Theux-genealogie-be

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1890-1894


Actes de Mariage Theux 1890-1899

Actes de Mariage 1890-1899

 

M 08/02/1890 Jean Philippe LENTZ et Marie Anne Philomène Joseph GOHY (N°2)

L’an mil huit cent nonante, le huitième jour du mois de février à trois heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Philippe Lentz, célibataire, ouvrier cordonnier domicilié à Theux, âgé de vingt deux ans, né à Theux, le premier mai mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime, mais mineur d’âge quant au mariage, de Jean Henri Lentz, chef manœuvre au chemin de fer, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Barbe Maréchal, ménagère, âgée de cinquante sept ans, domiciliée à Theux, et ci-présents et consentants, Et Marie Anne Philomène Joseph Gohy, aussi célibataire, ménagère, domiciliée à Theux, âgée de vingt deux ans, née à Theux le quinze octobre mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de Jean François Joseph Gohy, sans profession, domicilié à Theux, âgé de quarante neuf ans, et qui a donné son consentement au présent mariage, comme il conste de l’acte ci-joint, avenu par devant nous, officier de l’état civil, le quatre février courant, et de feue Marie Elisabeth Philomène Wathelet, décédée à Theux, le dix sept janvier mil huit cent quatre vingt sept, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé .

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées en cette commune les dimanches douze et dix-neuf janvier dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt sept a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs : Hubert Lentz, manœuvre au chemin de fer, âgé de trente huit ans, domicilié à Theux, frère du contractant, de Thomas Maréchal, cordonnier, âgé de quarante trois ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, de Jean Gohy, ouvrier de fabrique, âgé de vingt six ans, domicilié à Theux, frère de la contractante et de Joseph Gohy, ouvrier de fabrique, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 01/03/1890 Guillaume Joseph RENAVILLE et Marie Alphonsine BONIVER (n°07)

L’an mil huit cent nonante, le premier jour du mois de Mars à trois heures du soir, par devant Nous, Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune Guillaume Joseph RENAVILLE, célibataire, ouvrier de carrières domicilié à Comblain-au-pont, en cette province, âgé de vingt neuf ans, né au dit Comblain-au-pont, le quatre novembre mil huit cent soixante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé ; fils majeur et légitime de Henri Joseph RENAVILLE, cultivateur, âgé de soixante sept ans, domicilié au même lieu et ci présent et consentant et de feue Marie Constance LEJEUNE, décédée au même lieu le cinq avril mil huit cent et quatre vingt trois, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et dans lequel acte on a omis le prénom Marie ? Malgré cette omission, les parties et les quatre témoins dénommés au bas du présent acte de mariage déclarent sur serment qu’il y a néanmoins identité de personne ; Et Marie Alphonsine BONIVER, aussi célibataire, sans profession, domiciliée à Theux, âgée de dix huit ans, née à Theux les seize juillet mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé fille mineure et légitime de Jean Pierre BONIVER, cultivateur, âgé de cinquante un ans et de Jeanne Joseph TALBOT, ménagère, âgée de soixante un ans, domiciliés à Theux et ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées en cette commune les dimanches seize et vingt trois février dernier à Comblain-au-pont les mêmes jours, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs François Joseph MONAY, industriel, âgé de trente cinq ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante, de Alphonse RENAVILLE, ouvrier de carrières, âgé de trente sept ans, domicilié à Comblain-au-pont, frère du contractant, de Nicolas KAYE, profession de cordonnier, âgé de quarante deux ans domicilié à Heusy, beau frère de la contractante et de Alphonse CHARLIER, profession de serrurier, âgé de quarante un ans domicilié à Verviers, beau frère de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 26/04/1890 Hubert Joseph CLOSE et Marie Elisabeth HERTAY (N°13)

L’an mil huit cent nonante, le vingt sixième jour du mois de avril à quatre heures du soir, par devant Nous, Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Hubert Joseph Close, célibataire, chaufournier, domicilié à Theux ; âgé de vingt sept ans, né à Theux, le trente un janvier mil huit cent soixante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Lambert Georges Close, chaufournier, âgé de soixante un ans et de Marie Thérèse Joseph Jason, ménagère, âgée de cinquante trois ans, domiciliés à Theux et ci-présents et consentants, et Marie Elisabeth Hertay, aussi célibataire, ménagère, âgée de vingt six ans, née à Theux, le trente janvier mil huit cent soixante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Henri Guillaume Hertay, décédé à Theux le vingt deux octobre mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Marie Elisabeth Derousseaux, ménagère, âgée de soixante trois ans, domiciliée à Theux et ci-présente et consentante ; la comparante la dite Marie Elisabeth Hertay est également domiciliée à Theux.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées en cette commune les dimanches trente Mars dernier et six avril courant.

Attendu que le futur étant milicien de la classe de mil huit cent quatre vingt trois a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Antoine Close, chaufournier, âgé de vingt neuf ans domicilié à Theux, frère du contractant, de Joseph Close, chaufournier, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, frère du contractant, de Jean Duvivier, marchand de bois, âgé de quarante ans, domicilié à Pepinster, beau frère de la contractante, et de Nicolas Hertay, cultivateur, âgé de trente quatre ans, domicilié à Wegnez, frère de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous, excepté la mère de la contractante qui sur ce interpellée, a déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

M 17/05/1890 Léonard Joseph DELPORTE et Marie Appoline Angélique BONIVER (n°18)

L’an mil huit cent nonante, le dix-septième jour du mois de mai à cinq heures du soir, par devant Nous, Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune Léonard Joseph DELPORTE, célibataire, cultivateur domicilié à Polleur, âgé de vingt neuf ans, né à Polleur dans cet arrondissement, le vingt cinq juin mil huit cent soixante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de feu Louis Joseph DELPORTE, décédé audit Polleur le premier novembre mil huit cent quatre vingt comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et de Marie Thérèse BATTA, ménagère, âgée de soixante deux ans, domiciliée à Polleur et  (sic) ci présente et consentante ; Et Marie Appoline Angélique BONIVER, aussi célibataire, ménagère ; domiciliée à Theux, âgée de trente ans, née à Sart en cet arrondissement, le vingt quatre juin mil huit cent cinquante neuf ans (sic), comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Jean Pierre BONIVER, cultivateur, âgé de soixante huit ans et de Anne Marie SENTE, ménagère âgée de cinquante quatre ans, tous deux domiciliés à Theux et ci-présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées en cette commune les dimanches quatre et onze mai courant à Polleur les mêmes jours, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs : Alexandre DELPORTE, cultivateur, domicilié à Polleur, âgé de vingt sept ans, frère du contractant, de Jules DELPORTE, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Polleur, frère du contractant, de Pierre Hubert BONIVER, cultivateur, domicilié à Theux, âgé de vingt cinq ans, frère de la contractante et de Henri MODAVE, cordonnier, domicilié à Andenne, âgé de trente et un ans, beau frère de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

M 01/08/1891 Louis Joseph JASON et Marie Thérèse Catherine CLOSE (N°20)

L’an mil huit cent nonante-un, le premier jour du mois d’août à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Louis joseph Jason, célibataire, menuisier, domicilié à Theux, âgé de vingt deux ans, né à Theux, le trois décembre mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime des défunts Louis Joseph Jason, décédé à Theux le quatre décembre mil huit cent quatre vingt sept et Marie Marguérite Jacques, décédée à Theux le vingt trois octobre mil huit cent quatre vingt cinq, petit fils du côté paternel des défunts Jean François Jason, décédé à Theux, le dix janvier mil huit cent quarante trois et Marie Jeanne Foyr, décédée à Theux le vingt quatre mars mil huit cent cinquante huit, du côté maternel des défunts François Joseph Jacques, décédé à Theux, le dix-sept décembre mil huit cent cinquante sept et Marguerite Joseph Pondant, décédée à Theux, le vingt un janvier mil huit cent quarante sept, comme il conste des extraits de leurs acte de décès ci-annexés, le comparant et les quatre témoins dénommés au bas du présent acte déclarent sur serment que les aïeuls du contractant s(appelaient comme il est dit ci-dessus et que, quoique on ait écrit dans les actes du décès dont les extraits sont ci-annexés : François Joseph Jason, Jeanne Catherine Foyr, Jeanne Marie Foyr et François Jacques, il y a néanmoins identité de personne ; Et Marie Thérèse Catherine Close, célibataire, ménagère domiciliée à Theux, âgée de vingt un ans, née à Theux le vingt décembre mil huit cent soixante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de Lambert Georges Close, chaufournier, âgé de soixante deux ans, domicilié à Theux, ci-présent et consentant et qui déclare sur serment que quoique on ait écrit dans l’acte de naissance de sa fille Lambert Joseph au lieu de Lambert Georges, prénoms véritables, il y a néanmoins identité de personne et de Marie Thérèse Joseph Jason, ménagère, âgée de cinquante cinq ans, domiciliée à Theux et ci-présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées en cette commune les dimanches vingt huit juin dernier et cinq juillet suivant.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent soixante huit à fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs : Jean Mathieu Jacob, cultivateur, âgé de trente cinq ans, domicilié à Theux, beau frère du contractant, Hubert Close, cultivateur, âgé de vingt huit ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Joseph Close chaufournier, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Theux, frère de la contractante et François Jason, cordonnier, âgé de trente huit ans, domicilié à Theux, frère du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

M 21/05/1892 Jean Baptiste Emmanuel BEAUVE et Barbe Thérèse GOHY (N°15)

L’an mil huit cent nonante deux, le vingtunième jour du mois de mai, à six heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Baptiste Emmanuel Beauve, célibataire, cultivateur, âgé de trente ans, domicilié à Theux, né à Theux, le dix neuf, avril mil huit cent soixante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de François Lambert Beauve, cultivateur, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Charlotte Hubertine Pire, sans profession, âgée de cinquante trois ans, domiciliées à Theux et ci-présentes et consentants. Et Barbe Thérèse Gohy, aussi célibataire, cultivatrice, domiciliée à Theux, âgée de vingt sept ans, née à Theux le dix septembre mil huit cent soixante quatre comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de feu Bertrand Joseph Gohy, décédé à Theux, le dix sept février mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Alexandrine Beauve, cultivatrice, âgée de cinquante sept ans, domiciliée, à Theux et ici présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée les dimanches nous disons le dimanche premier mai courant.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir fait aucun convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Jean Baptiste Beauve, cultivateur âgé de soixante trois ans, domiciliés à Theux, oncle du contactant, Jean Thomson, poèlier, âgé de trente sept ans, domicilié à Theux, cousin germain de la contractante, Joseph Beauve, cultivateur âgé de vingt sept ans, domicilié à La Reid en cet arrondissement, beau frère du contractant et de Denis Paes, menuisier entrepreneur, âgé de trente cinq ans, domicilié à Spa, et cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 22/10/1892 François Xavier GOHY et Victorine RENIER (N°30)

L’an mil huit cent nonante deux, le vingt deuxième jour du mois d’octobre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : François Xavier Gohy, célibataire, menuisier, domiciliée à Theux, âgé de trente un ans, né à Theux, le neuf janvier mil huit cent soixante un, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de feu Bertrand Joseph Gohy, décédé à Theux, le dix sept février mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexée et de Alexandrine Beauve, ménagère, âgée de cinquante six ans, domiciliée à Theux, ci-présente et consentante et Victorine Renier, aussi célibataire, sans profession, domiciliée à Theux, âgée de vingt huit ans, née à Theux, le vingt deux août mil huit cent soixante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé fille majeure et légitime de Antoine Joseph Renier, maréchal Ferrant âgé de soixante un ans, domicilié à Theux, et qui a donné son consentement au présent mariage, comme il conste de l’acte en Brêvet, ci-annexé, avenu par devant maître Delrée, notaire à la résidence de Theux, le trois octobre courant, enregistré à Spa le lendemain, acte constatant l’identité attestée par le père de la future, dont le nom est mal orthographié dans l’acte de naissance de celle-ci et à l’acte de décès de sa mère Jeanne Catherine George décédée à Theux le deux avril mil huit cent septante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée les dimanches nous disons le dimanche vingt cinq septembre dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de soixante quatre ans, domicilié à Theux, oncle du contactant, Jean Beauve cultivateur, âgé de trente ans, domicilié à Theux, beau-frère du contractant, Joseph George, tourneur en bois, âgé de quarante trois ans, domicilié à Theux, cousin germain de la contractante et Joseph Bertrand, menuisier, âgé de trente six ans, domicilié à Wegnez cousin sous-germain de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 28/09/1889 Louis Hubert LEBEAU et Marie Eve MOUREAU (N°34)

L’an mil huit cent quatre vingt neuf, le vingt huitième jour du mois de septembre à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Philippe de Limbourg, Bourgmestre et officier de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Louis Hubert Lebeau, célibataire, menuisier, domicilié à Theux, âgé de vingt six ans, né à La Reid en cet arrondissement, le vingt sept avril mil huit cent soixante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, et qui a produit le certificat ci-joint exigé par la loi sur la milice, fils majeur et légitime de Philippe François Guillaume Lebeau, décédé à Theux, le seize août mil huit cent septante six, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Virginie Marie Anne Sacré, ménagère, âgée de cinquante cinq ans, domiciliée à Theux, ci-présente et consentante et qui déclare, sur serment, qu’elle s’appelle Virginie Marie Anne Sacré et que quoique à l’acte de naissance de son fils on ait omis les prénoms Marie Anne, il y a néanmoins identité de personne. Et Marie Eve Moureau, aussi célibataire, ménagère, domiciliée à Theux, âgée de vingt cinq ans, née à Theux, le quatorze février mil huit cent soixante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Dieudonné Moureau, journalier, âgé de cinquante cinq ans et de Marie Thérèse Jason, ménagère âgée de cinquante huit ans, domiciliés à Theux, et ci-présents et consentants, lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées devant la porte d’entrée de notre maison commune, les dimanches premier et huit septembre courant, aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, et après avoir donné lecture des pièces ci-dessus mentionnées, lesquelles sont dûment paraphées, et du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi que Louis Hubert Lebeau Marie Eve Moureau sont unis par le mariage. Les nouveaux époux ont alors déclaré n’avoir fait aucun contrat de mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de messieurs Jean Remy, entrepreneur, âgé de trente un ans, domicilié à Theux, cousin germain de la contractante, de Jean Louis Sacré, cultivateur, âgé de cinquante huit ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, de Joseph Lebeau, charretier, âgé de trente ans, domicilié à Ensival, frère du contractant, et de Mathieu Moureau, ouvrier de fabrique, âgé de cinquante un ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellé individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

