux dix heures du matin et à Ensival les mêmes jours et aux mêmes heures comme il est constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par Monsieur Lemoine, échevin, officier de l’état civil de la commune d’Ensival. Aucune opposition audit mariage n’ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’Officier de l’état civil d’Ensival comme il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Toussaint Joseph Wislez et Marie Thérèse Bonhomme sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Bertrand Joseph Wislez, presseur de draps, âgé de vingt deux ans, frère du contractant, Marcelin Chironval, tisserand, âgé de trente trois ans, cousin germain par alliance du contractant, Pierre Lemoine, cordonnier, âgé de vingt neuf ans, ami des contractants, domicilié tous les trois au dit Ensival et Jean Hubert Widar, cultivateur, âgé de trente trois ans, domicilié à Hodbomont, cette commune, aussi ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père et la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous. Le père et la mère du contractant ont déclaré ne savoir signer

Les époux ont déclaré qu’il n’existe pas de convention matrimoniale entre eux. Les trois ratures à la vingt quatrième et à la quarante septième ligne de cet acte sont approuvées.

 

 

 

M 06/02/1852 Gilles Joseph MONAY et Marie Catherine FASSIN (n°12)

L’An mil huit cent cinquante deux le deuxième jour du mois de juin à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Gilles Joseph Monay, charron, âgé de vingt sept ans, quatre mois, vingt quatre jours, domicilié à Theux, né au même lieu le neuf janvier mil huit cent vingt cinq, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Gilles Joseph Monay, charron, âgé de soixante ans, domicilié audit Theux, ci présent et consentant, et de Marie Elisabeth Bragar, décédée au même endroit le quinze novembre mil huit cent quarante deux comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la Milice Nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Fassin, servante, âgée de vingt neuf ans, six mois, sept jours, domiciliée au dit Theux, née la Reid le vingt six novembre mil huit cent vingt deux, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le deux mai dernier par monsieur N.J. Damseaux, Bourgmestre de la commune de Reid, fille majeure et légitime de François Joseph Fassin, cultivateur, âgé de septante ans, et de Marie Elisabeth Chavet, ménagère, âgée de soixante trois ans, domiciliés audit Reid, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches vingt trois et trente mai dernier aux dix heures du matin. Aucune opposition audit mariage n’ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Gilles Joseph Monay et Marie Catherine Fassin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs, François Monay, tailleur d’habits, âgé de vingt huit ans, domicilié à Theux, cousin germain du contractant, François Joseph Jason, foulon, âgé de trente un ans, domicilié à Juslenville, cette commune, beau frère de la contractante, Arnold Joseph Dumoulin, meunier, âgé de trente sept ans, et Pascal Pirnay, maçon, âgé de vingt six ans, domiciliés tous les deux audit Theux, et amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père du contractant, la mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous. La contractante et le père de la contractante ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

M 04/08/1852 Jean Auguste Alexis BLUTZ et Marie Thérèse GODET (n°18)

L’An mil huit cent cinquante deux le quatrième jour du mois d’Août à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri DANDRIMONT, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Auguste Alexis BLUTZ, jardinier, âgé de trente ans, sept mois, huit jours, domicilié à La Reid, né au même lieu le vingt sept décembre mil huit cent vingt un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivre le sept juillet dernier par Monsieur N.J. DAMSEAUX, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Reid, fils majeur et légitime de Jean Pierre BLUTZ, cultivateur, âgé de soixante six ans et De Marie Catherine GABRIEL, ménagère, âgé de cinquante sept ans, domicilié au dit Reid,, ci présents et consentants ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Thérèse GODET, cultivatrice, âgée de vingt neuf ans, sept mois sept jours, domiciliée à Jevoumont, cette commune, née au même lieu le vingt huit décembre mil huit cent vingt deux comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année ; fille majeure et légitime de Jean Pierre GODET, cultivateur, âgé de soixante deux ans, et de Marie Charlotte ANTOINE, ménagère, âgée de cinquante huit ans, domiciliés audit Jevoumont, ci présents et consentants ;

lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches vingt cinq juillet et premier Août courant aux dix heures du matin, et à La Reid, les mêmes jours et à la même heure comme il est constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par Monsieur Damseaux prénommé. Aucune opposition audit mariage n’ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’Officier de l’état civil de Reid comme il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Auguste Alexis BLUTZ et Marie Thérèse GODET sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert GODET, cultivateur, âgé de vingt sept ans, domicilié audit Jevoumont, frère de la contractante, Jean Marck CRAHAY, jardinier, âgé de trente cinq ans, Nicolas Joseph DAMSEAUX, écrivain, âgé de vingt trois ans, domiciliés audit Reid et Pascal Joseph RAMONFOSSE, cultivateur, âgé de vingt sept ans, domicilié à Pepinster, ces trois derniers amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père et la mère du contractant, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le père de la contractante a déclaré ne savoir signer.

 

M 15/09/1852 Jean Mathieu WAYAFFE et Exaudie Ferdinande MATHONNET (n°22)

Ronde Haye

L’An mil huit cent cinquante deux, le quinzième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Mathieu Wayaffe, laveur de mines, âgé de vingt deux ans, douze jours, domicilié à Theux, né au même lieu le vingt trois septembre mil huit cent trente comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fils mineur et légitime de Lambert Joseph Wayaffe, boutiquier, âgé de cinquante deux ans, et de Catherine Lemaire, ménagère, âgée de quarante cinq ans, domiciliés audit Theux, ci présents et consentants ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Exaudie Ferdinande Mathonnet, journalière, âgée de vingt cinq ans, trois mois, dix neuf jours, domiciliée à Ronde Haye, cette commune, née à Tancrémont, aussi cette commune, le vingt sept mai mil huit cent vingt sept, comme il est constaté par le registres aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Gilles Joseph Mathonnet, journalier, âgé de cinquante sept ans, domicilié audit Rondehaye, ci-présent et consentant et de Mare Joseph Gohy, décédée dans ce dernier endroit, le vingt février mil huit cent trente huit, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze septembre courant aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Mathieu Wayaffe et Exaudie Ferdinande Mathonnet sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Gilles Joseph Mathonnet, laveur de mines, âgé de vingt quatre ans, domicilié audit Ronde Haye, oncle de la contractante, Noël Joseph Cornet, laveur de mines, âgé de vingt sept ans, domicilié à Pouillou Fourneau, cette commune ; Noël Joseph Couneson, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Tancrémont, cette commune, Et Philippe Joseph Pirlot, laveur de mines, âgé de vingt deux ans, domicilié au Susdit Rondehaye, ces trois derniers amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant a déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 01/12/1852 Jean Paul DECHENEUX et Marie Catherine GOHY (n°27)

Ronde Haye

L’An mil huit cent cinquante deux, le premier jour du mois de décembre à quatre heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Jean Paul Decheneux, cultivateur, âgé de quarante deux ans, deux mois, vingt trois jours, domicilié à Mont, cette commune, né à Wegnez, le huit décembre mil huit cent dix, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept novembre dernier par monsieur Lambrette, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Wegnez, fils majeur et légitime de Jean Jacques Decheneux, décédé audit Mont le douze mars mil huit cent seize, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Margueritte Gohy, ménagère, domiciliée au même lieu, qui a donné son consentement au présent mariage par acte en brevet avenu le vingt neuf novembre dernier devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, notaire à Theux, enregistré à Spa le lendemain, volume quatre vingt deux, folio quarante huit, verso, cadre quatrième, reçu deux francs vingt un centimes, y compris les trente pour cent additionnels, le Receveur : signé : Deviller. Lequel ayant dépassé l’âge de la milice nationale, est dispensé de produire le certificat Litt. L. L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept : Et Marie Catherine Gohy, cultivatrice, âgée de vingt six ans, huit mois, cinq jours, domiciliée à Ronde Haye, aussi cette commune, née au même lieu le vingt cinq mars mil huit cent vingt six, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Hubert Vincent Gohy, cultivateur, âgé de cinquante ans, et de Marie Elisabeth Dejasse, ménagère, âgée de quarante neuf ans, domiciliées au même endroit, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites à la principale porte d’entrée de notre Maison commune les dimanches vingt un et vingt huit novembre dernier aux dix heures du matin. Aucune opposition audit mariage n’ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la Loi que les dits Jean Paul Decheneux et Marie Catherine Gohy sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Jacques Decheneux, cultivateur, âgé de quarante deux ans, domicilié audit Mont, frère du contractant, Pascal Joseph Ramonfosse, cultivateur, âgé de vingt six ans, domicilié à Tancrémont, Commune de Pepinster, cousin germain de la contractante, Jean Hubert Joseph Mailleur, cultivateur, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Pouillou Fourneau, cette commune, et Hubert Joseph Gerken, cultivateur, âgé de quarante huit ans, domicilié audit RondeHaye, ces deux derniers amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante et ses père et mère ont déclaré ne savoir signer.