M 02/11/1889 Jean Joseph SIMAR et Marie Thérèse LESCURE (N°39)

L’an mil huit cent quatre vingt neuf, le deuxième jour du mois de novembre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre et officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Joseph Simar, célibataire, fileur, domicilié actuellement à Theux, et ci-devant à Ensival, en cet arrondissement, âgé de vingt huit ans, né à Pepinster, en cet arrondissement, le premier juillet mil huit cent soixante un, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Henri Joseph Simar, journalier, âgé de soixante six ans, et de Marie Marguérite Watrin, ménagère, âgée de soixante deux ans, domiciliés à Ensival, et ci-présents et consentants ; Et Marie Thérèse Lescure, aussi célibataire, ouvrière de fabrique, domiciliée à Theux, âgée de vingt six ans, née à Theux, le neuf mars mil huit cent soixante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Jean Henri Lescure, journalier, âgé de cinquante huit ans, et de Catherine Joseph Defaaz, ménagère, âgée de cinquante quatre ans, domiciliés à Theux et ci-présents et consentants, lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites et affichées devant la porte de notre maison commune les dimanches treize et vingt octobre derniers, à Ensival les mêmes jours, comme il conste du certificat ci-annexé des publications des promesses réciproques de ce mariage délivré par Monsieur l’officier de l’état civil de la commune d’Ensival. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, ni à Monsieur l’officier de l’état civil de la commune d’Ensival, faisant droit à leur réquisition et après leur avoir donné lecture des pièces ci-dessus mentionnées, lesquelles sont dûment paraphées et du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi que Jean Joseph Simar et Marie Thérèse Lescure sont unis par le mariage. Les nouveaux époux ont alors déclaré n’avoir fait aucun contrat de mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Sluse, cordonnier, âgé de vingt sept ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante, de Noël Gohy, tisserand âgé de quarante six ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante de Joseph Cabay, profession de tisserand, âgé de vingt huit ans, domicilié à Ensival, beau frère du contractant, et de Clément Cornet, profession de tailleur de laines, âgé de vingt huit ans, domicilié à Lambermont, ami du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous excepté le contractant, ses père et mère et le père de la contractante, qui sur ce interpellés, ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

M 08/05/1890 Alfred Laurent NOIRFALISE et Marie Amélie DONEUX (N°15)

L’an mil huit cent nonante, le huitième jour du mois de Mai à onze heures du matin, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Alfred Laurent Noirfalise, célibataire, commis des postes, domicilié à Theux et ci-devant à Liège, âgé de vingt sept ans, né à Hody, en cette province, le vingt deux mars mil huit cent soixante trois comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-joint fils majeur et légitime de Laurent Joseph Noirfalise, maître de carrières, entrepreneur, âgé de soixante un ans, et de Justine Antoinette Montulet, sans profession, âgée de soixante deux ans, tous les deux domiciliés à Liège et ci-présents et consentants, et Marie Amélie Doneux, aussi célibataire, modiste domiciliée à Theux, âgée de vingt six ans, née à Theux, le quatorze février mil huit cent soixante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Jean Alexandre Doneux, fabricant de broches, âgé de soixante quatre ans, et de Marie Joseph Depresseux, sans profession, âgée de cinquante cinq ans, tous deux domiciliés à Theux et ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune les dimanches vingt et vingt sept avril dernier, à Liège les mêmes jours, comme il conste du certificat ci annexé.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt trois a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Henri Noirfalise, ingénieur, âgé de trente ans, domicilié à Bruxelles, frère du contractant, de Camille Noirfalise, professeur, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Liège, frère du contractant, de Jean Alexandre Doneux, fabricant de broches, âgé de vingt trois ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, et de François Joseph Depresseux, fileur, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Theux, cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 04/04/1891 Nicolas Joseph HENRY et Marie Josèphe JOURDAN (N°6)

L’an mil huit cent nonante-un, le quatrième jour du mois d’avril à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Nicolas Joseph Henry, veuf de Elisabeth Joseph Pire, décédée à Hodimont, le neuf mars mil huit cent quatre vingt trois, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, échardonneur, âgé de trente quatre ans, domicilié à Theux et né à Xhendelesse, en cette province, le quatorze janvier mil huit cent cinquante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur de Marie Catherine Henry ; Et Marie Joseph Jourdan, célibataire, journalière, âgée de quarante deux ans, et née à Sart en cet arrondissement le vingt six juillet mil huit cent quarante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de mariage ci-annexé, fille majeure et légitime des défunts Hubert Jourdan, décédé audit Sart le cinq août mil huit cent cinquante six et Marie Françoise Wislet, décédée au même lieu le douze octobre mil huit cent septante six, comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci-annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune les dimanches quinze et vingt deux mars dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux trois enfants ; savoir le premier né à Spa le quinze avril mil huit cent septante trois et inscrit sur les registres de l’état civil de la commune de Spa sous les nom et prénoms de Jourdan Marie Joséphine ; le second né à Theux le vingt sept juin mil huit cent quatre vingt cinq et inscrit sur les registres de l’Etat-civil de la commune de Theux sous les nom et prénom de Henry Jacques et le troisième né également à Theux le vingt cinq septembre mil huit cent quatre vingt sept et inscrit sur les registres de l’état-civil de la commune de Theux sous les noms et prénoms de Henry Léon Joseph, lesquels ils reconnaissent pour leurs enfants qu’ils entendent légitimer par ce mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Adam Jason, garde champêtre, âgé de quarante six ans, de Louis Harondar, chaufournier, âgé de vingt quatre ans, domicilié tous les deux à Theux, voisin des contractants, de Jean Requier, négociant, âgé de quarante deux ans, domicilié à Theux, connaissant les contractants et de Jacques Quaré industriel, âgé de vingt neuf ans, domiciliés à Theux, connaissant les contractants et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous, excepté la comparante qui sur ce interpellée a déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

 

M 24/10/1891 Jean Louis BERTRAND et Marie Thérèse MOUREAU (N°28)

L’an mil huit cent nonante-un, le vingt quatrième jour du mois d’octobre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Louis Bertrand, célibataire, tisserand, domicilié à Theux, âgé de trente six ans, né à Theux, le treize septembre mil huit cent cinquante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime des Dieudonné Joseph Bertrand, sans profession, âgé de quatre vingt deux ans et de Barbe Thérèse Hermeau, sans profession, âgée de septante huit ans domiciliés à Theux et qui ont donné leur consentement au présent mariage, comme conste de l’acte en brevêt ci-annexé avenu par devant maître Delrée, notaire à la résidence de Theux, le huit octobre courant, enregistré le lendemain, à Spa ; Et Marie Thérèse Moureau, aussi célibataire sans profession, âgée de vingt cinq ans, domiciliée à Theux, et née à Theux le vingt six janvier mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Dieudonné Moureau, commerçant âgé de cinquante sept ans et de Marie Thérèse Jason ; sans profession, âgée de soixante un ans, domiciliés à Theux et ci-présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune les dimanches treize et vingt septembre dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs : Théodore Bertrand, employé de fabrique, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Theux et frère du contractant, Hubert Bertrand, fileur, âgé de quarante sept ans domicilié à Theux, frère du contractant, Mathieu Moureau, manœuvre, âgé de cinquante trois, domicilié à Theux, oncle de la contractante et de Jean Remy, maître menuisier, âgé de trente trois ans, domicilie à Theux, cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

M 27/05/1892 Antoine Guillaume Joseph PIRE et Elisabeth SCHEUREN (N°22)

L’an mil huit cent nonante neuf, le vingt septième jour du mois de mai à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Antoine Guillaume Joseph Pire, célibataire, ouvrier maçon, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt quatre ans, né à Theux, le vingt cinq octobre mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de feu Walthère Joseph Pire, décédé à Liège le cinq septembre mil huit cent nonante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, et de Marie Claire Jehin, sans profession, âgée de cinquante deux ans, domiciliée à Theux, et qui a donné son consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint, avenu le vingt cinq mai courant, par devant nous officier de l’Etat Civil ; Et Elisabeth Scheuren, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt cinq ans, née à Theux, le sept février mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Pierre Scheuren, décédé à Theux, le huit février mil huit cent septante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Marie Grofen, ouvrière de fabrique, âgée de soixante un ans, domiciliée à Theux, et qui a donné son consentement au présent mariage, comme il conste de l’acte ci-joint, avenu le vingt cinq mai courant, par devant Nous officier de l’Etat Civil.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche trente du mois d’avril dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante quatre a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

Sur ce les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux deux enfants inscrits sur les registres de l’état civil de la commune de Theux, l’un le trente mai mil huit cent nonante huit sous les noms et prénoms de Scheuren Félicie Anna, née à Theux la veille et l’autre le treize mai mil huit cent nonante neuf sous les nom et prénoms de Scheuren Marie Elisabeth Antoinette, née à Theux le même jour, lesquels ils reconnaissent pour leurs enfants et qu’ils entendent légitimer par ce mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Henri Scheuren, cordonnier, âgé de quarante huit ans, domicilié à Theux, demi frère de la contractante, Marcellin Albert, manœuvre, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, ami du contractant, Constant Mack, maçon, âgé de vingt huit ans, domicilié à Theux, ami du contractant, et Joseph Remacle, cordonnier, âgé de vingt huit ans, domiciliée à Theux, ami du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

M 26/11/1892 Victor Fiacre DUBOIS et Marie Jeanne SCHMIDT (N°32)

L’an mil huit cent nonante deux, le vingt sixième jour du mois de novembre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Victor Fiacre Dubois, célibataire, tondeur, domicilié à Dison, âgé de vingt six ans, né à Dison, le trente août mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Mathieu Joseph Dubois, tisserand, domicilié à Dison, âgé de soixante deux ans, ci présent et consentant et de feue Anne Marie Cathérine Defawes, décédée à Dison, le dix neuf juillet mil huit cent quatre vingt six, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et Marie Jeanne Schmidt, aussi célibataire, ouvrière agricole, domiciliée à Theux, âgée de trente six ans, née à Theux, le six mai mil huit cent cinquante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeure et légitime des défunts Jean Henri Schmidt, décédé à Theux le sept septembre mil huit cent septante huit et Marie Marguerite Jehin, décédée à Theux le quatorze janvier mil huit cent septante trois, comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci-annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune les dimanches, nous disons le dimanche vingt trois octobre dernier, à Dison le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt six a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Nicolas Kreutz, machiniste, âgé de quarante huit ans, domicilié à Theux, beau-frère de la contractante, Alexandre Massin, secrétaire communal, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Theux, qui connait les contractants, Antoine Dubois, tisserand, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Dison, oncle du contractant, et Pierre Dubois, tisserand, âgé de trente trois ans, domicilié à Dison, frère du contractant et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 11/02/1893 Victor Joseph DENOZ et Marie Barbe REMY (N°04)

L’an mil huit cent nonante trois, le onzième jour du mois de Février à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Victor Joseph Denoz veuf de Marie Elisabeth Vathy, décédée à Theux le vingt trois août mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, fileur, domicilié à Theux, âgé de trente six ans, né à Theux, le trente un décembre mil huit cent cinquante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime des défunts Gilles Joseph Denoz, décédé à Theux le dix neuf avril mil huit cent quatre vingt sept et Marie Barbe Warny, décédée à Theux le vingt neuf octobre mil huit cent quatre vingt douze comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci-annexés, les quatre témoins dénommés au bas du présent acte et le comparant déclarent à serment que les père et mère de celui-ci s’appelaient comme il est dit ci-dessus, et que, quoiqu’à l’acte de naissance du contractant on ait écrit Denooz et Warnier et à l’acte de décès de la première femme, on ait écrit également Denooz au lieu de Denoz, il y a néanmoins identité de personne ; Et Marie Barbe Remy, célibataire, couturière, domiciliée à Theux, âgée de quarante trois ans, née à Theux le vingt sept octobre mil huit cent quarante neuf comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, file majeure et légitime de Martin François Louis Remy, serrurier, âgé de septante trois ans, domicilié à Theux, ci-présent et consentant et de feue Marguerite Joseph Jason, décédée à Theux, le trente janvier mil huit cent quatre vingt dix, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt deux janvier dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans, n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Louis Dessaucy, laveur de laines, âgé de cinquante sept ans, domicilié à Theux, cousin du contractant, Lambert Defraity, fileur, âgé de quarante sept ans, domicilié à Theux, beau-frère de la contractante, Dieudonné Moureau, négociant, âgé de cinquante huit ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante et Jean Louis Vathy, manœuvre, âgé de soixante huit ans, domicilié à Theux, beau père du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous excepté Louis Dessaucy et Dieudonné Moureau, qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 15/04/1893 Jean Michel BRIAIMONT et Marie Joseph JAMES (N°8) (Intégré)

L’an mil huit cent nonante trois, le quinzième jour du mois d’avril à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Michel Briaimont, célibataire, cultivateur, domicilié à Theux, âgé de vingt neuf ans, né à Thimister, en cet arrondissement, le seize juillet mil huit cent soixante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Michel Briaimont, cultivateur, âgé de soixante sept ans et de Marie Anne Demarsy, sans profession, âgée de cinquante huit ans, domiciliés à Theux qui ont donné leur consentement au présent mariage comme il conste de l’acte en brêvet, ci-joint, avenu par devant maître Mathieu Félix Joseph Boland, notaire à la résidence de Verviers, le vingt trois mars dernier, enregistré le lendemain à Verviers. Et Marie Joseph James, aussi célibataire couturière, domiciliée à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Theux, le onze juillet mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Clément Joseph James, cultivateur, âgé de cinquante six ans et de Anne Joseph Poussart, sans profession, âgée de cinquante un ans, domiciliés à Theux et ci-présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche douze du mois de mars dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir fait aucun convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Hubert Joseph Poussart, cultivateur, âgé de quarante sept ans, domiciliés à Theux, oncle de la contractante, Jean Joseph Poussart cultivateur, âgé de cinquante six ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, Adam Jason, garde champêtre, âgé de quarante huit ans domicilié à Theux cousin germain du contractant, et Emile Charrette, cultivateur, âgé de trente quatre ans domicilié à Polleur, et beau frère du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous, excepté Jean Joseph Poussart et la mère de la contractante qui, sur ce interpellés ont déclaré ne savoir signer

 

 

 

 

 

M 15/04/1893 Antoine Joseph HEUSCHEN et Marie Jeanne PIRE (N°09)

L’an mil huit cent nonante trois, le quinzième jour du mois d’avril à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Antoine Joseph Heuschen, célibataire, ouvrier tanneur, domicilié à Theux, âgé de vingt huit ans, né à Theux le premier avril mil huit cent soixante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Henri Joseph Hubert Heuschen, ouvrier agricole, âgé de cinquante six ans, domicilié à Theux et ci-présent et consentant, et de feue Adèle Fyon, décédée à Theux, les dix neuf juillet mil huit cent septante un comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé. Et Marie Jeanne Pire, aussi célibataire, servante, domiciliée à Theux et y demeurant ci-devant résidant à Spa, âgée de vingt deux ans, née à Theux le quinze octobre mil huit cent septante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure de Jean Joseph Pire, scieur de long, âgé de cinquante ans, domicilié à Soiron, et qui a donné son consentement au présent mariage, comme il conste de l’acte en brevêt, ci-joint, avenu par devant maître Delrée Xavier, notaire à la résidence de Theux, le vingt mars dernier, enregistré le lendemain à Spa, et de feue Marie Thérèse Thomson, décédée à Theux, le vingt huit août mil huit cent quatre vingt dix, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche cinq mars dernier, à Spa le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt cinq a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Warnotte, maréchal ferrant, âgé de quarante six ans, domicilié à Theux, cousin de la contractante, Guillaume Thomson, charron, âgé de trente huit ans, domicilié à Theux, cousin de la contractante, Henri Heuschen, ouvrier tanneur, âgé de trente deux ans, domicilié à Theux, frère du contractant et de Antoine Fyon, profession de jardinier, domicilié à Verviers, âgé de cinquante deux ans, oncle du contractant et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 22/04/1893 Jean Jacques GONAY et Marie Joseph POUSSART (N°10)

L’an mil huit cent nonante trois, le vingt deuxième jour du mois d’Avril à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Jacques Gonay, célibataire, boucher, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt six ans, né à Theux, le quatre juin mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Pierre Joseph Léopold Gonay, boucher, âgé de quarante neuf ans, et de Marie Anne Godet, sans profession, âgée de quarante neuf ans, domiciliés à Theux, ci-présents et consentants. Et Marie Joséphine Poussart, aussi célibataire, couturière, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt six ans, née à Theux le trente septembre mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Félix Joseph Hubert Poussart, tisserand, âgé de cinquante cinq ans, ci présent et consentant et de feue Marie Pauline Fassin, décédée à Theux, le vingt quatre mars mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, l’un et l’autre domiciliés à Theux.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt six du mois de mars dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt six a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Hubert Godet, cultivateur, âgé de soixante huit ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Joseph Poussart, laveur de laines, âgé de cinquante sept ans, domiciliés à Theux, oncle de la contractante, Pierre Fassin, journalier, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, et Clément Gonay, boucher, âgé de cinquante quatre ans, domicilié à Andrimont, oncle du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 08/06/1893 Jean Léon HERVE et Anne Catherine Alexandrine CORNE (N°15)

L’an mil huit cent nonante trois, le huitième jour du mois de juin à onze heures du matin, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Léon Herve, célibataire, industriel, domicilié à Theux, âgé de trente ans, né à Theux le treize décembre mil huit cent soixante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé fils majeur et légitime de Léonard Joseph Herve, rentier, âgé de cinquante quatre ans et de Marie Joseph Lodez, sans profession, âgée de cinquante huit ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants : et Anne Catherine Alexandrine Corne, aussi célibataire, sans profession, domicilié à Theux, âgée de dix neuf ans, née à Theux, le onze juillet mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille mineure légitime de feu Pierre Joseph Corne, décédé à Theux, le dix janvier mil huit cent quatre vingt neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et de Catherine Wilkin, négociante, domicilié à Theux, âgée de quarante huit ans, ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt huit du mois dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré avoir arrêté une convention matrimoniale devant maître Alphonse Lefèbvre, notaire à la résidence de Verviers, le six juin courant, enregistrée.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Noêl Joseph Lodez, tonnelier âgé de vingt huit ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Thomas Joseph Herve, cultivateur, âgé de cinquante sept ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Lambert Joseph Corne, cultivateur, âgé de quarante quatre ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante et Pierre Joseph Isidore Lepourcq, cultivateur, âgé de quarante ans, domicilié à Dison, oncle par alliance de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous, excepté Thomas Joseph Herve, qui sur ce interpellé, à déclaré ne savoir signer.

 

 

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M 14/10/1893 Adolphe Joseph FAYMONVILLE et Marie Antoinette THOMSON (N°21) (Intégré)

L’an mil huit cent nonante trois, le quatorzième jour du mois d’octobre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Adolphe Joseph Faymonville, célibataire, poèlier, résident et domicilié à Theux, âgé de vingt cinq ans, né à Theux le trente un mai mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de Mathias Faymonville, employé âgé de cinquante six ans, et de Catherine Joseph Dumont sans profession, âgée de cinquante huit ans domiciliés à Theux, ci présents et consentants Et Marie Antoinette Thomson, aussi célibataire, sans profession, résidant et domicilié à Theux, âgée de vingt huit ans, née à Theux, le onze juin mil huit cent soixante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime des défunts Jean Nicolas Thomson décédé à Theux le cinq février mil huit cent quatre vingt douze et Marie Agnès Elisabeth Gohy, décédée à Theux le vingt six juin mil huit cent septante sept, comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée le dimanche dix sept du mois de septembre dernier

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt huit a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Mathieu Faymonville, tourneur, domicilié à Theux, âgé de vingt neuf ans, frère du contractant, François Joseph meunier commissaire voyer en disponibilité, domicilié à Theux, âgé de cinquante six ans, petit cousin par alliance du contractant, Jean Thomson, industriel, domicilié à Theux, âgé de trente huit ans, frère de la contractante, et Dieudonné Thomson, poèlier, domicilié à Theux, âgé de vingt cinq ans, frère de la contractante, après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 28/10/1893 Guillaume Constantin THOMSON et Henriette Marie Thérèse ETIENNE (N°22) (Intégré)

L’an mil huit cent nonante trois, le vingt huitième jour du mois d’octobre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Guillaume Constantin Thomson, célibataire, charron, âgé de trente huit ans, domicilié et résidant à Theux et y né le onze mars mil huit cent cinquante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé fils majeur et légitime des défunts Thomas Hubert Thomson, décédé à Theux le seize novembre mil huit cent septante cinq et marie Marguerite Leguéridon, décédée au même lieu le vingt quatre août mil huit cent quatre vingt treize. Et Henriette Marie Thérèse Etienne, aussi célibataire, sans profession, âgée de vingt cinq ans domiciliée et résidant à Theux, y née le vingt cinq avril mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait

de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Théodore Etienne, boucher, âgé de cinquante huit ans et de Marie Joséphine Gonay, sans profession, âgée de quarante sept ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

Les extraits des actes de décès des père et mère du contractant sont ci annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée le dimanche quinze du mois d’octobre courant.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Hermès Joseph Bertrand Etienne, négociant, âgé de cinquante quatre ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, François Leguéridon, peintre, âgé de septante sept ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Joseph Pirard, menuisier, âgé de quarante cinq ans, domicilié à Theux, dans la rue de la chaussée, beau frère du contractant, et Jean Gonay, profession de négociant âgé de quarante trois ans, domicilié à Verviers, oncle de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 12/05/1894 Amour Louis Philippe BOTTRIAUX et Marie Hortense POUSSART (N°11)

L’an mil huit cent nonante quatre, le douzième jour du mois de mai à six heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Amour Louis Philippe Bottriaux, célibataire, gendarme, et qui est autorisé par le Département de la Guerre, à contracter le présent mariage, comme il conste du certificat ci-joint, délivré le dix avril dernier, par le capitaine commandant la compagnie de gendarmerie de la province de Liège, âgé de trente un ans, domicilié et résidant à Theux, né à Mont sur Marchienne, province de Hainaut, le huit avril mil huit cent soixante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Paulin Amour Bottriaux, décédé à Marchienne au Pont province de Hainaut, le quatorze juin mil huit cent nonante un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Marie Thérèse Bodson, sans profession, âgée de cinquante cinq ans, domiciliée au dit Mont sur Marchienne, ci présente et consentante ; Et Marie Hortense Poussart, aussi célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt cinq ans, née à Theux le deux septembre mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Félix Joseph Hubert Poussart, tisserand, âgé de cinquante six ans, domicilié à Theux, ci-présent et consentant et de Marie Pauline Fassin, décédée à Theux, le vingt quatre mars mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche quinze du mois d’avril dernier

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré avoir arrêté une convention matrimoniale par devant maître Mathieu Félix Joseph Boland, notaire à la résidence de Verviers le douze avril dernier, enregistrée.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Jason, boulanger, âgé de trente sept ans, domicilié à Theux, cousin de la contractante, Joseph Poussart, sans profession, âgé de cinquante huit ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, Armand Bourguignon, serrurier, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Theux, ami du contractant, et Lambert Volon, profession de négociant, âgé de quarante huit ans, domicilié à Louveigné, province de Liège, ami du contractant et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère de la contractante qui sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 19/06/1894 Jean Maximilien BONIVER et Marie Louise BONIVER (N°12)

L’an mil huit cent nonante quatre, le dix neuvième jour du mois de mai à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Maximilien BONIVER, célibataire, charretier, domicilié à Theux, âgé de vingt neuf ans, né à Polleur, en ce canton, le trois février mil huit cent soixante cinq , comme il en conste de l’extrait de son acte de  naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Pierre BONIVER cultivateur, âge de cinquante quatre ans et de Jeanne Joseph TALBOT, sans Profession, âgée de soixante cinq ans, ci présents et consentant, tous les trois résidant à Theux et y domiciliés.

Et Marie Louise BONIVER, aussi célibataire, servante, domiciliée et résidant à Liège, âgée de vingt deux ans, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Eugène Joseph BONIVER, sans Profession, domicilié à Sart, détenu à l’asile à Saint-Trond et qui se trouve dans l’impossibilité de manifester sa volonté au présent mariage, comme il conste du certificat ci-annexé délivré par Monsieur le Docteur inspecteur dudit établissement d’aliénés, attestation suffisante pour célébrer le présent mariage ainsi qu’il résulte de la lettre de Monsieur le Procureur du Roi de Verviers en date du vingt mai mil huit cent septante huit, numéro deux mille quatre cent vingt neuf, consulté sur un cas analogue, et de feue Anne Marie KNOISS (?) décédée à Spa le dix sept novembre mil huit cent septante six, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé. Les comparants et les quatre témoins dénommés au bas du présent acte déclarant à serment que quoiqu’à l’acte de décès de la mère de la comparante on ait écrit BONIVERT au lieu de BONIVER et omis le prénom Joseph dans la désignation du père de celle-ci, il y a néanmoins identité de personne.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt deux avril dernier, à Liège le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Guillaume Joseph RENAVILLE, ouvrier carrier, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, beau frère du contractant, Toussaint Henri MOXHET, cultivateur, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, voisin du contractant, Paschal Alexis Doneux , meunier, âgé de vingt trois ans domicilié à Theux, voisin du contractant et Nicolas BONIVER, profession de cultivateur âgé de quarante deux ans, domicilié à Sart et oncle du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 20/07/1894 Jean Pierre Louis Gaspar CARO et Hélène Louise Fidéline ROGEAU (N°41 de l’année 1897)

Ville de ROUBAIX : Extrait des registres aux actes de mariages pour l’année mil huit cent quatre vingt quatorze

L’an mil huit cent quatre vingt quatorze le vingt juillet, à dix heures quarante minutes du matin, par devant nous Pierre Joseph Trannoy adjoint délégué par le maire pour remplir les fonctions d’Officier de l’état civil de la ville de Roubaix, chef lieu de canton, arrondissement de Lille, Département du Nord, ont comparu publiquement à l’Hotel de ville : Jean Pierre Louis Gaspar Caro, employé de commerce, né le vingt un mars mil huit cent soixante un à Theux (Belgique) y domicilié et résidant à Roubaix, fils majeur de Jean Louis Joseph Caro et de Catherine Alexandrine Corne, son épouse, sans profession, domiciliés à Polleur, consentants suivant actes passés par devant Maître Delrée, notaire à Theux, pour le père le dix mai et pour la mère le vingt un juin derniers, d’une part ; Et Hélène Louise Fidéline Rogeau, sans profession, né le trente mai mil huit cent soixante onze, à La Gorgue (Nord) domiciliée à Roubaix, fille majeure de Henri Dieudonné Ferdinand, employé de commerce et de Sophie Lefebvre, son épouse, sans profession, domiciliés audit Roubaix, ici présents et consentants d’autre part.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites conformément à la Loi à Roubaix et à Theux les dimanches huit et quinze juillet courant à l’heure de midi, aucune opposition ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, lecture faite, tant des pièces mentionnées et annexées au présent, que du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage. Sur notre interpellation les futurs époux ont déclaré qu’il a été fait un contrat de mariage passé devant maître Poissonnier, notaire à Roubaix, le dix juillet courant. Nous avons ensuite demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi que Jean Pierre Louis Caro et Hélène Louise Fidéline Rogeau sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Hippolyte Andries, âgé de quarante deux ans, géomètre, beau frère de l’épouse ; et Antoine charlot, âgé de trente quatre ans, architecte, et Albert vandeputte, âgé de trente un ans, courtier, non parents des époux, et de Pierre Caro, âgé de trente un ans, filateur, frère de l’époux, ce dernier témoin domicilié à Polleur et les trois autres à Roubaix. Lecture faites du présent acte nous l’avons signé avec les époux et les autres comparants.