 

 

M 06/07/1853 Laurent Joseph JEHIN et Marie Thérèse MAQUINAY (n°04)

L’An mil huit cent cinquante quatre le vingt deuxième jour du mois de mars à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Laurent Joseph Jehin, agent, âgé de trente un ans, un mois, dix neuf jours, domicilié à Theux, né au même lieu, le dix sept mai mil huit cent vingt deux, fils majeur et légitime de Jean Joseph Jehin, décédé au dit Theux le neuf janvier mil huit cent quarante sept, comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès de cette commune, pour les mêmes années, et de Marie Anne Delforge, négociante, âgée de soixante ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; et Marie Thérèse Maquinay, ménagère, âgée de vingt six ans moins un jour, domiciliée à Spixhe, cette commune, née au même lieu le sept juillet mil huit cent vingt sept, comme il est constaté par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Théodore Joseph Maquinay, boulanger, âgé de soixante six ans, et de Marie Jeanne Bode, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliés au dit Spixhe, ci présents et consentants ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six juin dernier et trois juillet courant aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Laurent Joseph Jehin et Marie Thérèse Maquinay sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Koister, négociant, âgé de quarante sept ans, domicilié à Liège, oncle par alliance du contractant, Hubert Hermès Maquinay, peintre en bâtiments, âgé de trente trois ans, domicilié à Verviers, frère de la contractante, Joseph Auguste Maquinay, employé au chemin de fer, âgé de trente ans, domicilié à Ensival, frère de la contractante, et Toussaint Joseph de Hansez, propriétaire et industriel, âgé de cinquante ans, domicilié à Theux, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère du contractant, les père et mère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

M 03/08/1853 Laurent François Joseph GOHY et Marie Jeanne BEAUVE (n°07)

L’An mil huit cent cinquante quatre le vingt deuxième jour du mois de mars à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Laurent François Joseph Gohy, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, neuf mois, quinze jours, domicilié à Theux, né au même lieu le dix neuf octobre mil huit cent vingt huit, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils mineur et légitime de Jean Toussaint Gohy, ouvrier foulon, âgé de cinquante sept ans, et de Marie Catherine Pirlot, messagère, âgée de cinquante six ans, domiciliées audit Theux, ci présents et consentants. Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Jeanne Beauve, cultivatrice, âgée de vingt un ans, dix mois, vingt cinq jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, depuis moins de six mois, et en dernier lieu à Liège, née audit Juslenville le douze septembre mil huit cent trente-un, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de cinquante deux ans, domicilié aussi à Juslenville, ci présent et consentant, et de Marie Thérèse Decheneux, décédée au même endroit le trois janvier mil huit cent trente neuf, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept juillet dernier aux dix heures du matin, et à Liège les dimanches dix sept et vingt quatre du même mois, comme il est constaté par le certificat de publications des promesses réciproques de mariage délivré le le vingt sept juillet par Monsieur Renoz, officier de l’état civil de Liège, enregistré à Liège le même jour, volume nonante neuf, folio quatorze verso case sept, reçu deux francs vingt un centimes additionnels compris le receveur interimaire : signé P. Fassin. : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, Liège, comme il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Laurent François Joseph Gohy et Marie Jeanne Beauve, sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Mathieu Joseph Bastin Alexandre, chauffeur, âgé de vingt trois ans, domicilié sur les Villez, cette commune, cousin du contractant, Jean François Bernardin, menuisier, âgé de vingt cinq ans, domicilié audit Juslenville, cousin sous-germain du contractant, Jean Gilles Joseph Beauve, menuisier, âgé de vingt trois ans, domicilié aussi à Juslenville, frère de la contractante, et Antoine Gillard, meunier, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Chaufheid cette commune, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

M 22/03/1854 Jean Guillaume MASSET et Marie Joseph DEPRESSEUX (n°03)

L’An mil huit cent cinquante quatre le vingt deuxième jour du mois de mars à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Guillaume Masset, cordonnier, âgé de vingt huit ans, neuf mois, vingt sept jours, domicilié à Herve, né au même lieu le vingt cinq mai, mil huit cent vingt cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre mars courant, par Monsieur auguste Garot, Echevin, officier de l’état civil de la ville de Herve, fils majeur et légitime de Pierre Denis Guillaume Masset, cordonnier, âgé de cinquante six ans, et de Catherine Joseph Taillard, ménagère, âgée de cinquante ans, domiciliés au dit Herve, ci présents et consentants ; lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Depresseux, couturière, âgée de trente quatre ans, cinq mois, treize jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le neuf octobre, mil huit cent dix neuf, comme il en conste également, par le registre aux actes de naissance de cette commune, pour la même année, fille majeure et légitime de Pascal Joseph Depresseux, cultivateur, âgé de septante quatre ans, et de Anne Joseph Jason, ménagère, âgée de septante cinq ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf mars courant aux dix heures du matin et à Herve les mêmes jours à onze heures du matin, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt deux mars courant par le dit Monsieur Garot échevin, numéro six cent cinquante six visé pour timbre et enregistré gratis à Herve le vingt deux mars courant volume soixante un folio vingt six recto, case cinquième, le Receveur signé Moreau : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de Herve comme il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Guilleaume Masset et Marie Joseph Depresseux, sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Noël Joseph Depresseux menuisier, âgé de quarante six ans, frère de la contractante, de Jean Henri Gaye, Appariteur, âgé de vingt quatre ans, de François Joseph Job, Charretier, âgé de trente sept ans, et de Melchior Langlois, journalier, âgé de cinquante trois ans, amis des contractant, et domiciliés tous les quatre à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, le père de la contractante, Depresseux et Gaye, deux des témoins, ont signé avec nous, la mère du contractant, la mère de la contractante, Job et Langlois, les deux autres témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 10/05/1854 Mathieu Constantin SIMON et Marie Lambertine MATHONNET (n°05)

L’An mil huit cent cinquante quatre le dixième jour du mois de mai à cinq heures de relevée, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Mathieu Constantin Simon, domestique, âgé de trente ans, deux mois, domicilié à Grande place cette commune, né à Charneux, commune de Jalhay, le dix mars mil huit cent vingt quatre, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix décembre mil huit cent cinquante par Monsieur P.J. Dechamps, échevin officier de l’état civil de la commune de Jalhay, fils majeur et légitime de Denis Joseph Simon, journalier, âgé de soixante ans, et de Margueritte Joseph Lemarchand, ménagère, âgée de cinquante un ans, domiciliés à Charneux, commune de Jalhay, ci présents et consentants, lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Lambertine Mathonnet, journalière, âgée de vingt quatre ans, sept mois vingt quatre jours, domiciliée à Ronde Haye, cette commune, née à Tancrémont, aussi cette commune, le dix sept septembre mil huit cent vingt neuf, comme il en conste également par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Gilles Joseph Mathonnet, journalier, âgé de cinquante six ans, domicilié au dit Ronde Haye, ci présent et consentant et de feue Marie Joseph Gohy, décédée au même lieu le vingt février mil huit cent trente huit comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente avril dernier et sept mai courant aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Mathieu Constantin Simon et Marie Lambertine Mathonnet sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Mathieu Wayaffe, scieur de long, âgé de vingt quatre ans, beau frère de la contractante, de François Joseph Lemaire, laveur de minerais, âgé de trente trois ans, oncle par alliance de la contractante, domiciliés tous les deux à Juslenville, cette commune, de Christophe Joseph Mauhin, cultivateur, âgé de trente un ans, beau frère du contractant, domicilié à Charneux, commune de Jalhay, et de Gilles Joseph Alexis Couneson, cultivateur, âgé de vingt deux ans, ami des contractant, domicilié à la foxhalle, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, ma mère du contractant, le père de la contractante, Wayaffe, Mauhin, et Couneson, trois des témoins, ont signés avec nous, la contractante, le père du contractant et Lemaire, le quatrième témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 11/10/1854 Mathieu Joseph Bastin ALEXANDRE et Marie Laurence Elisabeth GOHY (n°16)

L’An mil huit cent cinquante quatre le onzième jour du mois d’octobre à six heures du soir, par devant Nous, martin Hubert Caro, premier échevin délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, par arrêté du collège des Bourgmestre et Echevins en date du dix octobre courant, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Mathieu Joseph Bastin Alexandre, ouvrier de fabrique, âgé de vingt quatre ans, sept mois, vingt un jours, domicilié sur les villers cette commune, né au même lieu le vingt février mil huit cent trente, fils mineur et légitime de Bastin Joseph Alexandre, décédé au dit lieu de Villers, le vingt deux février mil huit cent cinquante trois, comme il en conste par les registres aux actes de naissance et décès de cette commune pour les mêmes années et de Marie Barbe Pirlot, ménagère, âgée de cinquante cinq ans, domiciliée au même lieu ci présente et consentante ; Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept, Et Marie Elisabeth Laurence Gohy, messagère, âgée de vingt huit ans, deux mois, deux jours, domiciliée à Theux, née au même lieu, le neuf août mil huit cent vingt six, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Jean Toussaint Gohy, foulon, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Catherine Pirlot, messagère, âgée de cinquante six ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept août dernier aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Mathieu Joseph Bastin Alexandre et Marie Elisabeth Laurence Gohy, sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe féminin inscrit sur les registres aux actes de l’état civil de cette commune le vingt septembre dernier sous les prénoms et noms de Marie Barbe Alexandre lesquels ils reconnaissent pour leur fille, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Lambert Alexandre, journalier, âgé de vingt neuf ans, frère du contractant, domicilié sur les Villers cette commune ; de Laurent François Joseph Gohy, cultivateur, âgé de vingt six ans, frère de la contractante, domicilié à Theux, de Etienne Joseph Decheneux, cultivateur, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Pouillou Fourneau cette commune et de Michel Joseph Lejeune, garde champêtre, âgé de quarante trois ans, oncle par alliance de la contractante, domicilié à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 25/11/1854 Hubert Joseph Walthère SIMAR et Marie Isabel LEPERSONNE (n°19)

L’An mil huit cent cinquante quatre du mois de novembre le vingt cinquième jour à six heures du soir, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Hubert Joseph Walthère Simar, contremaître, âgé de vingt sept ans, un mois, onze jours, domicilié à Ensival, né à Theux, le quatorze octobre mil huit cent vingt sept, comme il en conste par les registres aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime des défunts Hubert Joseph Simar, et Marie Elisabeth Jason, décédés à Ensival, le premier le dix sept décembre mil huit cent quarante cinq, la seconde le seize février mil huit cent quarante neuf, comme il en conste par les extraits de leurs actes de décès délivrés le premier septembre dernier par Monsieur R.J. Lemoine, Echevin, officier de l’Etat civil de la commune d’Ensival ; Lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations, sous le rapport de la milice nationale conformément à la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Isabel Lepersonne, couturière, âgée de vingt sept ans, un mois, vingt sept jours, domiciliée à Theux, née au même lieu, le vingt huit septembre mil huit cent vingt sept, comme il en conste également par le registres aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Jean François Lepersonne journalier, âgé de quarante sept ans, et de Marie Barbe Simar, ménagère, âgée de quarante six ans, domicilié au dit Theux, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept septembre dernier aux dix heures du matin et au dit Ensival, les mêmes jours comme il est également constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage, délivré le vingt septembre dernier par le dit Monsieur Lemoine, échevin, dument enregistré à Spa le six octobre suivant : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune d’Ensival, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture du de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins, qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du coté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Hubert Joseph Walthère Simar et Marie Isabel Lepersonne sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Jason, fileur par mécanique, âgé de cinquante ans, domicilié à Juslenville, cette commune, oncle du contractant, ; de Barthelemy Fyon, laineur de draps, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Verviers, oncle par alliance du contractant, de Laurent Brach, trieur, âgé de vingt huit ans, domicilié à Verviers, ami des contractants, et de Noël Joseph Raxhon, cultivateur, âgé de quarante trois ans, domicilié à Marché, cette commune, aussi ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et trois des témoins ont signé avec nous, les père et mère de la contractante, et Noël Joseph Raxhon, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

M 31/01/1855 Léonard LEJEUNE et Marie Catherine MATHONET (n°07)

L’An mil huit cent cinquante cinq le trente unième jour du mois de janvier a sept heures du soir, par devant Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Léonard Lejeune, Armurier, âgé de vingt deux ans, neuf mois, treize jours, domiciliée à Olne, né au même lieu, le dix sept avril mil huit cent trente deux, fils mineur et légitime des défunts Dieudonné Lejeune et Marie Fléron, décédés au dit Olne, le premier le six décembre mil huit cent quarante quatre, la seconde, le cinq avril mil huit cent quarante cinq, comme il en conste par les extraits de leurs actes de naissance et décès délivré les seize et dix huit janvier courant par Monsieur J. Spirlet, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune d’Olne ; Lequel a justifié d’avoir satisfit à ses obligations sous le rapport de la milice nationale conformément à la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Mathonnet, Ménagère, âgée de vingt trois ans, deux mois, cinq jours, domiciliée à Ronde Haye, cette commune, née à Tancrémont, aussi cette commune, le vingt six novembre mil huit cent trente un, comme il en conste par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Gilles Joseph Mathonnet, ouvrier mineur, âgé de cinquante sept ans, domicilié au dit Rondehaye, ci-présent et consentant, et de feue Marie Joseph Gohy, décédée au même lieu, le vingt février mil huit cent trente huit, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt un et vingt huit janvier courant aux dix heures du matin et au dit Olne les mêmes jours à la mêmes heures, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le trente un janvier courant par Monsieur Spirlet, Bourgmestre prénommé: Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de la commune d’Olne, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et avoir reçu la déclaration sermentelle du contractant et des quatre témoins qu’il n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Léonard Lejeune et Marie Catherine Mathonnet sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Gilles Hardy, armurier, âgé de vingt sept ans, de Henri Malherbe, armurier, âgé de trente deux ans, beaux frères du contractant domiciliés à Olne, de Mathieu Simon, journalier, âgé de vingt neuf ans, beau frère de la contractante, domicilié à Ronde Haye, cette commune, et de Jean Mathieu Wayaffe, scieur de long, âgé de vingt quatre ans, beau frère de la contractante, tous les quatre par alliance, ce dernier domicilié à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 14/02/1855 Pascal Joseph RAMONFOSSE et Marie Charlotte GODET (n°08)

L’An mil huit cent cinquante cinq le quatorzième jour du mois de février a quatre heures de relevée, par devant Nous, Henri DANDRIMONT Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, Canton de Spa, arrondissement de Verviers ; Province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Pascal Joseph RAMONFOSSE, Cultivateur, âgé de vingt huit ans, trois mois, vingt quatre jours, domicilié à Tancrémont, commune de Pepinster, né au même lieu le vingt octobre Mil huit cent vingt six, comme il en conste par le registre aux actes de Naissances de cette commune pour la même année, fils majeur et légitime de Pascal Joseph RAMONFOSSE, cultivateur, âgé de soixante huit ans, et de Marie Anne DEJACE, ménagère, âgée de cinquante huit ans, domiciliés au dit Tancrémont, ci présents et consentants, ;lequel a justifié d’avoir satisfait à ses obligations sur le rapport de la milice nationale conformément à la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Charlotte GODET, cultivatrice, âgée de vingt cinq ans, onze mois vingt six jours, domiciliée à Jevoumont, cette commune, née au même lieu le dix neuf février mil huit cent vingt neuf, comme il en conste également par le registre aux actes de naissances de cette commune pour la même année, Fille majeure et légitime de Jean Pierre GODET, Cultivateur, âgé de soixante trois ans, et de Marie Charlotte ANTOINE, ménagère , âgée de cinquante huit ans, domiciliés au dit Jevoumont, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis

de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze février courant aux dix heures du matin et au dit Pepinster les mêmes jours à la même heure, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le quatorze février courant par Monsieur Defays Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Pepinster ; enregistré à Verviers le même jour ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état civil de la commune de Pepinster, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Pascal Joseph RAMONFOSSE et Marie Charlotte GODET sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Pierre François BASTIN, cultivateur âgé de vingt neuf ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié aux Airifagnes, cette commune, de Étienne Joseph DECHENEUX, cultivateur ; âgé de trente trois ans, cousin germain du contractant, domicilie à Pouillou Fourneau, cette commune, de Jean Auguste Alexis BLUTZ, jardinier, âgé de trente trois ans, , beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Jevoumont, cette commune, et de Jean François HERTAY, cultivateur, âgé de trente six ans, beau frère par alliance de la contractante, domicilié à Mangombroux, commune de Heusy, et, après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants , la mère de la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, les père et mère du contractant, le père de la contractante et Jean François HERTAY le quatrième témoin ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

M 13/02/1856 Théodore Joseph LAGUESSE et Marie Margueritte Philippine PIRNAY (n°05)

L’An mil huit cent cinquante six, le treizième jour du mois de février à cinq heures de relevée par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Théodore Joseph Laguesse, maître ouvrier mineur, âgé de trente sept ans, trois mois, seize jours, domicilié à Oneux, cette commune, né au même lieu le vingt sept octobre mil huit cent dix huit, fils majeur et légitime de feu Jean Joseph Laguesse, décédé au dit Oneux le six février courant, comme il en conste aux registres de naissances et décès de cette commune, pour les mêmes années et de Marie Anne Pirnay, ménagère, âgée de soixante sept ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; Lequel ayant dépassé l’âge de la Milice Nationale est dispensé de produire le certificat Litt ; L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Margueritte Philippine Pirnay, tisserande, âgée de trente trois ans, neuf mois, douze jours, domiciliée à Juslenville, petite, cette commune, née au même lieu le premier mai mil huit cent vingt deux, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de Louis Nicolas Pirnay, sans profession, âgé de soixante ans, domiciliée au dit Juslenville petite, ci présent et consentant, et de feue Anne Isabelle Jason, décédée au même lieu le vingt un février mil huit cent quarante six, comme il est également constaté par le registre aux actes de décès de cette commune, pour la même année ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept janvier dernier et samedi trois février courant aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Théodore Joseph Laguesse et Marie Margueritte Philippine Pirnay sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Legrand, maître ouvrier mineur, âgé de trente quatre ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Oneux cette commune, de Dieudonné Joseph Dessaucy, laveur de minerais, âgé de vingt trois ans, cousin germain de la contractante, domicilié à Juslenville petite, cette commune, de Jean François Pirnay, foulon, âgé de vingt sept ans, cousin germain de la contractante, domicilié à Theux, et de Toussaint Britte, facteur de minerais, âgé de vingt quatre ans, ami des contractants, domicilié au dit Oneux et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, le père de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous, les contractants et la mère du contractant ont signé avec nous, le contractant et la mère du contractant ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 13/02/1856 Hubert Joseph GUSTIN et Jeanne Joseph HARDY (n°06)

L’An mil huit cent cinquante six, le treizième jour du mois de février à cinq heures de relevée par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Hubert Joseph Gustin, foulon, âgé de vingt cinq ans, six mois, vingt six jours, domicilié à Marché cette commune, né au même lieu le dix sept juillet mil huit cent vingt neuf, fils majeur et légitime de feu Jean Nicolas Gustin, décédé au dit Marché, le vingt quatre juin mil huit cent quarante deux, comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès de cette commune, pour les mêmes années, et de Marie Jeanne Dion, Ménagère, âgée de soixante ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Jeanne Joseph Hardy, ouvrière de fabrique, âgée de dix huit ans, sept mois, dix neuf jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le vingt quatre juin mil huit cent trente sept, comme il en conste également par le registre aux actes de naissance de cette commune pour la même année, fille mineur et légitime de Jean Hubert Hardy, ouvrier mineur, âgé de cinquante six ans, et de Margueritte Gaucher, ménagère, âgée de cinquante quatre ans, domiciliés au dit Juslenville, ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites sur la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches trois et dix février courant aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Hubert Joseph Gustin et Jeanne Joseph Hardy sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de vingt trois ans, domicilié à Juslenville, cette commune, de Pierre Hardy, foulon, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Ensival, de Toussaint Joseph Dejong, charretier, âgé de vingt huit ans, domicilié à marteau cette commune, et de Jacob Dombard, journalier, âgé de trente ans, domicilié à Theux, tous les quatre amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante et trois des témoins ont signé avec nous, le contractant, la mère du contractant, les père et mère de la contractante et Jacob Dombard, le quatrième témoin, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 07/05/1856 Jean Michel GEORGE et Marie Sibile MANSET (n°11)