Délivré en conformité de la convention internationale du vingt cinq avril mil huit cent septante six, le trois août mil huit cent nonante quatre. Le maire de Roubaix (Signé) Trannoy adj. Vu pour la légalisation de la signature de M. adjoint au maire de Roubaix – Lille le trente un mars mil huit cent nonante cinq. Pour le préfet du Nord. Le conseiller de Préfecture, faisant fonctions de secrétaire général délégué (signature illisible) Vu pour la légalisation de la signature de M. Godefroy, conseiller de préfecture. Pour le trente juillet mil huit cent nonante cinq. Pour le ministre de l’intérieur. Pour le chef de bureau du secrétariat délégué (Signature illisible) Pour le deux mars mil huit cent nonante six. Vu au ministère des affaires étrangères. Pour le chef de bureau délégué (signature illisible). Vu à la légation de Belgique. Paris le seize mars mil huit cent nonante sept . pour le Ministre (signature illisible)

Transcrit pour copie conforme à Theux le onze mai mil huit cent nonante sept, jour de sa réception, conformément à l’article cent septante un du Code civil. L’officier de l’Etat civil Jacques Quaré.

 

 

 

M 25/08/1894 Jean Martin MONTULET et Marie Joseph LAURENT (N°23)

L’an mil huit cent nonante quatre, le vingt cinquième jour du mois d’août à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Martin Montulet, célibataire, ouvrier armurier, domicilié et résidant à Nessonvaux, âgé de vingt huit ans, né à Olne, en cette province, le vingt un mai, mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexés fils majeur et légitime de François Nicolas Montulet, armurier, µ âgé de soixante un ans et de Marie Catherine Jeunehomme, sans profession, âgée de cinquante sept ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants, Et Marie Joseph Laurent, ami célibataire, ouvrière de fabrique, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt un ans, née à Theux, le deux avril mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de François joseph Laurent, journalier, âgé de cinquante quatre ans et de Joséphine Clémentine Piret ouvrière de fabrique, âgée de quarante cinq ans, domiciliés à Theux, ci-présents et consentants

µ et domiciliés à Nessonvaux, renvoi approuvé et porté ici à défaut de place suffisante dans la marge en face du renvoi ci-dessus.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée le dimanche cinq août courant ; à Nessonvaux, le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Jean Montulet, armurier, âgé de cinquante quatre ans, domicilié à Nessonvaux, oncle du contractant, Eugène Montulet, ouvrier fileur, âgé de vingt deux ans, domicilié à Nessonvaux, frère du contractant, Antoine Laurent, laveur de laines, âgé de cinquante un ans, domicilié à Cornesse, oncle de la contractante et Joseph Cospin, armurier, âgé de vingt deux ans, domicilié à Nessonvaux, ami du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté les père et mère du contractant et Antoine Laurent qui, sur ce interpellés individuellement ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

 

M 20/10/1894 Paul Henri Joseph GUSTIN et Anne Marguerite VILVORDER (N°30) (Intégré)

L’an mil huit cent nonante quatre, le vingtième jour du mois d’octobre à trois heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Paul Henri Joseph Gustin, célibataire fileur, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt huit ans, né à Theux, le vingt neuf juin mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Jean Pierre Gustin, décédé à Theux le trente avril mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Anne Marie Moson, sans profession, âgée de cinquante six ans, domicilié à Theux et qui a donné son consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint avenu le dix octobre courant par devant nous officier de l’état civil de la commune de Theux ; et Anne Marguerite Vilvorder, aussi célibataire, drousseuse domiciliée et résidant à Theux, âgée de trente deux ans, née à Theux le dix neuf août mil huit cent soixante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de feu Pierre Michel Vilvorder, décédé à Theux le vingt trois octobre mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Anne Marie Hubertine Lehnen, sans profession, âgée de soixante sept ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante et qui déclare qu’elle s’appelle Anne Marie Hubertine Lehnen et que, quoique à l’acte de naissance de sa fille précitée on ait omis le prénom Anne, il y a néanmoins identité de personne. Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée le dimanche neuf du mois de septembre dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Joseph Gustin, peintre, âgé de quarante sept ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Joseph Emonts, ouvrier tanneur, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, ami du contractant, Pierre Vilvorder, chauffeur, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, et Henri Moson, profession d’ouvrier de fabrique, domicilié à Verviers, âgé de cinquante deux ans, oncle du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 10/11/1894 Benoit Jean Joseph Julien BONIVER et Marie Philomène Joseph DEMARTEAU (N°33)

L’an mil huit cent nonante quatre, le dixième jour du mois de novembre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Benoit Jean Joseph Julien BONIVER, veuf de Marie Joséphine PIRONET décédée à Spa le vingt quatre juillet mil huit cent nonante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, camionneur, domicilié et résidant à Spa, âgé de vingt sept ans, né à Sart, en cet  arrondissement le sept février mil huit cent soixante sept, comme il en conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Lambert BONIVER, cultivateur, âgé de septante neuf ans, et de Marie Françoise LELOUP, sans profession, âgée de septante ans, domiciliée à Sart, ci présents et consentants.

Et Marie Philomène Joseph DEMARTEAU, célibataire, servante, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt neuf ans, née à Theux le vingt deux avril mil huit cent soixante cinq comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Henri Joseph DEMARTEAU, Nous disons Henri Joseph Guillaume DEMARTEAU, journalier âgé de cinquante sept ans et de Marie Jeanne Joseph MARICHAL, sans profession, âgée de cinquante sept ans, domiciliés à Theux et qui ont donné leur consentement au présent mariage, comme il conste de l’acte ci-joint, en brevet avenu par devant Maître Delrée Xavier, notaire à la résidence de Theux, le premier novembre courant, enregistré le lendemain à Spa.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée le dimanche vingt huit octobre dernier à Spa, le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de l’année mil huit cent quatre vingt sept a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Adam Hubert JORIS, tisserand, âgé de vingt six ans, domicilié à Theux, beau-frère de la contractante, Henri Joseph MARICHAL, Cultivateur, âgé de soixante neuf ans, Domicilié à Dison, oncle de la contractante, Henri Jean Julien BONIVER, Cultivateur, âgé de quarante un ans, domicilié à Sart, frère du contractant et Pierre BRISCOT, cultivateur, âgé de trente huit ans, Domicilié à Sart, beau frère du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 17/11/1894 Joseph Edouard MARECHAL et Marie Joseph TOUMSIN (N°34)

L’an mil huit cent nonante quatre, le dix septième jour du mois de novembre à trois heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Joseph Edouard Maréchal, célibataire, ouvrier de fabrique, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt neuf ans, né à Theux le treize octobre, mil huit cent soixante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Joseph Maréchal, décédé à Theux, le cinq février mil huit cent septante, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Marie Jeanne Gustin, sans profession, âgés de cinquante neuf ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante ; Et Marie Joseph Toumsin, aussi célibataire, ouvrière de fabrique, domiciliée et résidant à Theux, âgée de trente quatre ans, née à Theux le vingt deux février mil huit cent soixante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de Mathieu Joseph Toumsin, décédé à Theux le vingt deux mai mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et de Marie Joseph Monville sans profession, âgée de cinquante neuf ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche sept du mois d’octobre dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Jean Jaminon, boulanger, âgé de quarante trois ans, domicilié à Theux, cousin germain par alliance du contractant, Jacques Closset, menuisier, âgé de quarante sept ans, domicilié Theux, cousin germain du contractant, Hubert Joseph Monville, maçon, âgé de cinquante cinq ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante et Jean Gustin, profession de menuisier, âgé de quarante deux ans domicilié à Ensival, et cousin germain du contractant et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté la mère de la contractante qui sur ce interpellée a déclaré ne savoir signer. Le témoin Hubert Joseph Monville déclare également ne savoir signer.

 

 

 

M 29/12/1894 Eugène André Joseph ALBERT et Marie Joséphine GOHY (N°40)

L’an mil huit cent nonante quatre, le vingt neuvième jour du mois de décembre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Eugène André Joseph Albert, célibataire, maréchal Ferrant, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt sept ans, né à Fraipont, en cette province le neuf septembre mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur, légitime de Thomas Joseph Albert, maréchal Ferrant, âgé de cinquante huit ans, et de Marie Jeanne Joseph Paquay, sans profession, âgée de cinquante sept ans, domiciliés à Theux, ci-présents et consentants, Et marie Joséphine Gohy, aussi célibataire, servante, domiciliée résidant à Theux, ci-devant à Spa, âgée de vingt ans, née à Theux le dix huit novembre mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille mineure, légitime des défunts Jean François Joseph Gohy, décédé à Theux, le vingt quatre mai mil huit cent quatre vingt onze et marie Elisabeth Philomène Wathelet, décédée à Theux, le dix sept janvier mil huit cent quatre vingt sept, petite fille du côté paternel des défunts Noêl Joseph Gohy décédé à Theux, le quinze juillet mil huit cent quatre vingt cinq et Marie Thérèse Joseph Pondant, décédée à Theux, le cinq août mil huit cent soixante neuf ; du côté maternel les défunts Gilles Joseph Wathelet, décédé à La Reid le sept décembre mil huit cent quatre vingt trois et Marie Catherine Joseph Deroumaux, décédée à La Reid le vingt six octobre mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste des extraits des leurs actes de décès ci-annexés, laquelle est autorisée à contracter mariage avec le dit Eugène André Joseph Albert, par le conseil de famille, suivant acte ci-joint passer pardevant Monsieur le juge de paix de Spa, le quinze novembre dernier, enregistrée le dix sept du même mois de novembre, conseil de famille qui autorise en outre et spécialement à donner son consentement au présent mariage, le frère germain et tuteur de la contractante, Monsieur Jean Gohy, fileur, ci présent et consentant.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche seize du mois de décembre courant. Semblable publication a eu lieu à Spa le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt sept a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir fait aucun convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Joseph François Gohy, fileur, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, frère de la contractante Lambert Thomas Joseph Albert, maréchal Ferrant, âgé de trente cinq ans ; domicilié à Theux, frère du contractant, Julien Goulevant, employé des douanes, âgé de trente six ans, domicilié à Theux, cousin sous germain du contractant et Edouard Joseph Lebeau, profession de Aiguiseur, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Verviers, ami du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 29/12/1894 Henri Joseph WIDAR et Thérèse Marguerite GOHY (N°39)

L’an mil huit cent nonante quatre, le vingt neuvième jour du mois de décembre à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Henri Joseph Widar, célibataire, bucheron, domicilié et résidant à Harzé, en cette province, âgé de vingt quatre ans, né au dit Harzé, le vingt sept novembre mil huit cent et septante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils mineurs, légitime de Hubert Joseph Widar, cultivateurs, âgé de soixante deux ans et de Marie Anne Pondant, ménagère âgée de soixante deux ans, domiciliée audit Harzé, ci présents et consentants, et Thérèse Marguérite Gohy, aussi célibataire, ménagère, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt trois ans, née à Theux, le trois septembre mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé ; fille majeure et légitime de Arnold Gohy, ouvrier agricole, âgé de cinquante sept ans, et de Marie Françoise Josèphe Close, sans profession, âgée de cinquante quatre ans, domiciliés à Theux ci-présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche neuf décembre courant, à Harzé, le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale. Et aussitôt, les dix époux ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant inscrit sur les registres de l’état civil de la commune de Theux, le huit décembre mil huit cent quatre vingt douze, sous les noms et prénoms de Gohy Jules François Joseph, né à Theux le sept décembre mil huit cent quatre vingt douze, lequel ils reconnaissent pour leur enfant qu’ils entendent légitimer par ce mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Jean Nicolas Arnold Gohy, ouvrier de fabrique, âgé de vingt cinq ans domicilié à Theux, frère de la contractante, Constant Brisbois, bucheron, âgé de vingt trois ans, domicilié à Harzé, cousin germain du contractant Jean Henri Dehez profession de boulanger, âgé de trente quatre ans, domicilié à Ensival, cousin germain de la contractante et Toussaint Henri Mexher, profession d’ouvrier de fabrique, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, ami du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous excepté le père de la contractante et la mère du contractant qui, sur ce interpellés individuellement, ont déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 19/10/1895 Lambert Henri Joseph DELREZ et Marie Catherine CORNE (N°21)

L’an mil huit cent nonante cinq, le dix neuvième jour du mois d’octobre à onze heures du matin, par devant Nous Guillaume François Moureau, échevin, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Lambert Henri Joseph Delrez, célibataire, médecin vétérinaire, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt six ans, né à Verviers, le treize juillet mil huit cent soixante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Hubert Joseph Delrez, hôtelier, âgé de cinquante cinq ans et de Marie Catherine Ackermans, hôtelière âgée de quarante huit ans, domiciliés à Verviers, ci-présents et consentants.