L’An mil huit cent cinquante six, le septième jour du mois de mai à huit heures de relevée par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Jean Michel George, ouvrier mineur, âgé de vingt un ans, neuf mois, onze jours, domicilié à Mont, cette commune, né à Hodbomont, aussi cette commune, le vingt six juillet mil huit cent trente quatre, comme il en conste par le registre aux actes de naissances de cette commune, pour la même année, fils mineur et légitime de feu Jean George, décédé au dit Hodbomont, le vingt neuf décembre mil huit cent trente cinq, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, et de Marie Anne Jehin, ménagère, âgée de quarante neuf ans, domiciliée au dit Mont, ci présente et consentante ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Sibille Manset, ouvrière de fabrique, âgée de dix huit ans, dix mois, vingt jours, domiciliée à Marché, aussi cette commune, née au même lieu le seize juin mil huit cent trente sept, comme il est également constaté par le registres aux actes de naissances de cette commune pour la même année, fille mineure et légitime de Adolphe Manset, ouvrier de fabrique, âgé de cinquante quatre ans, et de Marie Jeanne Talbot, ménagère, âgée de cinquante six ans, domiciliés au dit Marché, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage, projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt trois et trente mars dernier aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Michel George et Marie Sibille Manset, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Hubert Paquay, ouvrier mineur, âgé de vingt trois ans, de Jean Antoine, ouvrier mineur, âgé de vingt huit ans, domiciliés tous les deux à Mont, cette commune, de Thomas Lohn, ouvrier mineur, âgé de trente cinq ans, et de Hubert Paquay, ouvrier mineur, âgé de quarante neuf ans, domiciliés tous les deux à Hodbomont, aussi cette commune, tous les quatre amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et deux des témoins, ont signés avec nous, la contractante, la mère du contractant, les père et mère de la contractante, Antoine et Lohn, les deux autres témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 03/09/1856 Michel SCHONS et Marie Louise LAMBERT (n°21)

L’An mil huit cent cinquante six, le septième jour du mois de mai à huit heures de relevée par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Michel Schons, journalier, âgé de vingt neuf ans, cinq mois, vingt cinq jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né à Amel, Prusse, le huit mars mil huit cent vingt sept, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le deux août dernier par Monsieur J.G. Maréchal, Bourgmestre de la commune d’Amel, fils majeur et légitime de des défunts Michel Schons, décédé au dit Amel, le huit juillet mil huit cent vingt six, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de décès, délivré le deux août dernier par Monsieur J.G. Maréchal, Bourgmestre prénommé, et de Margueritte Kettemes, décédée à Schonberg, Prusse, le dix huit janvier mil huit cent trente sept comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le trois août dernier par Monsieur Haas, magistrat de la commune de Schonberg, les dits extraits traduit à Verviers le sept août dernier par Monsieur J. Konighaus, traducteur juré ; Lequel, bien qu’habitant la Belgique, n’appartient pas à un pays dans lequel les Belges ne sont pas astreint au service militaire, est dispensé de produire le certificat Litt. L. L ; exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Louise Lambert, Boutiquière âgée de trente trois ans, huit mois, dix neuf jours domiciliée à Juslenville, cette commune, née à Dochamps, Grand Duché de Luxembourg, le quatorze décembre mil huit cent vingt deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt deux août dernier par Monsieur J.J. Leboutte, Bourgmestre de la commune de Dochamps, veuve de Hubert Joseph Jason, décédé au dit Juslenville, le dix sept décembre mil huit cent cinquante un, comme il en conste également par le registre aux actes de décès de cette commune pour la même année, fille majeure et légitime de feu Jean Joseph Lambert, décédé au dit Dochamps le trente avril mil huit cent cinquante trois, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt deux août dernier par Monsieur J.J. Leboutte, Bourgmestre prénommé ; et de Marie Barbe Lecoq, ménagère, âgée de soixante ans, domiciliée au dit Dochamps, ci présente et consentante ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage, projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt quatre et trente un août dernier aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, après que le futur nous a eu attesté que les actes de décès qu’il a produit sont ceux de ses père et mère, laquelle attestation a été également faite par les témoins et le futur nous ayant affirmé sous serment qu’il ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Michel Schons et Marie louise Lambert sont unis par le mariage ; et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du ses féminin inscrit sur les registres aux actes de l’état civil de cette commune, le dix neuf novembre mil huit cent cinquante trois sous les prénoms et nom de Marie Louise Elisabeth Lambert, lequel ils reconnaissent pour leur fille, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Joseph Colette, charpentier, âgé de trente huit ans, de François Joseph Jason, cultivateur, âgé de quarante un ans, de Jean François Bernardin, Menuisier, âgé de vingt huit ans, et de Jean Gille Beauve, menuisier, âgé de vingt six ans, domiciliés tous à Juslenville, cette commune, tous les quatre amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 11/10/1856 Julien SERVAIS et Marie Anne LANGLOIS (n°24)

L’An mil huit cent cinquante six, du mois d’octobre le onzième jour, à cinq heures de relevée par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Julien Servais, cultivateur, âgé de vingt sept ans, onze jours, domicilié à Spixhe, cette commune, né au même lieu le trente septembre mil huit cent vingt neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre, prénommé, fils majeur et légitime de des défunts Jean Louis Servais et Elisabeth Nantulle, décédés au dit Spixhe, le premier le onze août mil huit cent quarante neuf, la seconde, le huit février mil huit cent quarante deux, comme il en conste également par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années, Lequel a produit le certificat Litt. L. L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne Langlois, couturière âgée de vingt quatre ans, huit mois, quatre jours, domiciliée au dit Spixhe, née au même lieu, le sept février mil huit cent trente deux, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Olivier Louis Joseph Langlois, ouvrier de fabrique, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Joseph Legrand, ménagère, âgée de soixante cinq ans, domiciliés au dit Spixhe, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage, projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt un et vingt huit septembre dernier aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et que le futur nous ayant affirmé sous serment qu’il ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ayeux (sic)et aïeules et les témoins nous ont affirmés également sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Julien Servais et Marie Anne Langlois sont unis par le mariage ; et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe féminin inscrits sur les registres aux actes de l’état civil de cette commune le sept septembre mil huit cent cinquante deux sous les prénoms et nom de Marie Louise Julienne Langlois, lequel ils reconnaissent pour leur fille ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Joseph Schoune, meunier, âgé de trente un ans, domicilié à La Gouche cette commune, de Noël François Smitz, fileur par mécaniques âgé de vingt six ans, de Joseph Smitz, fileur par mécaniques, âgé de vingt trois ans, domiciliés tous les deux à Spixhe cette commune, et de Jean Henri gaye, appariteur, âgé de vingt six ans, domicilié à Theux, tous les quatre amis des contractants et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 19/11/1856 Adolphe LAGUESSE et Marie Joséphine BAIWIR (n°28)

L’An mil huit cent cinquante six, le dix neuvième jour du mois de novembre, à quatre heures de relevée par devant nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Adolphe Laguesse, Foulon, âgé de trente un ans, huit mois huit jours, domicilié à Marché cette commune, né à Polleuheid aussi cette commune, le onze mars mil huit cent vingt cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime des défunts Nicolas Joseph Laguesse et Marie Elisabeth Lespire, décédés, le premier à Marché, cette commune, le vingt quatre avril mil huit cent cinquante quatre, la seconde à Theux le six janvier mil huit cent quarante un, comme il en conste également par le registre aux actes de décès aux actes de décès pour ces mêmes années. Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joséphine Baiwir, couturière âgée de vingt cinq ans trois mois, neuf jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le dix août mil huit cent trente un, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Urbain Joseph Baiwir et Marie Françoise Jehin, décédés au dit Theux, le premier le neuf juillet mil huit cent quarante, la seconde le dix huit février mil huit cent cinquante cinq, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage, projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches neuf et seize novembre courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et les futurs nous ayant affirmé sous serment qu’ils ignorent le lieu du décès ou celui du dernier domicile de leurs aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmés (sic) également sous serment que quoiqu’ils connaissent les futurs, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de leurs ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme, Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Adolphe Laguesse et Marie Joséphine Baiwir sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Nicolas François Laguesse, Foulon, âgé de trente six ans, frère du contractant, domicilié à Theux, de Jean Adam Laguesse, charretier, âgé de trente six ans, cousin sous germain du contractant, domicilié à Spixhe, cette commune, de Guilleaume Joseph Jehin, fileur par mécanique, âgé de quarante un ans, cousin germain de la contractante, et de Jean Lambert Houbeau, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, aussi cousin germain de la contractante, domicilié tous les deux à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 24/01/1857 Pierre Joseph CHARLIER et Marie Louise GUSTIN (n°02)

L’An mil huit cent cinquante sept, le vingt quatrième jour du mois de janvier à six heures du soir, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Pierre Joseph Charlier, fileur par mécaniques, âgé de vingt six ans, huit mois, sept jours, domicilié à Jehanster, commune de Polleur, né à L’Ewereville, même commune de Polleur, le dix sept mai mil huit cent trente, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix sept mai mil huit cent cinquante cinq par Monsieur J.L. Cornesse, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Polleur, fils majeur et légitime de Henri joseph Charlier, fileur par mécaniques, âgé de cinquante neuf ans, domicilié au dit Jehanster, ci-présents et consentants, et de feue Jeanne Catherine Blocteur, décédée au dit Jehanster le vingt sept octobre mil huit cent quarante huit, comme il en conste également par l’extrait de sn acte de décès délivré le dix sept mai mil huit cent cinquante cinq par Monsieur J.L. Cornesse, bourgmestre prénommé, ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept : Et Marie Louise Gustin, ménagère, âgée de dix neuf ans, six mois, vingt jours, domiciliée aux digues cette commune, née à marteau aussi cette commune, le quatre juillet mil huit cent trente sept, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille mineure et légitime de Pierre Joseph Gustin, ouvrier de fabrique, âgé de quarante neuf ans et de Marie Joseph Chalsèche, ménagère, âgée de quarante sept ans, domicilié au lieu des digues, ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites sur la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches quatre et onze juillet courant aux dix heures du matin et au dit Polleur les dimanches onze et dix huit même mois à la même heure, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le vingt un janvier courant par Monsieur J.L. Cornesse, Bourgmestre prénommé : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Polleur, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Pierre Joseph Charlier et Marie Louise Gustin sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Théodore Charlier, fileur par mécaniques, âgé de vingt neuf ans, de Thomas Joseph Charlier, fileur par mécaniques, âgé de vingt trois ans, frères du contractant domiciliés à Polleur, de Jean Noël Charlier, cantonnier, âgé de trente quatre ans, domicilié aux digues, cette commune et de Antoine Doneux, foulon, âgé de vingt huit ans, domicilié à Spixhe, aussi cette commune, amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante et deux des témoins ont signé avec nous, le contractant, le père du contractant, les père et mère de la contractante, Théodore Charlier et Thomas Joseph Charlier, les deux autres témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

M 21/02/1857 Pierre Joseph GUSTIN et Marie Reine GUSTIN (n°05)

L’An mil huit cent cinquante sept, le vingt unième jour du mois de février à sept heures du soir, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Pierre Joseph Gustin, ouvrier de fabrique, âgé de vingt un ans, neuf mois, domicilié de droit à Juslenville-petite, cette commune, et de fait à Ensival, né à Juslenville, aussi cette commune, le douze mai mil huit cent trente cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils mineur et légitime de Hubert Joseph Gustin, fileur par mécaniques, âgé de quarante sept ans, et de Marie Jeanne Lepiqueur, ménagère, domiciliés au dit Ensival, cette dernière, âgée de quarante neuf ans, ci présents et consentants, Lequel a produit le certificat Litt.L.L exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Reine Gustin, servante, âgée de vingt ans, deux mois, cinq jours, domicilié à Theux, née à Juslenville, cette commune, le seize décembre mil huit cent trente six, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille mineure et naturelle de Marie Catherine Gustin, journalière, âgée de quarante ans, domiciliée au même lieu, ci présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites sur la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches premier et huit février courant aux dix heures du matin et au dit Ensival les dimanches huit et quinze du même mois de février à la même heure, (Ndt : L’acte oublie de mentionner : comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le x par Monsieur X) Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune d’Ensival, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Pierre Joseph Gustin et Marie Reine Gustin sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Louis Thiry, journalier, âgé de quarante deux ans, beau père de la contractante, de Pierre Joseph Fassin, cultivateur, âgé de cinquante un ans, ami des contractants, domiciliés à Juslenville petite, cette commune ; de Christophe Englebert, fileur par mécaniques, âgé de cinquante ans, domicilié au dit Juslenville petite, et de Jean Joseph Dubois, maître ouvrier mineur, âgé de quarante sept ans, domicilié à Mont, cette commune, ces deux derniers aussi ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, et deux des témoins ont signé avec nous, les père et mère du contractant, la mère de la contractante, Thiry et Englebert les deux autres témoins ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

M 22/04/1857 Hermès Joseph LELIGUE et Marie Françoise LECLOUX (n°08)

L’An mil huit cent cinquante sept, le vingt deuxième jour du mois d’avril à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Hermès Joseph Leligué, maréchal ferrant, âgé de trente ans, neuf mois, quatre jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu le dix huit juillet, mil huit cent vingt six, comme en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime des défunts Hermès Alexandre Leligué et Marguerite Joseph Jason, décédés au dit Juslenville, le premier le neuf janvier mil huit cent quarante neuf, la seconde le trente mai mil huit cent cinquante quatre, comme il en conste également par les registres aux actes de décès de cette commune pour les mêmes années ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Françoise Lecloux, tisserande, âgée de vingt ans, neuf mois, deux jours, domiciliée au dit Juslenville, né au même lieu le vingt juillet mil huit cent vingt six, comme il est également constitué par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille mineure et légitime de Mathieu Jacques Lecloux, cordonnier, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Catherine Bertrand, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliée au susdit Juslenville, ci-présents et consentants, Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites sur la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches douze et dix neuf avril courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Polleur, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et le futur nous ayant affirmé sous serment qu’il ignore le lieu le lieu du décès ou celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ont affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent le futur époux, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits. Hermès Joseph Leligué et Marie François Lecloux sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Joseph Jason, fileur par mécaniques, âgé de cinquante trois ans, de Guilleaume Joseph Jehin, fileur par mécaniques, âgé de quarante un ans, cousins germains du contractants, domiciliés tous les deux à Juslenville, cette commune, de Pierre Foulon, chauffeur, âgé de trente cinq ans, oncle par alliance de la contractante, domicilié à Dolhain, et de Pierre Lemin, fileur par mécaniques, âgé de quarante trois ans, ami du contractant, domicilié au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père de la contractante, et trois des témoins, ont signé avec nous, la mère de la contractante, et Pierre Lemin, le quatrième témoin ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

M 22/04/1857 Jean Hubert DUMOULIN et Marie Elisabeth BAIWIR (n°09)

L’An mil huit cent cinquante sept, le vingt deuxième jour du mois d’avril à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Hubert Dumoulin, cultivateur, âgé de vingt trois ans, trois mois, vingt cinq jours, domicilié à Chainheid, commune de Pepinster, né à Cornesse le vingt sept décembre mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le six avril courant par Monsieur L.F. Pelecheid, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Cornesse, fils mineur et légitime de Bertrand Joseph Dumoulin, cultivateur, âgé de cinquante cinq ans, et de Marie Catherine Thoumsin, ménagère, âgée de cinquante trois ans, domiciliés au dit Chainheid, ci présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Elisabeth Baiwir, ménagère, âgée de vingt neuf ans, onze mois, neuf jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le treize mai mil huit cent vingt sept, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept avril courant par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Orban Joseph Baiwir, et Marie Françoise Jehin, décédés au dit Theux, le premier le neuf juillet mil huit cent quarante, la seconde le dix huit février mil huit cent cinquante cinq, comme il est également constaté par les registres aux actes de décès de cette commune, pour la même année ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches douze et dix neuf avril courant aux dix heures du matin et au dit Pepinster, les mêmes jours, à la même heure, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par Monsieur Félix Defays, Bourgmestre, officier de l’état-civil de la commune de Pepinster ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Polleur, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et la future nous ayant affirmé sous serment qu’elle ignore le lieu le lieu du décès ou celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ont affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent la future, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Hubert Dumoulin et Marie Elisabeth Baiwir sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Thoumsin, tailleur d’habits, âgé de quarante trois ans, oncle du contractant, domicilié à Pepinster, de Hubert Joseph Collard, maçon, âgé de trente un ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Soiron, de Jean Guilleaume Baiwir, ouvrier mineur, âgé de vingt huit ans, frère de la contractante, et de Adolphe Laguesse, foulon, âgé de trente un ans, beau frère par alliance de la contractante, domiciliés tous les deux à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant et les quatre témoins ont signé avec nous.

M 03/06/1857 François Nicolas BONIVER et Marie Isabelle Lucie LEPERSONNE (n°13)

L’An mil huit cent cinquante sept, du mois de juin le troisième jour à sept heures de relevée, par devant nous, Henri DANDRIMONT, Bourgmestre, Officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur François Nicolas BONIVER Journalier, âgé de vingt sept ans, onze mois, dix neuf jours, domicilié à Theux, né au même lieu le quatorze juin mil huit cent vingt neuf comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de feu Jean François BONIVER, décédé au dit Theux le seize mars mil huit cent cinquante quatre, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès, délivré aujourd’hui par nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de feu Jean François BONIVER, décédé au dit Theux le seize mars mil huit cent cinquante quatre, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré aujourd’hui par nous Henri DANDRIMONT Bourgmestre prénommé et de Marie Catherine COLLARD, sage-femme, âgée de soixante huit ans domiciliée au dit Theux, ci présente et consentante ; lequel a produit le certificat Litt L.L. exigé par la Loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Isabelle Lucie LEPERSONNE, ouvrière de Fabrique âgé de vingt six ans cinq mois vingt jours, domiciliée à Marché cette commune, née au même lieu le treize décembre mil huit cent trente, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance  délivré aujourd’hui par Nous Henri DANDRIMONT, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean François LEPERSONNE, journalier âgé de cinquante sept ans et de Marie Barbe SIMAR, Ménagère, âgée de cinquante cinq ans domiciliés au dit Marché, ci présente et consentante ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt quatre et trente un mai dernier aux dix heures du matin  ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits François Nicolas BONIVER et Marie Isabelle Lucie LEPERSONNE sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Lambert DEPRESSEUX, cabaretier, âgé de soixante quatre ans, de François Joseph DEPRESSEUX, cordonnier, âgé de vingt cinq ans, de Hubert DESPACE, menuisier âgé de vingt quatre ans et de Jean Henri GAYE, Appariteur âgé de sept cinq ans, amis des contractants, domiciliés à Theux et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante, la mère de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le contractant, la mère du contractant et le père de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

 

M 17/06/1857 Thomas Joseph PAROTTE et Marie Catherine COUNET (n°17)

L’An mil huit cent cinquante sept, du mois de juin le dix septième jour, à sept heures de relevée, par devant nous, Martin Hubert Caro, premier échevin de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, faisant fonction d’officier de l’état civil pour Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre de cette commune, empêché, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Thomas Joseph Parotte, cultivateur, âgé de vingt huit ans, onze mois, dix jours, domicilié à Oneux, cette commune, né au même lieu le sept juillet mil huit cent vingt huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize juin courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Thomas Joseph Parotte, domestique, âgé de cinquante neuf ans, domicilié à Theux, ci-présent et consentant, et de feu Jeanne Catherine Franquinet décédée au dit Oneux le huit mars mil huit cent quarante cinq, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré aujourd’hui par Monsieur Henri Dandrimont Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Counet, ménagère, âgée de vingt un ans, quatre mois, six jours, domiciliée à Oneux cette commune, née au même lieu le vingt un janvier mil huit cent trente six, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize juin courant par Monsieur Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Hubert Joseph Counet, cultivateur, âgé de soixante quatre ans, et de Marguerite Joseph Jason, ménagère, âgée de cinquante quatre ans, domiciliés au dit Oneux, ci présents et consentants ;

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches sept et quatorze juin courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Thomas Joseph Parotte et Marie Catherine Counet sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Henri Colette, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, cousin germain par alliance du contractant, de Mathieu Colette, serrurier, âgé de vingt deux ans, cousin germain du contractant, de Joseph Counet, fileur par mécaniques, âgé de trente ans, frère de la contractante, domiciliés tous les trois à Oneux, cette commune et de Louis Jason, fileur par mécaniques, âgé de trente ans, oncle de la contractante, domicilié à Juslenville, aussi cette commune, et après voir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, le père du contractant, et les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 17/09/1857 Adam Joseph LELIGUE et Marie Joseph NIVETTE (n°23)