Et Marie Catherine Corne, aussi célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt ans, née à Theux, le douze février mil huit cent septante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille mineure, légitime de feu Pierre Joseph Corne, décédé à Theux le dix janvier, mil huit cent quatre vingt neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Catherine Wilkin, négociante âgée de cinquante ans, domicilié à Theux, ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt neuf du mois de septembre dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la ville de Verviers a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Henri Veilvoye, rentier, âgé de cinquante cinq ans, domiciliés à Verviers, oncle du contractant, Jean Delrez, cafetier, âgé de quarante six ans, domiciliés à Verviers, oncle du contractant, Lambert Joseph Corne, cultivateur, âgé de quarante six ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, et Jean Léon Herve industriel, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 26/10/1895 Honoré Jean Joseph MARECHAL et Marie Magdeleine Joséphine CLOSE (N°23)

L’an mil huit cent nonante cinq le vingt sixième jour du mois d’octobre à cinq heures du soir, par devant Nous Guillaume François Moureau, Echevin, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Honoré Jean Joseph Maréchal, célibataire, cocher, domicilié et résidant à Pepinster, âgé de vingt quatre ans, né à La Reid en cette province, le vingt sept mars mil huit cent septante un comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils mineur, quant au mariage, légitime de Honoré Joseph Maréchal, charretier âgé de cinquante deux ans, domicilié à Theux, ci présent et consentant et de feue Marie Catherine Gillet décédée à Wegnez le dix sept octobre mil huit cent septante sept comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et Marie Magdeleine Joséphine Close, aussi célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt trois ans, née à Theux le premier septembre mil huit cent septante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexés, fille majeure et légitime de Lambert Georges Close, chaufournier, âgé de soixante six ans, et de Marie Thérèse Joseph Jason, sans profession, âgée de cinquante neuf ans, domiciliée à Theux, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune les dimanches vingt neuf septembre dernier ; à Pepinster le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante un a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Close, chaufournier, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Hubert Close, cultivateur, âgé de trente deux ans, domiciliés à Theux, frère de la contractante, Augustin Maréchal, cultivateur, âgé de soixante trois ans, domicilié à Fraipont, oncle du contractant, et Augustin Joseph Maréchal, cocher, âgé de vingt sept ans, domicilié à Verviers, frère du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

M 02/05/1896 Pierre Joseph LEROY et Victoire Marie Antoinette GOHY (N°11)

L’an mil huit cent nonante six le deuxième jour du mois de Mai à cinq heures du soir par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Pierre Joseph Leroy, célibataire, boulanger, domicilié et résidant à Theux, âgé de trente quatre ans, né à Theux, le treize avril mil huit cent soixante deux comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Jean François Joseph Leroy, décédé à Theux, le vingt huit Août mil huit cent soixante cinq, come il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Anne Marie Darimont, décédée à Theux, le seize mai mil huit cent, quatre vingt dix, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, Et Victoire Marie Antoinette Gohy, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt six ans, née à Theux, le seize avril mil huit cent septante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Bertrand Joseph Gohy, décédé à Theux, le dix sept février mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et de Alexandrine Beauve, sans profession, âgée de soixante ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche cinq du mois d’avril dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Jean Baptiste Beauve, cultivateur, âgé de soixante sept ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, Xavier Gohy, menuisier, âgé de trente cinq ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Adam Wihet, employé des postes, âgé de vingt trois ans, domicilié à Theux, cousin du contractant et Jean Piron, machiniste, âgé de cinquante cinq ans domicilié à Stembert, cousin du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 10/06/1896 Servais Joseph CORNE et Marie Anne Marguerite DUMONT (N°15)

L’an mil huit cent nonante-six, le dixième jour du mois de Juin à onze heures du matin, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Servais Joseph Corne, célibataire, cultivateur, domicilié et résidant à Theux, âgé de quarante huit ans, né à Theux, le vingt un juillet mil huit cent quarante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeure et légitime de feu Servais Joseph Corne décédé à Theux le onze octobre mil huit cent quatre vingt onze, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Anne Catherine Grosjean, décédée à Theux le quatre août, mil huit cent soixante neuf comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé, Et Marie Anne Marguérite Dumont, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de quarante ans, née à Theux le seize décembre mil huit cent cinquante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Jean Joseph Dumont ; décédé à Theux le quatre octobre mil huit cent quatre vingt dix, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feu Marie Thérèse Denis, décédée à Theux le cinq novembre mil huit cent soixante un comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche trente un du mois de mai dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Lambert Corne, cultivateur, âgé de quarante sept ans, domicilié à Theux, frère du contactant ; François Joseph Dumont, cultivateur, âgé de cinquante un ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante ; Jean Baptiste Beauve, cultivateur âgé de soixante sept ans, domicilié à Theux, oncle par alliance de la contractante, Pierre Lepourcq, cultivateur, âgé de quarante trois ans, domicilié à Dison, beau frère du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

 

M 26/08/1896 Etienne Joseph GOHY et Marie Catherine MARBAISE (N°23)

L’an mil huit cent nonante-six, le vingt sixième jour du mois de Août à onze heures du matin, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Etienne Joseph Gohy, célibataire, employé à l’enregistrement, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt neuf ans, né à Theux le vingt un mars mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Jean Lambert Gohy, décédé à Theux, le trois février mil huit cent quatre vingt cinq comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Marie Elisabeth Decheneux, sans profession, âgée de septante un ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante. Et Marie Catherine Marbaise, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt six ans, née à Theux, le douze décembre mil huit cent soixante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Jean Guillaume Marbaise, sans profession, âgé de soixante huit ans, domicilié à Theux, ci présent et consentant et de feue Marie Elisabeth Philippine Jamar, décédée à Theux le premier décembre mil huit cent quatre vingt huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche seize du mois d’Août courant.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Toussaint Gohy, tisserand, âgé de trente huit ans, domicilié à Theux, frère du contractant, Remacle Mailleur, cultivateur, âgé de cinquante cinq ans, domicilié à La Reid, beau frère du contractant, Florentin Jamar, peintre, âgé de vingt quatre ans, domiciliés à Theux, cousin germain de la contractante et Guillaume Marbaise, boucher, âgé de quarante deux ans, domicilié à Flémalle Grande, cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté le père de la contractante qui, sur ce interpellé a déclaré ne savoir signer.

 

 

M 03/10/1896 Jean Toussaint Joseph GOHY et Ernestine Marie Antoinette DESSAUCY (N°27)

L’an mil huit cent nonante-six, le troisième jour du mois de Octobre à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Toussaint Joseph Gohy, célibataire, ajusteur domicilié et résidant à Verviers, ci-devant à Heusy, en cet arrondissement, âgé de trente ans, né à Theux, le sept février mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Arnold Joseph Gohy décédé à Theux, le treize janvier mil huit cent septante quatre comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé, et de Marie Hélène Gohy, sans profession, âgée de soixante cinq ans, domiciliées à Verviers et qui a donné son consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint, en brêvet avenu par devant Maître Maurice Gerard, notaire à la résidence de Verviers, le vingt deux septembre dernier, enregistré : Et Ernestine Marie Antoinette Dessaucy, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Theux, le huit mars mil huit cent septante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance, fille majeure et légitime de Jean Léonard Dessaucy entrepreneur, âgé de cinquante quatre ans et de Marie Agnès Michel, sans profession, âgée de cinquante deux ans, domiciliée à Theux ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche treize du mois de septembre dernier ; à Verviers et à Heusy le même jour comme il conste des certificats ci-joints.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Georges Dessaucy, menuisier, âgé de vingt sept ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Nicolas Crémer, négociant, âgé de cinquante quatre ans, domiciliés à Theux, oncle de la contractante, Toussaint Gohy, facteur des postes, âgé de soixante ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, et Hubert Decheneux, cultivateur, âgé de trente deux ans, domicilié à Lambermont ; cousin germain du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

M 10/10/1896 Jean Antoine ANTOINE et Marie Félicie MONVILLE (N°28)

L’an mil huit cent nonante-six, le dixième jour du mois de octobre à cinq heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Antoine Antoine, célibataire, ouvrier armurier, domicilié et résidant à Theux, ci-devant à Fraipont, âgé de vingt sept ans, né à Theux le dix novembre mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Jean Laurent Joseph Antoine, décédé à Theux, le vingt trois décembre mil huit cent septante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Dieudonnée Grosdent, décédée à Theux le premier avril mil huit cent quatre vingt un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et Marie Félicie Monville, célibataire, ouvrière de fabrique, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt deux ans, nés à Theux le vingt quatre février mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure légitime de Jean Barthélémi Monville, ouvrier agricole, âgé de cinquante un ans et de Marie Joseph Massart, sans profession, âgée de quarante neuf ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche treize du mois de septembre dernier ; à Fraipont, le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent quatre vingt huit a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Antoine, journalier, âgé de trente ans, domicilié à Theux, frère du contractant, Hubert Antoine, journalier, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, frère du contractant, Hubert Monville, journalier, âgé de quarante deux ans, domicilié à Stoumont, oncle de la contractante et Célestin Boutet, cultivateur, âgé de trente deux ans, domicilié Dolembreux, cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté la mère de la contractante qui sur ce interpellée a déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 20/02/1897 Mathieu Antoine MARLOIR et Octavie Agnès COLLINS (N°4)

L’an mil huit cent nonante sept, le vingtième jour du mois de février à quatre heures du soir, par devant Nous Philippe de Limbourg, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Mathieu Antoine Marloir, célibataire, instituteur libre, domicilié et résidant à Verviers, âgé de vingt cinq ans, né à Slins, arrondissement de Liège, le dix neuf avril mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Arnold Marloir, chapelier et de Catherine Rouwmans, sans profession, domiciliés tous deux à Slins et qui ont donné leur consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint, en brevet, avenu par devant Maître Georges Gerland, notaire à la résidence de Glons, le *deux janvier dernier, enregistré ; Et Octavie Agnès Collins, célibataire, modiste domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Theux, le vingt sept novembre, mil huit cent septante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Jean Mathieu Collins, négociant, âgé de cinquante sept ans et de Dieudonnée Fassin, sans profession, âgée de cinquante ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

*Nous disons, dix huit février courant, Renvoi approuvé et ici porté faute de place dans la marge vis-à-vis de la date rectifiée.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche sept du mois de février courant ; à Verviers le même jour, comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante un a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Herman Collins, dirigeur de filature, âgé de cinquante deux ans, domicilié à Andrimont, oncle de la contractante ; Mathieu Collins, professeur de coupe, âgé de trente deux ans, domicilié à Verviers, frère de la contractante, Guillaume Cassalette, représentant de commerce, âgé de trente un ans, domicilié à Huy, ami du contractant et, Jean Jeunehomme, instituteur libre, âgé de vingt deux ans, domicilié à Flémalle, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

 

15/03/1897 Acte de Divorce entre Jean Bertrand Guillaume DUMOULIN et Marie Elisabeth GOHY (N°10)

L’An mil hui cent nonante sept le quinzième jour du mois de mars à dix heures du matin par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Marie Elisabeth Gohy, ouvrière couturière, âgée de vingt neuf ans, domiciliée et demeurant à Theux, laquelle nous a déclaré que, voulant faire procéder à la dissolution du mariage qui a eu lieu entre elle et Jean Bertrand Guillaume Dumoulin, garçon boucher, âgé de trente sept ans domicilié et demeurant à Theux, le trentième jour du mois d’avril mil huit cent quatre vingt sept, devant l’Officier de l’Etat Civil de la commune de Theux, elle a obtenu le quatre novembre mil huit cent nonante six, un arrêt par défaut de la cour d’appel de Liège, première chambre, réformant le jugement du tribunal de première instance de Verviers en date du six mai mil huit cent nonante six, lequel arrêt l’autorise à faire prononcer le divorce ;

Vu l’expédition dudit arrêt, enregistré à Liège le premier décembre mil huit cent nonante six, à nous remise avec l’exploit (?) de signification qui en a été faite à Jean Bertrand Guillaume Dumoulin, le vingt deux janvier dernier par l’huissier Adelin Moureau de Spa, enregistré à Spa le lendemain.

Vu l’assignation à lui donné pour qu’il ait à se trouver aujourd’hui en la maison commune de Theux, à dix heures du matin à l’effet d’entendu prononcer le divorce entre lui et Marie Elisabeth Gohy, avec déclaration que, faute de s’y trouver, il y sera procéder tant en son absence qu’en sa présence, la dite assignation a lui signifiée le vingt sept février dernier par le dit huissier Adelin Moureau, enregistré à Spa, le premier mars courant, lesquelles pièces ci-dessus énoncées paraphées par nous er la comparante demeurant annexées au présent registre et attendu qu’il n’existe aucune mention d’opposition à l’arrêt par défaut susdit, sur le registre tenu au Greffe de la cour d’appel de Liège, comme il conste du certificat ci-joint délivré par Monsieur Le Greffier en chef de la dite Cour le dix sept février dernier, visé pour valoir timbre et enregistre à liège le même jour, et que les délais pour ce faire sont expirés, l’heure étant passée sans que Jean Bertrand Guillaume Dumoulin se soit présenté, Nous, Officier de l’Etat-Civil, faisant droit à la réquisition de Marie Elisabeth Gohy déclarons au nom de la loi que le mariage qui a eu lieu entre Jean Bertrand Guillaume Dumoulin, garçon boucher, domicilié et demeurant à Theux, âgé de trente sept ans et Marie Elisabeth Gohy, ouvrière couturière, domiciliée et demeurant à Theux, âgée de vingt neuf ans, est dissous par l’effet du divorce autorisé par l’arrêt rendu par défaut, ci-dessus relaté ;

Dont acte dressé en présence de Messieurs Alexandre Massin, secrétaire communal, âgé de cinquante sept ans, et de Léonard Warnotte, employé communal, âgé de cinquante un ans, tous deux domicilié à Theux, témoins à ce requis par la comparante et ont les témoins et la comparante signé avec nous le présent acte après que lecture en a été faite, approuvant les quatorze lignes rayées nulles ci-dessus.