L’An mil huit cent cinquante sept, le dix septième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Adam Joseph Leligue, Maréchal Ferrant, âgé de trente trois ans, dix mois, six jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu le onze novembre mil huit cent vingt trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatorze septembre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime des défunts Hermès Alexandre Leligué et Marguerite Joseph Jason, décédé au dit Juslenville, le premier le neuf janvier mil huit cent quarante neuf, la seconde le trente mai mil huit cent cinquante quatre, comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le quatorze septembre courant par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Nivette, sage femme, âgée de vingt sept ans, sept mois, neuf jours, domiciliée à Theux, née à Juslenville cette commune, le huit février mil huit cent trente, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatorze septembre courant par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de feu Hubert Joseph Nivette, décédé au dit Juslenville le vingt quatre mars mil huit cent trente deux, comme il est aussi constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le quatorze septembre courant par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Elisabeth Renier, Ménagère, âgée de cinquante ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches six et treize septembre courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et le futur nous ayant affirmé sous serment qu’il ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent le futur époux, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Adam Joseph Leligué et Marie Joseph Nivette sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe féminin, né à Pepinster le dix janvier mil huit cent cinquante deux sous les prénoms et nom de Marie Elisabeth Nivette, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le trente un août dernier par Monsieur Félix Defays, Bourgmestre, officier de l’état-civil de la commune de Pepinster ; lequel ils reconnaissent pour leur fille ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Joseph Jason, fileur par mécaniques, âgé de cinquante trois ans, de Adam Jehin, menuisier, âgé de trente neuf ans, cousin germain du contractant, domiciliés à Juslenville, cette commune, de Léonard Renier, jardinier, âgé de soixante ans, oncle de la contractante, domicilié à Tancrémont, commune de Pepinster, et de Noël Joseph Depairon, cultivateur, âgé de soixante ans, ami des contractants, domicilié au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, la m ère de la contractante, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 17/09/1857 Antoine Joseph MAILLEUR et Anne Marie Angeline WIHET (n°24)

L’An mil huit cent cinquante sept, le dix septième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Antoine Joseph Mailleur, extracteur de minerais, âgé de trente quatre ans, deux mois, vingt quatre jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né à Pouillou Fourneau, aussi cette commune, le vingt trois juin mil huit cent vingt trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatorze septembre courant par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de feu Hermès François Mailleur, décédé au dit Juslenville le six mai mil huit cent cinquante sept, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quatorze septembre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Noël Jacques, ménagère, âgée de soixante six ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante, ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Anne Marie Angeline Wihet, ménagère, âgée de vingt un ans, vingt jours, domicilié au dit Juslenville, née au même lieu le vingt huit août mil huit cent trente six, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatorze septembre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime des défunts Jean Joseph Wihet et Marie Elisabeth Jason, décédés au susdits Juslenville le premier le premier mars mil huit cent quarante cinq, la seconde le trois mai mil huit cent quarante trois, comme il est aussi constaté par les extraits de leurs actes de décès délivrés le quatorze septembre courant par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches six et treize septembre courant aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, et la future nous ayant affirmé sous serment qu’il ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment que quoiqu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Antoine Joseph Mailleur et Anne Marie Angeline Wihet sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Hermès Joseph Mailleur, cultivateur âgé de vingt neuf ans, frère du contractant, domicilié à Grand Rechain, de Winand Winandy, cultivateur âgé de trente six ans, beau frère par alliance du contractant domicilié à Battice ; de Guilleaume François Jason, cultivateur, âgé de quarante ans, oncle de la contractante, et de Guilleaume Joseph Jehin, fileur par mécaniques, âgé de quarante ans, cousin sous germain de la contractante domiciliés tous les deux à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère du contractant, a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 05/10/1857 Louis Joseph JASON et Marie Marguerite JACQUES (n°25)

L’An mil huit cent cinquante sept, le dix septième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Louis Joseph Jason, fileur par mécaniques, âgé de trente deux ans, quatre mois, huit jours, domicilié à Juslenville, cette commune, né au même lieu le vingt huit mai mil huit cent vingt cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le trois octobre courant, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de feu François Joseph Jason, décédé au dit Juslenville, le dix janvier mil huit cent quarante trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le trois octobre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Jeanne Catherine Foyr, sans profession, âgée de septante sept ans, domiciliée au même lieu laquelle a donné son consentement au présent mariage par acte en brevet avenu devant Maître Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, le vingt un septembre courant enregistré à Spa le vingt deux même mois. Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Margueritte Jacques, couturière, âgée de trente trois ans, treize jours, domiciliée au dit Juslenville, née à Moresnet, Royaume de Prusse, le vingt deux septembre mil huit cent vingt quatre comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix juillet mil huit cent cinquante un par Monsieur Houille, secrétaire du tribunal d’Aix la Chapelle, visé pour timbre et enregistré à Verviers le dix sept septembre dernier, traduit au dit Verviers par monsieur Konighaus, traducteur juré, fille majeur et légitime de François Jacques, sans profession, âgé de soixante sept ans, domicilié au dit Juslenville, ci-présent et consentant, et de feue Margueritte Joseph Pondant, décédée au même lieu, le vingt un janvier mil huit cent quarante sept, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le trois octobre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé. Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches vingt et vingt sept septembre dernier aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Louis Joseph Jason et Marie Margueritte Jacques sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Joseph Jason, Nettoyeur de machines, âgé de quarante huit ans, frère du contractant, domicilié à Juslenville, cette commune, de Hubert Jason, fileur par mécaniques, âgé de cinquante un ans, frère du contractant, domicilié à Theux ; de Jean Hubert Midré, maçon, âgé de trente huit ans, beau frère par alliance du contractant, et de Pierre Joseph Midré, maçon, âgé de trente quatre ans, aussi beau frère par alliance de la contractante, domiciliés tous les deux au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, le père de la contractante, et trois des témoins, ont signé avec nous, Lambert Joseph Jason, l’un des témoins a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 17/12/1857 Modeste MARQUET et Marie Elisabeth Claire LEMAIRE (n°32)

L’An mil huit cent cinquante sept, le dix septième jour du mois de décembre à cinq heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Modeste Marquet, chef d’atelier de travaux, âgé de vingt cinq ans, onze mois, vingt neuf jours, domicilié à Sart, né au même lieu le dix neuf décembre mil huit cent trente un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le treize novembre dernier par Monsieur J.N.J. Hansoulle, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Sart, fils majeur et légitime de feu Jean Joseph Marquet, décédé au dit Sart, le dix neuf avril mil huit cent trente cinq, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le treize novembre dernier par monsieur Hansoulle, bourgmestre prénommé, et de Marie Thérèse Briscot, ménagère, âgée de soixante huit ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante, lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par le loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Elisabeth Claire Lemaire, ménagère, âgée de dix huit ans, six mois, quatre jours, domiciliée à Raborive, cette commune, née à Oneux, aussi cette commune, le treize juin mil huit cent trente neuf, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille mineure et légitime de Nicolas Joseph Lemaire, cordonnier, âgé de quarante un ans, et de Marie Anne Briaimont, ménagère âgée de quarante trois ans, domiciliés au dit Raborive, ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches six et treize décembre courant aux dix heures du matin et au dit Sart les mêmes jours à neuf heures du matin comme il en conste également par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le seize décembre courant par Monsieur Hansoulle, Bourgmestre prénommé ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous ni à l’officier de l’état-civil de la commune de Sart, ainsi qu’il résulte du certificat ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage ; avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Modeste Marquet et Marie Elisabeth Claire Lemaire sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Wayaffe, ouvrier de fabrique, âgé de vingt sept ans, cousin germain de la contractante, domicilié à Pepinster, de François Wayaffe, scieur de long, âgé de vingt quatre ans, aussi cousin germain de la contractante, domicilié à Juslenville, aussi cette commune, de Jean Wilkin, ouvrier de fabrique, âgé de cinquante huit ans, et de Joseph Wilkin, journalier, âgé de vingt quatre ans, amis des contractants, domiciliés tous les deux à Polleur, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et trois des témoins ont signé avec nous, la contractante, les père et mère de la contractante, la mère du contractant et Jean Wilkin, l’un des témoins, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

M 28/04/1858 François Joseph WAYAFFE et Virginie Anne Joseph POUSSART (n°03)

L’An mil huit cent cinquante huit, le vingt huitième jour du mois d’avril à cinq heures et demie de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur François Joseph Wayaffe, scieur de long, âgé de vingt cinq ans, quatre mois, cinq jours, domicilié à Juslenville, commune de Theux, né au dit Theux le vingt trois décembre mil huit cent trente deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré aujourd’hui par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Lambert Joseph Wayaffe, ouvrier au chemin de fer, âgé de cinquante sept ans et de Catherine Lemaire, ménagère, âgée de quarante sept ans, domiciliée à Theux, lequel nous a exhibé trois actes respectueux, faits, le premier le lundi dix huit janvier, le second le mercredi vingt quatre février et le troisième le le vendredi vingt six mars de l’année courante, par Lambert Joseph Maximilien Delrée, Notaire à Theux, adressés à Lambert Joseph Wayaffe, et Catherine Lemaire, père et mère du requérant, les dits actes respectueux dument enregistré à Spa, les vingt deux janvier, vingt sept février et vingt sept mars de l’année courante, reçu pour chacun en principal et additionnel, deux francs vingt un centimes /signé/ F. Doriller, lequel a produit le certificat Litt.L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept, Et Virginie Anne Joseph Poussart, ménagère, âgée de vingt six ans, quatre mois, cinq jours, domiciliée à Juslenville, commune de Theux, née au même lieu, le vingt trois décembre mil huit cent trente un comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance délivré aujourd’hui par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Mathieu Joseph Poussart, journalier, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Juslenville, commune de Theux, ci présent et consentant, et de Margueritte Joseph Jason, décédée au dit Juslenville, le vingt cinq avril mil huit cent quarante deux, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès, délivré ce jour, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites sur la principale porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches dix huit et vingt cinq avril courant aux dix heures du matin : Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, vu les actes respectueux mentionnés ci-dessus desquels il résulte que les formalités requises par la loi ont été remplies et que les délais sont expirés, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits François Joseph Wayaffe et Virginie Anne Joseph Poussart, sont unis par le mariage ; Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux à Juslenville, commune de Theux, le quatre avril mil huit cent cinquante sept, un enfant du sexe féminin, inscrit sur les registres de l’état civil de la dite commune, sous les noms et prénoms de Marie Marguerite Wayaffe, lequel ils reconnaissent pour leur fille, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Alexis Joseph Poussart, laveur de minerais, âgé de vingt deux ans, domicilié à Juslenville cette commune, frère de la contractante, de François Joseph Jason, cultivateur, âgé de quarante trois ans, domicilié à Juslenville cette commune, oncle de la contractante, de Pierre Lemain, fileur par mécanique, âgé de quarante deux ans, domicilié au dit Juslenville, cette commune, et de Jean Héroufosse, /Louis Joseph/ scieur de long, âgé de vingt trois ans, domicilié à Theux, tous deux ami du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père de la contractante, et trois des témoins, ont signé avec nous, Le dit Pierre Lemain a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

 

 

M 25/09/1858 Jean Henri PAUL et Marie Anne GEORGE (n°15)

L’An mil huit cent cinquante huit, le vingt cinquième jour du mois de septembre à huit heures de relevée, par devant nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement, le sieur Jean Henri Paul, ouvrier mineur âgé de vingt deux ans, sept mois, vingt huit jours, domicilié de droit à Anthisne et demeurant depuis plus de six mois en cette commune, né au dit Anthisne le vingt sept janvier mil huit cent trente six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt deux août dernier par Monsieur L.J.Léonard, échevin de la commune d’Anthisne fils mineur et légitime de Thomas Paul, journalier, âgé de soixante six ans, et de Marie Joseph Flamaxhe, ménagère, âgée de cinquante huit ans, domiciliés commune d’Anthisne, ci présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne George, couturière, âgée de trente un ans, deux mois, cinq jours, domiciliée de droit à Verviers et actuellement à Wessay, cette commune, née à Hodbomont, aussi cette commune, le vingt juillet mil huit cent vingt sept, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le cinq novembre mil huit cent cinquante sept, par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de feu Jean George, décédé au dit Hodbomont le vingt neuf décembre mil huit cent trente cinq, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le dit jour cinq décembre mil huit cent cinquante sept par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé et Marie Anne Jehin, ménagère, âgée de cinquante un ans, domiciliée au dit Wessay, ci présente et consentante : lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze septembre courant aux dix heures du matin, à Anthisne les mêmes jours à la même heure, comme il est également constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le quinze septembre courant par Monsieur N.J. Rutot, échevin, officier de l’état-civil de la commune d’Anthisne et au dit Verviers les mêmes jours, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le quinze de ce mois par Monsieur H.F. Grandjean, échevin, officier de l’état civil de la commune de Verviers, Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni aux officier de l’état civil de la commune d’Anthisne et de la ville de Verviers, ainsi qu’il résulte des certificats ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Henri Paul et Marie Anne George, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Hubert Joseph Widar, ouvrier mineur, âgé de vingt trois ans, domicilié à Harzé, de Antoine Joseph Regnier, Maréchal Ferrant, âgé de vingt huit ans, domicilié à Mont, cette commune, de Jean Joseph Paquay, tourteur aux bures de minerais, âgé de cinquante neuf ans, et de Hubert Joseph Paquay, laveur de minerais, âgé de vingt cinq ans, domiciliés à Wessay, cette commune, tous les quatre amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous, le contractant, les père et mère du contractant et la mère de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

 

M 10/11/1858 Lambert Joseph GOHY et Marie Anne Joseph DENGIS (n°19)

L’an mil huit cent cinquante huit le dixième jour du mois de novembre à six heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune et publiquement le sieur Lambert Joseph Gohy, chauffeur aux chemin de fer de Pepinster à Spa, âgé de vingt huit ans, un mois, onze jours, domicilié à Juslenville-petite, cette commune, né à Nessonvaux le vingt neuf septembre mil huit cent trente, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre octobre dernier par Monsieur J.J. Higny, échevin de la commune de Nessonvaux, fils majeur et légitime de François Gohy, propriétaire, âgé de soixante six ans, et de Marie Françoise Degotte, Ménagère, âgée de cinquante six ans, domiciliés au dit Juslenville-petite, ci présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du hui janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Anne Joseph Dengis, fille de boutique, âgée de vingt cinq ans, trois mois, vingt jours, domiciliée à Spa, née à Vaux sous Chevremont, le vingt juillet mil huit cent trente trois, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le deux septembre dernier par Monsieur C. Bailly, Echevin de la commune de Vaux sous Chevremont, fille majeure et légitime des défunts Joseph Dengis et Léonore Petry, décédés au dit Vaux-sous-Chevremont, le premier le vingt octobre mil huit cent trente trois, la seconde le seize octobre mil huit cent trente trois, comme il est également constatés par les extraits de leurs actes de décès délivré le dit jour deux septembre dernier par Monsieur C. Billy, échevin prénommé ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un octobre dernier aux dix heures du matin, et au dit Spa les dimanches trente un octobre dernier et sept novembre courant aux deux heures de relevées, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le quinze septembre courant par Monsieur N.J. Rutot, échevin, officier de l’état-civil de la commune d’Anthisne et au dit Verviers les mêmes jours, comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré aujourd’hui par Monsieur Jules Lezaack, échevin, officier de l’état civil de la commune de Spa. Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à nous, ni à l’officier de l’état civil de la commune de Spa, ainsi qu’il résulte des certificats ci-dessus, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage ; et la future nous ayant affirmé sous serment qu’elle ignore le lieu de décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment, que quoiqu’ils connaissent la future épouse, ils ignorent le lieu de décès et celui du dernier domicile de ses ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement déclarons au noms de la loi que les dits Lambert Joseph Gohy et Marie Anne Joseph Dengis sont unis par le mariage ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Thomson, ouvrier en fer, âgé de quarante un ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Theux, de Jean Denis Paes, menuisier, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Spa, de Nicolas Colette, menuisier, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Oneux, cette commune, et de Mathieu Heisman, machiniste, âgé de vingt sept ans, domicilié à Sart, tous les deux amis des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant, et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 01/01/1859 Jean Joseph PIRARD et Marie Joseph MOSBEUX (n°01)

L’An mil huit cent cinquante neuf, le premier jour du mois de janvier à quatre heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officie de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur, Jean Joseph Pirard, jardinier, âgé de vingt six ans, huit mois, vingt jours, domicilié à Hodbomont, cette commune, né à Juslenville aussi cette commune, le douze août mil huit cent trente deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance, délivré le trente décembre dernier, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime des défunts Nicolas Pirard et Catherine Jason, décédés au dit Juslenville, le premier le dix huit octobre mil huit cent cinquante sept, la seconde le treize août mil huit cent cinquante comme il en conste également par les extraits de leurs actes de décès délivrés le trente décembre dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Joseph Mosbeux, journalière, âgée de vingt cinq ans, cinq mois, dix jours, domiciliée au dit Juslenville née au même lieu le vingt deux juillet mil huit cent trente trois, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le trente décembre dernier par Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Guilleaume Joseph Mosbeux, fileur par mécaniques, âgé de cinquante sept ans, et de Margueritte Jason, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliées au susdit Juslenville ci-présents et consentants ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faite devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches treize et dix neuf décembre dernier, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit Mariage, ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et le futur nous ayant affirmé qu’il ignore le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment, que quoiqu’ils connaissent le futur époux, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de ses ascendants avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Joseph Pirard et Marie Joseph Mosbeux, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Pirard, menuisier, âgé de quarante ans, domicilié à Juslenville cette commune ; de Hubert Joseph Pirard, contremaître, âgé de trente huit ans, de Nicolas Joseph Lambert Pirard, ouvrier de fabrique, âgé de trente cinq ans, domiciliés à Verviers, tous les trois frères du contractants et de Guilleaume Joseph Mosbeux, fileur par mécaniques, âgé de vingt deux ans, frère de la contractante, domicilié au dit Juslenville, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants et les quatre témoins, ont signé avec nous, les père et mère de la contractante, ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 09/02/1859 Jean Guilleaume WARNOTTE et Margueritte BODEUX (n°03)

L’An mil huit cent cinquante neuf, le neuvième jour du mois de février à quatre heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officie de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur, Jean Guilleaume Warnotte, Maréchal ferrant, âgé de cinquante ans, onze mois, un jour, domicilié à Theux, né à Mont, cette commune, le huit mars mil huit cent huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le quatre février courant par Nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, veuf de Marie Charlotte Thomson, décédée à Theux, le vingt sept janvier mil huit cent cinquante six comme il en conste également par l’extrait de sobn acte de décès délivré le quatre février courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime des défunts Jean Guilleaume Warnotte et Marie Hélène Neuray, décédés au dit Theux, le premier le sept janvier mil huit cent trente cinq, la seconde le dix sept novembre mil huit cent trente un, comme il est également constaté par les extraits de leurs actes de décès délivré le quatre février courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lequel ayant dépassé l’âge de la milice nationale est dispensé de produire le certificat Litt.L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Margueritte Bodeux, Ménagère, âgée de soixante sept ans, un mois, vingt cinq jours, domiciliée à Theux, née à Grandménil province de Luxembourg, le quatorze décembre mil sept cent nonante un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt six janvier dernier par Monsieur Lamy, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Grandménil, veuve de Lambert Hubert Mottet, décédé à Theux le vingt trois avril mil huit cent cinquante sept, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de décès délivré le quatre février courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et naturelle de feu Marie Joseph Bodeux, décédée à Comblain-au-pont, le treize février mil huit cent quarante trois, comme il est également constaté, par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt huit janvier dernier, par Monsieur R.J.Boulanger, Echevin de la commune de Comblain-au-pont ; Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente janvier dernier et six février courant, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit Mariage, ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées, et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage et les futurs nous ayant affirmé qu’ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de leurs aïeuls et aïeules et les témoins nous ayant affirmé également sous serment, que quoiqu’ils connaissent les futurs époux, ils ignorent le lieu du décès et celui du dernier domicile de leurs ascendants, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Jean Guilleaume Warnotte et Margueritte Bodeux sont unis par le mariage. ; et aussitôt les dits époux nous ont déclaré que par contrat de mariage avenu devant le Notaire Delrée le quatre février mil huit cent cinquante neuf ils ont stipulé la séparation des biens ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Nicolas Thomson, ouvrier en fer, âgé de quarante ans, beau frère du contractant, de Hubert Joseph Stephens, serrurier, âgé de trente trois ans, de Maurice Lamy, maître ouvrier mineur, âgé de trente huit ans, et de Jean Léonard Joseph Detrixhe, cultivateur, âgé de cinquante trois ans, tous les trois amis des contractants, domiciliés tous à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 05/03/1859 Bertrand Joseph GOHY et Alexandrine BEAUVE (n°05)