 

 

 

M 19/06/1897 Jean Pierre Joseph TROISIER et Marie Josephine GOHY (N°19)

L’an mil huit cent nonante-sept, le dix neuvième jour du mois de juin à trois heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Pierre Joseph Troisier, célibataire, ouvrier foulon, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt quatre ans né à Theux, le six février mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Joseph Troisier, ouvrier tisserand, âgé de quarante neuf ans et de Marie Angélique Chivy, sans profession, âgée de quarante sept ans, domiciliée à Theux, ci présents et consentants ; Et Marie Joséphine Gohy, célibataire, ouvrière de fabrique domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt trois ans, née à Seraing, en cette province, le seize octobre mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Bertrand Joseph Gohy, ouvrier agricole, âgé de soixante deux ans, domicilié à Theux, ci présent et consentant, et de feue Jeanne Hurlet, décédée à Theux le treize juillet mil huit cent quatre vingt quinze, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche trente du mois de mai dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante trois a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

Et aussitôt les dits époux ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant inscrit sur les registres de l’état-civil de la commune de Theux le premier avril mil huit cent quatre vingt quinze, sous les noms et prénoms de Gohy Julien Joseph, né à Theux, le trente un mars mil huit cent quatre vingt quinze, le quels ils reconnaissent, pour leur enfant, qu’ils entendent légitimer par ce mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Henri Scheuren, cordonnier, âgé de quarante six ans, domicilié à Theux, oncle par alliance du contractant, Toussaint Gohy, facteur rural, âgé de soixante un ans, domicilié à Theux, oncle par alliance de la contractante, Victor Georges, piocheur, âgé de trente quatre ans, domicilié Charneux, oncle du contractant et Mathieu Hurlet, lampiste, âgé de cinquante quatre ans, domicilié à Spa, oncle de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 31/07/1897 Jean Pierre Ferdinand WISLET et Amélie Henriette WISLET (N°26)

L’an mil huit cent nonante sept, le trente unième jour du mois de juillet à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Pierre Ferdinand Wislet, célibataire, ouvrier paveur, domicilié et résidant à Spa, en ce canton, âgé de vingt cinq ans, né à Spa le vingt sept mars mil huit cent septante* comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Wislet, ouvrier paveur, et de Joséphine Dambourg, sans profession, domiciliés à Spa et qui ont donné leur consentement, au présent mariage comme il conste de l’acte ci-annexé avenu le douze juillet courant, par devant, Monsieur l’Officier de l’état-civil de la ville de Spa ; Et Amélie Henriette Wislet, célibataire, servante domiciliée et résidant à Theux, avant à Spa, âgée de dix neuf ans, née à Spa le sept mars mil huit cent septante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille mineure, légitime de Nicolas Joseph Wislet, ouvrier paveur et de Jeanne Wathieu, sans profession, domiciliée à Theux, et qui ont donné leur consentement, au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint en brevet avenu par devant Maître Delrée, notaire à la résidence de Theux, le vingt huit juin dernier, enregistré.

* deux . renvoi approuvé et ici porté faute de place dans la marge vis-à-vis de la date rectifiée.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche onze du mois de juillet courant, à Spa le même jour comme il conste du certificat ci-joint .

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante deux a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Marcel Lauon, jardinier, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Theux, ami des contractants ; Antoine Marcotte, cantonnier, âgé de cinquante cinq ans, domicilié à Theux, ami du contractant, Joseph Heuslich, employé, âgé de trente ans, domicilié à Spa, ami de la contractante, et Guillaume Boutet, camionneur, âgé de cinquante un ans, domicilié à Theux, ami du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous excepté le contractant, qui, sur ce interpellé, a déclaré ne savoir signer.

 

 

 

 

 

M 23/10/1897 Joseph Henri PIRARD et Marie Joséphine Julienne DELHEZ (N°33)

L’an mil huit cent nonante sept, le vingt troisième jour du mois de Octobre à trois heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Joseph Henri Pirard, célibataire, ouvrier menuisier, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt trois ans, né à Theux, le vingt sept février mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Nicolas Joseph Pirard, ouvrier menuisier, âgé de cinquante ans, et de Marie Thérèse Thomson, sans profession, âgée de quarante huit ans, domiciliées à Theux, ci présents et consentants ; Et Marie Joséphine Julienne Delhez, célibataire, ouvrière blanchisseuse, domiciliée et résidant à Theux, âgée de trente deux ans, née à Theux ; le douze juillet mil huit cent soixante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Jacques Joseph Xavier Delhez, décédé à Dison le sept octobre mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de décès et de feue Marie Jeanne Albert décédée à Liège le seize avril mil huit cent quatre vingt un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche trois du mois d’octobre courant.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante quatre a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Emile Delhez, conducteur de travaux, âgé de trente neuf ans domicilié à Verviers, frère de la contractante, Jean Delhez, mécanicien, âgé de trente sept ans, domicilié à Verviers, frère de la contractante ; Jean Pirard, menuisier, âgé de quarante huit ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, et Hubert Pirard, ardoisier, âgé de vingt un ans, domicilié à Theux, frère du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 13/11/1897 Pierre Joseph Victor MAGNIETTE et Marie Judith FASSIN (N°37)

L’an mil huit cent nonante-sept, le treizième jour du mois de décembre à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Pierre Joseph Victor Magniette, célibataire, gendarme et qui est autorisé par le département de la guerre à contracter le présent mariage, comme il conste du certificat ci-joint délivré le trois novembre mil huit cent nonante sept, par le capitaine commandant la compagnie de la gendarmerie de la province de Liège, domicilié et résidant à Seilles, en cette province ci devant à Theux, âgé de vingt neuf ans, né à cul des sarts province de Hainaut, le deux juin mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Aimé Magniette, cultivateur, âgé de cinquante six ans et de Josephine Delaire, sans profession, âgé de cinquante un ans, domiciliés à Petite Chapelle, province de Namur, et qui ont donné leur consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-annexé avenu le vingt deux octobre dernier, par l’Officier de l’état civil de la Commune de Petite Chapelle ; Et Marie Judith Fassin, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt un ans, née à Theux, le dix huit novembre mil huit cent septante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Pierre Joseph Fassin, cultivateur, âgé de cinquante huit ans, domiciliés à Theux et de feue Marie Thérèse Laguesse, décédée à Theux le dix neuf novembre mil huit cent quatre vingt trois, comme il conste de l’extrait de son acte de de décès ci-annexé laquelle nous a remis l’acte respectueux notifié à son père, préqualifié le treize octobre mil huit cent nonante sept, par notaire à la résidence de Theux Maître Delrée enregistré le quinze octobre mil huit cent nonante sept, sur lequel il n’est pas intervenu de consentement, qui demeurera annexé au présent acte et duquel il résulte que mes formalités requise par la loi du trente avril mil huit cent nonante six, ont été remplies et que les délais sont expirés envoi approuvé et ici porté faute de place en marge en face des mots rectifiés

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt quatre du mois dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans, n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Mathieu Collins, négociant, âgé de cinquante huit ans, domiciliés à Theux, oncle par alliance de la contractante : Hubert Poussart, tisserand, âgé de cinquante neuf ans domicilié à Theux, oncle par alliance de la contractante Jacques Gonay, boucher, âgé de trente un ans, domicilié à Theux, cousin par alliance de la contractante, et Arthur Bartiaux, maréchal des logis de gendarmerie, âgé de trente sept ans, domicilié à Theux, ami des contractants et, après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 24/12/1897 Walthère Guillaume Louis PIRE et Thérèse Adèle BOUTET (N°43)

L’an mil huit cent nonante sept, le vingt quatrième jour du mois de décembre à trois heures du soir, par devant nous, Jean Nagant, Echevin, pour absence du Bourgmestre faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Walthère Guillaume Louis Pire, célibataire, ouvrier maçon, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt quatre ans, né à Theux, le seize février mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de Walthère Joseph Pire maçon, âgé de cinquante six ans et de Marie Claire Jehin, sans profession, âgée de cinquante un ans domiciliés à Theux, et qui ont donné leur consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint avenu le dix neuf courant, par devant l’officier de l’état civil de cette commune ; Et Thérèse Adèle Boutet, célibataire, ouvrière de fabrique, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt ans, née à Theux le treize juin mil huit cent septante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille mineure, légitime de Michel Boutet, ouvrier menuisier, âgé de cinquante cinq ans et de Marie Catherine Bairin, sans profession, âgée de quarante huit ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants. Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt un du mois de novembre dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante trois a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Julien Boutet, carrier, âgé de quarante huit ans, domicilié à Theux, cousin de la contractante, Barthélémy Fyon, cultivateur, âgé de vingt huit ans, domicilié à Theux, ami du contractant ; François Lentz, chef manœuvre âgé de trente neuf ans, domicilié à Ensival, beau frère de la contractante et Guillaume Fyon, ouvrier de fabrique, âgé de vingt cinq ans, domicilié à Pepinster, cousin du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

Note marginale : Le mariage constaté par l’acte n°43 ci-contre a été dissous par le divorce pour cause déterminée prononcé par nous Echevin faisant les fonctions d’officier de l’Etat civil de Theux le seize septembre mil neuf cent vingt six et inscrit aux registre des actes de mariages de Theux pour l’année mil neuf cent vingt six sous le numéro 37 page 37. A Theux le seize septembre mil neuf cent vingt six. L’officier de l’Etat Civil (S) Laurent Close. Pour annotation conforme. Verviers le 20 septembre 1926. Le greffier chef du tribunal.

 

 

M 15/01/1898 Pierre Edmond DOMS et Marie Elisabeth GOHY (N°1)

L’an mil huit cent nonante-huit, le quinzième jour du mois de janvier à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Pierre Edmond Doms, célibataire, ouvrier mécanicien, domicilié et résidant à Pepinster, âgé de trente trois ans, né à Malines, province d’Anvers, le dix sept janvier mil huit cent soixante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Baptiste Doms, chef garde, domicilié à Pepinster, et qui a donné son consentement au présent mariage, comme il conste de l’acte ci-joint avenu le cinq janvier courant par devant l’Officier Public de l’Etat Civil de la commune de Pepinster et de feue Clémence Justine Van Gansbeke, décédée à Wegnez le vingt six avril mil huit cent septante quatre comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexés ; Et Marie Elisabeth Gohy, épouse divorcée de Jean Bertrand Guillaume Dumoulin, suivant acte de divorce avenu par devant Nous officier de l’Etat civil de la commune de Theux, le quinze mars mil huit cent nonante sept, inscrit aux registres des mariages le même jour, comme il conste de la copie ci-annexée, enregistrée à Spa le six novembre mil huit cent nonante sept, couturière, domiciliée et résidant à Theux, âgée de trente ans, née à Theux le vingt six septembre mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de Laurent François Joseph Gohy, sans profession, et de Marie Jeanne Beauve, sans profession, domiciliés à Theux, et qui ont donné leur consentement, au présent, mariage comme il conste de l’acte ci-joint avenu le sept janvier dernier, par devant Nous Officier de l’Etat Civil.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt six du mois dernier ; à Pepinster le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Alexandre Dumont, machiniste, âgé de quarante deux ans, domicilié à Ensival, beau frère de la contractante, Toussaint Gohy, machiniste, âgé de quarante ans, domicilié à Pepinster, frère de la contractante ; Pierre Stembert, agréé au chemin de fer, âgé de trente ans, domicilié à Pepinster, ami du contractant, et Servais Job, tisserand, âgé de vingt sept ans, domiciliés à Pepinster ami du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 29/01/1898 Jacques Alexandre MONVILLE et Marie Anne Joséphine TOUMSIN (N°04)

L’an mil huit cent nonante huit, le vingt-neuvième jour du mois de janvier à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jacques Alexandre Monville célibataire, ouvrier de fabrique, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt cinq ans, né à Theux le vingt février mil huit cent septante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Barthélemi Monville, ouvrier agricole, âgé de cinquante deux ans, et de Marie Joseph Massart, sans profession, âgée de cinquante ans, domiciliée à Theux ci présents et consentants ; Et Marie Anne Joséphine Toumsin, célibataire, ouvrière de fabrique, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Theux le vingt sept octobre mil huit cent septante trois comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de feu Mathieu Joseph Toumsin, décédé à Theux le vingt deux mai mil huit cent quatre vingt quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé, et de Marie Joseph Monville, cabaretière, âgée de soixante trois ans, domiciliée à Theux et qui a donné son consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-joint avenu le six janvier courant, pardevant nous, Officier de l’état civil.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche neuf du mois de janvier courant.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante trois a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Alexis Monville, cultivateur, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, oncle du contractant ; André Pirlot, ouvrier marbrier, âgé de trente quatre ans, domicilié à Theux, ami du contractant ; Hubert Monville, ouvrier maçon, âgé de soixante sept ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, et Jean Antoine, ouvrier armurier, âgé de vingt neuf, domicilié à Fraipont, beau frère du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous excepté la mère du contractant et le témoin Hubert Monville qui, sur ce interpellés ont déclaré ne savoir signer.