L’An mil huit cent cinquante neuf, le cinquième jour du mois de mars à six heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officie de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur, Bertrand Joseph Gohy, menuisier, âgé de vingt cinq ans, sept mois, huit jours, domicilié à Juslenville petite, cette commune, né à Nessonvaux le vingt sept juillet mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze février denier par Monsieur J.J. Higny, Echevin, officier de l’état civil de la commune de Nessonvaux, fils majeur et légitime de François Gohy, propriétaire, âgé de soixante sept ans et de Marie Françoise Degotte, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliés au dit Juslenville-petite, ci-présents et consentants, Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Alexandrine Beauve, cultivatrice, âgée de vingt deux ans, onze mois, vingt cinq jours, domiciliée à Juslenville, cette commune, née au même lieu, le dix mars mil huit cent trente six, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de naissance, délivré le dix sept février dernier, par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille majeure et légitime de Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de cinquante sept ans, domicilié au dit Juslenville, ci-présent et consentant, et de feue Marie Thérèse Decheneux, décédée au même lieu, le trois janvier mil huit cent trente neuf, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès, délivré le dix sept février dernier par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé ; Lesquels, nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept février dernier, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit Mariage, ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Bertrand Joseph Gohy et Alexandrine Beauve, sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Lambert Joseph Gohy, serrurier, âgé de vingt huit ans, frère du contractant, domicilié à Juslenville-petite, cette commune, de Jean Nicolas Thomson, ouvrier en fer, âgé de quarante un ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Theux, de Jean Gilles Beauve, menuisier, âgé de vingt neuf ans, et de François Lambert Beauve, cultivateur, âgé de vingt trois ans, frère de la contractante, domiciliés à Juslenville, cette commune, et après avoir reçu lecture du présent acte les contractants, les père et mère du contractant, le père de la contractante et les quatre témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 20/08/1859 Alexis Joseph Mathieu POUSSART et Marie Catherine LESCURE (n°14)

L’An mil huit cent cinquante neuf, le vingtième jour du mois d’août à huit heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officie de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur, Alexis Joseph Mathieu Poussart, ouvrier mineur, âgé de vingt trois ans, six mois, quatre jours, domicilié à Juslenville cette commune, né au même lieu, le seize février mil huit cent trente six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze août courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils mineur et légitime de Mathieu Joseph Poussart, journalier, âgé de cinquante quatre ans, domicilié au dit Juslenville, ci présent et consentant, et de feue Margueritte Jason, décédée au même lieu le vingt cinq avril mil huit cent quarante deux, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de décès délivré le douze août courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénomme ; lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Lescure, couturière, âgée de dix neuf ans, onze mois, vingt deux jours, domiciliée à Theux, née au même lieu le vingt huit août mil huit cent trente neuf, comme il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze août courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fille mineure et légitime de feu Jean Nicolas Lescure ; décédé au dit Theux, le quatre juillet mil huit cent cinquante deux, comme il est également constaté par l’’extrait de son acte de décès délivré le dit jour, douze août courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, et de Marie Catherine Cortin, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliée au même lieu, ci présente et consentante, Lesquels, nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze août courant, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit Mariage, ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Alexis Joseph Mathieu Poussart et Marie Catherine Lescure sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs François Fraikin, ouvrier houilleur, âgé de trente sept ans, beau frère par alliance du contractant, domicilié à la minière, commune de Thimister, de François Joseph Wayaffe, âgé de vingt sept ans, scieur de long, beau frère par alliance du contractant, domicilié à Juslenville, cette commune, de Jean Joseph Lescure, ouvrier mineur, âgé de trente deux ans, frère de la contractante, et de Guillaume Joseph Quoibion, cordonnier, âgé de trente deux ans, beau frère par alliance de la contractante, domiciliés tous les deux à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, le père du contractant, et les quatre témoins ont signé avec nous, la mère de la contractante a déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 17/09/1859 Henri Nicolas DEHEZ et Thérèse Margueritte GOHY (n°18)

L’An mil huit cent cinquante neuf le dix septième jour du mois de septembre à six heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officie de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur, Henri Nicolas Dehez, ouvrier mineur, âgé de vingt six ans, sept mois, quinze jours, domicilié à Theux, né à Malmédy, province d’Aix-la-chapelle, Prusse, le deux février mil huit cent trente trois, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le dix août dernier par Monsieur J. Stouse, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Malmédy, le dit extrait traduit le premier septembre courant par Monsieur Koninghaus, traducteur juré à Verviers, fils majeur et légitime de Nicolas Dehez, journalier, âgé de cinquante trois ans et de Marie Anne Servais, Ménagère, âgée de quarante neuf ans, domiciliés au dit Theux, ci-présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt. L.L. exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Thérèse Margueritte Gohy, Ménagère, âgée de dix neuf ans, sept mois, onze jours, domiciliée à Theux, née au même lieu, le six février mil huit cent quarante, come il en conste également par l’extrait de son acte de naissance délivré le trois septembre courant par nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, prénommé, fille mineure et légitime de Arnold Joseph Gohy, journalier, âgé de cinquante six ans, et de Margueritte Lescure, ménagère, âgée de cinquante cinq ans, domiciliés au même lieu, ci présents et consentants ; Lesquels, nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze septembre courant, aux dix heures du matin ; Aucune opposition au dit Mariage, ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Henri Nicolas Dehez et Thérèse Margueritte Gohy sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Mathieu Nicolas Dehez, ouvrier tanneur, âgé de vingt quatre ans, de Léonard Dehez, ouvrier tanneur, âgé de vingt deux ans, frères du contractant, de Arnold Joseph Gohy, Maréchal Ferrant, âgé de trente un ans, et de Jean Joseph Lescure, ouvrier mineur, âgé de trente deux ans, cousins germains de la contractante, domiciliés tous les quatre à Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, les contractants, les père et mère du contractant, et les quatre témoins, ont signé avec nous, les père et mère de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.

 

 

M 12/11/1859 Noël Joseph GOHY et Marie Catherine Joseph LAMBOT (n°21)

L’An mil huit cent cinquante neuf, le douzième jour du mois de novembre à six heures de relevée, par devant Nous Henri Dandrimont, Bourgmestre, officie de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Arrondissement de Verviers, province de Liège, sont comparus en notre maison commune, et publiquement le sieur Noël Joseph Gohy, ouvrier mineur, âgé de vingt sept ans, trois mois, dix jours, domicilié à Theux, né au même lieu, le deux août mil huit cent trente deux, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt trois octobre dernier par nous, Henri Dandrimont, Bourgmestre prénommé, fils majeur et légitime de Noël Joseph Gohy, maréchal Ferrant, âgé de cinquante neuf ans, et de Marie Thérèse Pondant, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliés au dit Theux, ci présents et consentants ; Lequel a produit le certificat Litt.L.L exigé par la loi du huit janvier mil huit cent dix sept ; Et Marie Catherine Joseph Lambot, servante, âgée de dix huit ans, sept mois, seize jours, domiciliée à Dison, née à Baelen, le vingt six mars mil huit cent quarante un, comme il en conste également, par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier octobre dernier par Monsieur E.L. Sühs, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Baelen, fille mineure et légitime de Antoine Joseph Lambot, ouvrier mineur, âgé de quarante sept ans, domicilié au dit Dison, ci présent et consentant et de feue Marie Elisabeth Wathelet, décédée au dit Baelen les trente janvier mil huit cent quarante sept, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le premier octobre dernier par Monsieur Sühs, Bourgmestre prénommé ; Lesquels, nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente octobre dernier et six novembre courant, aux dix heures du matin et au dit Dison les mêmes jours comme il est aussi constaté par le certificat de publication des promesses réciproques de mariage délivré le dix novembre courant par Monsieur Chandelle-Hannotte, Echevin, officier de l’état civil de la commune de Dison ; Aucune opposition au dit Mariage, ne nous ayant été signifiées, faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme ; Chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au noms de la loi que les dits Noël Joseph Gohy et Marie Catherine Joseph Lambot sont unis par le mariage, ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des Sieurs Arnold Joseph Gohy, Maréchal Ferrant, âgé de trente un ans, de Bertrand Joseph Gohy, Maréchal Ferrant, âgé de vingt quatre ans, frères du contractants, domiciliés à Theux, de Servais Joseph Lambot, Maître mineur, âgé de quarante deux ans, oncle de la contractante, domicilié à Dison, et de Jean Toussaint Gohy, charretier, âgé de vingt trois ans, ami des contractants, domiciliée au dit Theux, et après avoir reçu lecture du présent acte, le contractant, la mère du contractant, et les quatre témoins ont signé avec nous, la contractante, le père du contractant, et le père de la contractante ont déclaré ne savoir écrire ni signer.



24/04/2020
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