 

 

M 19/02/1898 Ferdinand Joseph POUSSART et Marie Lambertine RAMONFOSSE (N°07)

L’an mil huit cent nonante huit, le dix neuvième jour du mois de février à quatre heures du soir, par devant Nous, Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Ferdinand Joseph Poussart,célibataire, journalier, domicilié et résidant à Theux, âgé de quarante deux ans, né à Theux, le dix neuf septembre mil huit cent cinquante cinq comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Ferdinand Joseph Poussart, décédé à Theux le quatre mai mil huit cent quatre vingt six, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et de feue Anne Joseph Noële Gohy décédée à Theux le douze octobre mil huit cent quatre vingt quatorze, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et Marie Lambertine Ramonfosse, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Theux, le trente un juillet mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de Lambert Joseph Ramonfosse, ouvrier agricole, âgé de cinquante huit ans, domicilié à Theux, ci présent et consentant et de feue Julie Legrand, décédée à Theux le neuf Janvier mil huit cent quatre vingt, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche trente du mois de janvier dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Hubert Poussart, cultivateur, âgé de quarante quatre ans, domicilié à La Reid, frère du contractant, Jean Poussart, menuisier, âgé de quarante huit ans, domicilié à Theux, frère du contractant, Thomas Brisbois, cultivateur, âgé de quarante trois ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante, et, Joseph Constant, Ramonfosse, ouvrier de fabrique, âgé de vingt sept ans, domicilié à Theux, frère de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 12/03/1898 Joseph Alphonse Mathieu CHEFNEUX et Ernestine Marie SIMON (N°11)

L’an mil huit cent nonante huit, le douzième jour du mois de mars à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Joseph Alphonse Mathieu Chefneux, célibataire, ouvrier boulanger, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt ans, né à Theux, le trois janvier mil huit cent septante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils mineur, légitime de Mathieu Joseph Chefneux, boulanger et de Anne Catherine Jason, sans profession, âgés respectivement de cinquante trois ans chacun, domiciliés à Theux, ci présents et consentants ; Et, Ernestine Marie Simon, célibataire, ouvrière trieuse, domiciliée et résidant à Theux, âgée de dix huit ans, née à Theux, le onze avril mil huit cent septante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille mineure légitime de Henri François Simon, carboniseur, âgé de quarante trois ans et de Marie Célestine Ramonfosse, sans profession, âgée de quarante deux ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt sept du mois de février dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante huit a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Jacques Fyon, mécanicien, âgé de cinquante sept ans, domiciliés à Theux, oncle du contractant ; Nicolas Simon, cordonnier, âgé de quarante ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, Jean Ramonfosse, ouvrier fileur, âgé de trente huit ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante et François Chefneux, boulanger, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, frère du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 13/04/1898 Emile Joseph LECLERCQ et Henriette Joséphine CORNE (N°14)

L’an mil huit cent nonante-huit, le treizième jour du mois d’avril à onze heures du matin, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Emile Joseph Leclercq, célibataire, instituteur, en cette province, âgé de quarante sept ans, né à Verlaine, arrondissement de Huy le deux février mil huit cent cinquante un, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de feus Nicolas André Leclercq, décédé à Verlaine, le vingt trois octobre mil huit cent quatre vingt huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci annexé et de Marie Marguerite Hubert décédée audit Verlaine, le dix huit septembre mil huit cent quatre vingt quatre comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et Henriette Joséphine Corne, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de quarante ans, née à Theux, le onze octobre mil huit cent cinquante sept, comme il conste l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure et légitime de feu Servais Joseph Corne décédé à Theux le onze octobre mil huit cent quatre vingt onze, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Anne Catherine Grosjean décédée à Theux le quatre août, mil huit cent soixante neuf comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt sept du mois de mars dernier ; à Dison, le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré avoir arrêté une convention matrimoniale par devant Maître Xavier Delrée, notaire à la résidence de Theux, le onze avril courant, enregistré .

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs, Eugène Leclercq, fruitier, âgé de cinquante ans, domicilié à Jehay-Bodegnée, frère du contractant, Victor Noël, géomètre du cadastre, âgé de quarante deux ans, domicilié à Verlaine, cousin germain par alliance du contractant ; pierre Lepourcq, cultivateur, âgé de quarante cinq ans, domicilié à Dison, beau frère de la contractante et Lambert Corne, cultivateur âgé de quarante neuf ans, domicilié à Theux, frère de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 28/05/1898 Jean Louis Léopold PIRET et Amélie Rosalie FASSIN (N°25)

L’an mil huit cent nonante-huit, le vingt huitième jour du mois de mai à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Louis Léopold Piret, célibataire, charron, domicilié et résidant, à Theux, âgé de trente neuf ans, né à Theux, le vingt un novembre mil huit cent cinquante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Lambert Joseph Piret, cultivateur, âgé de septante trois ans, domicilié à Theux, ci-présents et consentants et de feue Joséphine nous disons, Marie Joséphine Jeunechamps, décédé à Theux le six mars mil huit cent septante un, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et, Amélie Rosalie Fassin, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt neuf ans, née à Theux, le deux novembre mil huit cent soixante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Gille Joseph Fassin, décédé à Theux le trente mai mil huit cent quatre vingt dix, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Marie Françoise Gohy, décédé à Theux le dix septembre mil huit cent quatre vingt cinq comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche quinze du mois de mai courant

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Jean Fassin, magasinier, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Henri Fassin, cultivateur, âgé de soixante deux ans domicilié à Theux, oncle de la contractante, Toussaint Gotta, cultivateur, âgé de cinquante deux ans, domicilié à Wegnez, beau frère du contractant, et Joseph Baiwir, cultivateur, âgé de trente un ans, domicilié à Fraipont, cousin germain du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

 

M 09/07/1898 Edouard Pierre COLLINS et Pauline Catherine Joséphine CHEFNEUX (N°27)

L’an mil huit cent nonante huit, le neuvième jour du mois de juillet à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Edouard pierre Collins, célibataire, instituteur communal, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt sept ans, né à Theux le quatre juillet mil huit cent septante un comme il conste de l’extrait de son acte de décès, nous disons, de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de Jean Mathieu Collins, négociant, âgé de cinquante neuf ans, et de Dieudonnée Fassin, sans profession, âgée de cinquante deux ans, domiciliées à Theux, ci-présents et consentants. Et, Pauline Catherine Joséphine Chefneux, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt six ans, née à Theux le dix sept mai mil huit cent septante deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Mathieu Joseph Chefneux, boulanger, âgé de cinquante trois ans, et d’Anne Cathérine Jason, sans profession, âgée de cinquante trois ans domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche dix neuf du mois de juin dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante un a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs François Jason, cultivateur, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, Jacques Fyon, mécanicien, âgé de cinquante sept ans, domicilié à Theux, oncle par alliance de la contractante, Mathieu Marloir, instituteur, âgé de vingt sept ans, domiciliés à Theux, beau frère du contractant, et Mathieu Collins, négociant, âgé de trente trois ans, domicilié à Verviers, frère du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 30/07/1898 Bertrand François Joseph GOHY et Marie Joséphine Léonie PRESSEUX (N°29)

L’an mil huit cent nonante-huit, le trentième jour du mois de juillet à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Bertrand François Joseph Gohy, célibataire, ouvrier débourreur, domicilié et résidant, à Theux, âgé de vingt huit ans, né à Theux, le vingt six janvier mil huit cent septante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Jean François Joseph Gohy, décédé à Theux, le vingt quatre mai mil huit cent quatre vingt onze ; comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Marie Elisabeth Philomène Wathelet, décédée à Theux le dix sept janvier mil huit cent quatre vingt sept, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et marie Joséphine Léonie Presseux, célibataire, ouvrière drousseuse, domiciliée et résidant à Theux âgée de vingt deux ans, née à Theux, le vingt deux mai mil huit cent septante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fille majeure, naturelle reconnue de Marie Elisabeth Presseux, ouvrière drousseuse, âgée de quarante trois ans, ci présents et consentants et domiciliés à Theux.

Les parties et les quatre témoins dénommés au bas du présent acte déclarent sur serment que le père du contractant s’appelait jean François Joseph Gohy et que, quoique à l’acte de naissance du comparant ont ait omis le prénom de Joseph, il y a néanmoins identité de personne.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche trois du mois de juillet courant ;

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Gohy, fileur, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux frère du contractant ; Ernest Jourdan, fileur, âgé de trente ans, domicilié à Theux, beau frère du contractant, Léopold Presseux, manœuvre, âgé de trente six ans, domicilié à Theux, ami du contractant, et Léopold Lemaire, drousseuse, âgé de vingt sept ans, domicilié à Theux, ami du contractant et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

Note marginale : Le mariage ci contre à été dissout par le divorce pour cause déterminée prononcé par Nous officier de l’Etat Civil le douze septembre mil neuf cent quatre et porté aux actes de mariage de Theux sous le numéro 83. Le douze septembre mil neuf cent quatre L’officier de l’Etat civil, Jacques Quaré

 

 

M 17/09/1898 Isidore Pierre SERVAIS et Jeannette Mélanie LAMBERT (N°32)

L’an mil huit cent nonante huit, le dix septième jour du mois de septembre à cinq heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Isidore Pierre Servais, célibataire, terrassier, domicilié et résidant à Spa, âgé de vingt trois ans, né à Spa le dix mai mil huit cent septante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jacques Joseph Servais, plafonneur, âgé de cinquante cinq ans et de Marie Josèphe Wislet, sans profession, âgée de cinquante un ans, domiciliée à Spa, ci-présents et consentants ; Et Jeannette Mélanie Lambert, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt un ans, née à Theux, le neuf octobre mil huit cent septante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure, naturelle non reconnue de feue Marguerite Françoise Mélanie Lambert, décédée à Theux.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt huit du mois d’Août dernier ; à Spa le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante cinq a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Jean Lambert, serre frein, âgé de quarante cinq ans, domicilié à Pepinster, non parents des contractants, Alexis Lambert, machiniste, âgé de trente deux ans, domicilié à Ensival non parent des contractants ; Félix Zegers, serrurier, âgé de trente deux ans, domicilié à Spa, ami du contractant et Henri Servais, sans profession, âgé de cinquante neuf ans, domicilié à Spa, oncle du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous. Au moment de la passation de l’acte le témoin Félix Zegers a été remplacé par Antoine Servais, manœuvre, âgé de vingt un ans, domicilié à Spa, frère du contractant, lequel a signé avec nous. Le père, la mère et le témoin Henri Servais, ont déclaré ne savoir signer sur interpellation.

 

 

M 08/10/1898 Jean Joseph GUSTIN et Marie Louise GASPAR (N°34)

L’an mil huit cent nonante-huit, le huitième jour du mois d’octobre à quatre heure du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Joseph Gustin, célibataire, ouvrier d’usine, domicilié et résidant à Ougrée en cette province, âgé de vingt cinq ans, né à Spa, en ce canton, le vingt septembre mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Joseph Gustin, garde route, domicilié à Verviers, âgé de cinquante ans, et qui a donné son consentement au présent mariage comme il conste de l’acte ci-annexé ; avenu le sept octobre courant, par devant l’Officier de l’état-civil de la ville de Verviers, et de feue Elisabeth Rosalie Gonay, décédée à Spa le treize juin mil huit cent septante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et marie Louise Gaspar, célibataire, servante, domiciliée à Theux, âgée de vingt sept ans, née à Theux le vingt trois décembre mil huit cent septante, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Léonard Gaspar, cultivateur, âgé de soixante sept ans et, de Marie Jeanne Dechêne, sans profession, âgés de soixante ans, tous deux domiciliés à Theux ci-présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche dix-huit du mois de septembre dernier ; à Ougrée et à Spa le même jour comme il conste des certificats ci-joints.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante trois à fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de messieurs Guillaume Gaspar, journalier, âgé de trente deux ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Henri Gaspar, chauffeur, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, frère de la contractante, Auguste Gaspard, mécanicien, âgé de vingt deux ans, domicilié à Theux, frère de la contractante et Antoine Darimont, tailleur d’habits, âgé de trente sept ans, domicilié à Theux, cousin de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 22/10/1898 Désiré Remi Hyacinthe SCHAFRAND et Hortense Joséphine WISLET (N°36)

L’an mil huit cent nonante huit, le vingt deuxième jour du mois de octobre à trois heures du soir par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : désiré Remi Hyacinthe Schafrand, célibataire, piocheur, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt cinq ans, né à Spa le vingt quatre mai mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Remi Désiré Léasainthe (sic) Schafrand, piocheur, âgé de cinquante ans et de Marie Catherine Pirotte, garde-barrière, âgée de quarante sept ans, tous deux domiciliés à Theux et auxquels un acte respectueux, dressé à la requête du futur par devant nous officier de l’état civil le vingt septembre dernier, a été notifié le lendemain avec mention qu’ils ont refusé leur consentement au présent mariage ainsi qu’il conste du dit acte respectueux ci-annexé ; Et Hortense Joséphine Wislet, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Thimister, en cette province, le dix janvier mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Nicolas Joseph Wislet, sans profession, âgé de cinquante sept ans, et de Jeanne Wathieu, sans profession, âgée de cinquante huit ans, tous deux domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche quatre du mois de septembre dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante trois a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Hubert Delrez, briquetier, âgé de quarante huit ans, domiciliés à Theux, non parent des contractants, Hubert Helman, piocheur, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, non parent des contractants ; joseph Dessouroux, déboureur, âgé de quarante deux ans, domiciliés à Verviers, non parent des contractants, et Pierre Spoo, négociant, âgé de septante ans, domicilié à Spa, non parent des contractants et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous. Au moment de la passation de l’acte le témoin Pierre Spoo, ci-dessus dénommé, est remplacé par Jules Beaupain, piocheur, âgé de vingt sept ans, domicilié à Bovigny, ami du contractant et après avoir reçu lecture de ce qui précède, les parties et les témoins on signé avec nous excepté la mère de la contractante qui, sur ce interpellée, a déclaré ne savoir signer.

 

 

M 22/10/1898 Jean Baptiste Joseph LEBEAU et Marie Mélanie MOUREAU (N°38)

L’an mil huit cent nonante huit, le vingt deuxième jour du mois d’octobre à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Baptiste Joseph Lebeau, célibataire, boulanger, domicilié et résidant à Ensival, en ce canton, âgé de trente un ans, né audit Ensival, le seize septembre mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Antoine Joseph Lebeau, décédé à Ensival le onze janvier mil huit cent quatre vingt deux, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feue Marie Jeanne Huttois, décédée à Ensival le vingt un juillet, mil huit cent, nonante trois comme il conste de l’extrait de son acte de décès ; Et, Marie Mélanie Moureau, célibataire, demoiselle de magasin, domiciliée à Theux et avant à Ensival, âgée de trente un ans, née à Theux, le vingt deux mars mil huit cent soixante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Dieudonné Moureau, négociant, âgé de soixante quatre ans, et de Marie Thérèse Jason, sans profession, âgée de soixante huit ans, tous deux domiciliés à Theux, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche dix huit du mois de septembre dernier ; à Ensival, le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Louis Lebeau, menuisier, âgé de trente cinq ans, domiciliés à Theux, beau frère de la contractante ; Louis Bertrand, tisserand, âgé de quarante trois ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante, Victor Braham, gérant de coopérative, âgé de quarante deux ans, domicilié à Ensival, beau frère du contractant, et Thomas Vitrier, sans profession, âgé de septante quatre ans, domicilié à Ensival, oncle par alliance du contractant, et après voir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous, excepté le père et la mère de la contractante qui, sur ce interpellés, ont déclaré ne savoir signer.

 

 

M 21/01/1899 Henri Joseph Léon JASON et Octavie Marie JACQUES (N°3)

L’an mil huit cent nonante-neuf, le vingt unième jour du mois de janvier à trois heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Henri Joseph Léon Jason, célibataire, trafiquant, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt sept ans, né à Theux, le sept mars mil huit cent septante un comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean François Jason, dirigeur, âgé de cinquante neuf ans et de Marie Thérèse Letargez, sans profession, âgée de cinquante neuf ans, domiciliée à Theux, ci présents et consentants ; Et Octavie Marie Jacques, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de seize ans né à Spa le vingt deux septembre mil huit cent quatre vingt deux, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille mineure légitime de Constant Jacques, garde particulier, âgé de cinquante trois ans, et de Julienne Roeson (Moeson ?), sans profession, âgée de quarante sept ans, ci présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche huit du mois de janvier courant.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante un a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de messieurs Joseph Letargez, garde champêtre, âgé de soixante deux ans, domicilié à Theux, oncle du contractant ; Walthère Jacquemain, cultivateur, âgé de quarante huit ans, domicilié à Theux, cousin sous-germain du contractant, Henri Jamar, ouvrier agricole, âgé de trente neuf ans, domicilié à Theux, ami du contractant, et Hubert Nivarlet, typographe, âgé de trente cinq ans domicilié à Verviers, ami du contractant, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 28/01/1899 Hubert PIRARD et Marie Thérèse WINKIN (N°05)

L’an mil huit cent nonante neuf, le vingt huitième jour du mois de janvier à trois heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Hubert Pirard, célibataire, ouvrier ardoisier, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt deux ans, né à Theux le vingt trois juin mil huit cent septante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Nicolas Joseph Pirard, menuisier, âgé de cinquante un ans et de Marie Thérèse Thomson sans profession, âgée de quarante neuf ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants ; Et Marie Thérèse Winkin, célibataire, servante, sujet allemand, domiciliée et résidant à Verviers, fille majeure et légitime des défunts Jean Nicolas Winkin et Marie Hélène Dechamps, âgé de vingt cinq ans, née à Malmédy, Prusse, le seize octobre mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé en langue allemande et auquel traduction conforme est jointe.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche quinze du mois de janvier courant, à Verviers le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante six a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage.

Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Pirard, menuisier, âgé de vingt quatre ans, domicilié à Theux, frère du contractant, Jean Pirard, menuisier, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Jean Winkin, entrepreneur, âgé de trente trois ans, domicilié à Sart, frère de la contractante, et Antoine Heuschen, ouvrier tanneur, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

M 02/12/1899 Jean Guillaume COLLARD et Marie Anne Mélanie FASSIN (N°42)

L’an mil huit cent nonante-huit, le deuxième jour du mois de décembre à trois heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jean Guillaume Collard, veuf de Hortense Joseph Remacle, décédée à La Reid le quatre mai mil huit cent nonante neuf comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexéµ, cultivateur, domicilié et résidant à La Reid, âgé de cinquante un ans, né à Louveigné le cinq avril mil huit cent quarante huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès, nous disons de naissance, ci annexé, fils majeur et légitime de feu Mathieu Collard décédé à Louveigné le vingt sept février mil huit cent quatre vingt huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de feu Anne marie Detrooz décédée à Louveigné le trente un juillet mil huit cent septante neuf comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé ; Et Marie Anne Mélanie Fassin, célibataire, cultivatrice, domiciliée et résidant à Theux, âgée de trente trois ans, née à Theux le vingt deux octobre mil huit cent soixante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Henri Joseph Fassin, cultivateur, âgé de soixante quatre ans, domicilié à Theux ci présent et consentant, et de feue Antoinette Joseph Wayaffe, décédée à Theux le vingt février mil huit cent quatre vingt deux, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé.

µ et en première noces de Anne Elisabeth Chaufheid, décédée à La Reid le vingt sept octobre mil huit cent quatre vingt sept, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé - renvoi approuvé et porté ici faute de place en marge.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche dix neuf du mois de novembre dernier, à La Reid, les mêmes jours comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Joseph Foulon, cultivateur, âgé de cinquante cinq ans, domicilié à La Reid, ami du contractant, Hubert Noël, cultivateur, âgé de trente deux ans, domicilié à la Reid, ami du contractant ; Jean Fassin, cordonnier, âgé de quarante neuf ans, domicilié à Theux, cousin de la contractante et Alexis Wayaffe, garde particulier, âgé de cinquante ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

 

 

 

M 24/02/1900 Eugène Barthélemy Joseph LAMBERT et Marie Joseph Célina GOHY (N°7)

L’an mil neuf cent, le vingt quatrième jour du mois de février à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Eugène Barthélemy Joseph Lambert, célibataire, maréchal ferrant, domiciliée et résidant à La Reid, avant à Theux, âgé de vingt sept ans, né à Harre, province de Luxembourg le treize juillet mil huit cent septante deux comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de Jean Joseph Lambert, maréchal ferrant et de Marie Ferdinand Lespagnard, sans profession, domiciliés au dit Harre, ci présente et consentante ; Et Marie Joseph Célina Gohy, célibataire, journalière domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt six ans, nés à Theux le trente novembre mil huit cent septante trois, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Arnold Gohy, décédé à Theux le trente janvier mil huit cent quatre vingt dix huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de marie Françoise Joseph Close, sans profession, âgée de cinquante neuf ans, domiciliée à Theux, ci-présents et consentants.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche quatre du mois de février courant, à La Reid le même jour comme il conste du certificat ci-joint.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante deux a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs François Lambert, maréchal ferrant, âgé de tente deux ans, domicilié à Heyd, frère du contractant, Joseph Warnotte, maréchal ferrant, âgé de cinquante trois ans, domicilié à Theux, ami du contractant ; Henri Widar, bûcheron, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante et Noël Gohy, journalier, âgé de cinquante sept ans, domicilié à Theux, oncle de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte les parties et les témoins l’ont signé avec nous.

Au moment de la passation du présent la nommée marie Ferdinande Lespagnard mère du contractant, ne s’est pas présentée et il a été produit un acte, avenu le vingt deux février courant devant l’Officier de l’état civil de la commune de Harre par lequel acte elle consent au présent mariage. Le dit acte est annexé aux pièces de l’Etat civil formant le dossier.

 

 

 

 

M 05/05/1900 Jérôme Jean Joseph DOMBARD et Rachelle Marie Henriette FASSIN (N°16)

L’an mil neuf cent, le cinquième jour du mois de mai à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Jérôme Jean Joseph Dombard, célibataire, ouvrier mécanicien, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt cinq ans, né à Theux le vingt trois septembre mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de Jérôme Joseph Dombard, ouvrier mécanicien, âgé de cinquante un ans, et de Marie Françoise Joseph Jason, sans profession, âgée de cinquante ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants. Et, Rachelle Marie Henriette Fassin, célibataire, ouvrière lingère, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt deux ans, née à Verviers, le dix octobre mil huit cent septante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé fille majeure et légitime de feu Nicolas Hubert Fassin, décédé à Mouscron, province de Flandre occidentale, le onze février mil huit cent quatre vingt neuf et de feue Jeannette Cornélie Franck, décédée à Verviers le quinze octobre mil huit cent septante sept, comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci-annexés.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche premier du mois d’avril dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante quatre a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Olivier Bosard, employé, âgé de cinquante un ans, domicilié à Theux, oncle par alliance de la contractante, Hubert Mosbeux, ouvrier de fabrique âgé de cinquante neuf ans, domicilié à Theux, oncle par alliance du contractant, Hubert Dombard, foulon, âgé de quarante sept ans, domicilié à Wegnez oncle du contractant, et Henri Franck, ingénieur, âgé de cinquante sept ans, domicilié à Ensival, oncle de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 19/05/1900 Hubert Joseph MAQUINAY et Hubertine GOHY (N°18)

L’an mil huit cent, le dix neuvième jour du mois de mai à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Hubert Joseph Maquinay, célibataire, ouvrier piocheur, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt six ans, né à Pepinster le douze février mil huit cent septante quatre, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci annexé, fils majeur et légitime de Jean Hubert Maquinay, journalier ; âgé de cinquante sept ans et de Henriette Josephe Laurent, sans profession, âgée de cinquante trois ans, domiciliés à Theux, ci présents et consentants ; Et Hubertine Gohy, célibataire journalière, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt quatre ans, née à Theux le six avril mil huit cent septante six, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Arnold Gohy, décédé à Theux, le trente janvier mil huit cent quatre vingt dix huit, comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Marie Françoise Joseph Close, journalière, âgée de cinquante neuf ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt neuf du mois d’avril dernier.

Attendu que le futur étant milicien de la levée de mil huit cent nonante quatre a fourni la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Léopold Maquinay, garde forestier, âgé de quarante trois ans, domicilié à Theux, oncle du contractant, Pierre Maquinay, bucheron, nous disons, ouvrier piocheur, âgé de vingt sept ans, frère du contractant, Henri Widar, bûcheron, âgé de vingt neuf ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante et Eugène Lambert, maréchal ferrant, âgé de vingt sept ans, domicilié à La Reid, beau frère de la contractante, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 

 

M 15/09/1900 Joseph François GOHY et Marie Julienne Joséphine PIERRE (N°28)

L’an mil neuf cent, le quinzième jour du mois de septembre à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Joseph François Gohy, célibataire, manœuvre, domicilié et résidant à Theux, âgé de trente cinq ans, né à Theux, le vingt un mars mil huit cent soixante cinq, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Jean François Joseph Gohy, décédé à Theux le vingt quatre mai mil huit cent quatre vingt onze, et de feue Marie Elisabeth Philomène Wathelet, décédée à Theux le dix sept janvier mil huit cent quatre vingt sept, comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci-annexés, Et Marie Julienne Joséphine Pierre, célibataire, ouvrière drousseuse, domiciliée et résidant à Theux, âgée de trente un ans, née à Pepinster le neuf juillet mil huit cent soixante neuf, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de feu Jean Joseph Pierre, décédé à Olne, le vingt deux mai mil huit cent quatre vingt comme il conste de l’extrait de son acte de décès ci-annexé et de Anne Françoise Pagnoule, boutiquière, âgée de soixante quatre ans, domiciliée à Theux, ci présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche vingt six du mois d’Août dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de Messieurs Jean Lentz, cordonnier, âgé de trente trois ans, domicilié à Theux, beau frère du contractant, Pierre Pitsch, manœuvre, âgé de vingt trois ans, domicilié à Theux, ami du contractant, Hermès Simar ; drousseur, âgé de trente sept ans, domicilié à Theux, beau frère de la contractante et Joseph Pagnoule, charretier, âgé de vingt deux ans, domicilié à Theux, cousin germain de la contractante et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous, excepté la mère de la contractante qui sur ce interpellé a déclaré ne savoir signer.

 

 

 

M 06/10/1900 Henri Joseph FASSIN et Maria Anna HERCK (N°34)

L’an mil neuf cent, le sixième jour du mois d’octobre à quatre heures du soir, par devant Nous Jacques Quaré, Bourgmestre, faisant les fonctions d’Officier public de l’Etat Civil de la commune de Theux, arrondissement judiciaire de Verviers, province de Liège, ont comparu publiquement et en notre maison commune : Henri Joseph Fassin, célibataire, cultivateur, domicilié et résidant à Theux, âgé de vingt neuf ans, né à Theux le vingt cinq avril mil huit cent septante un, come il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fils majeur et légitime de feu Gilles Joseph Fassin, décédé à Theux le trente mai mil huit cent quatre vingt dix et de Marie Françoise Gohy, décédée à Theux le dix septembre mil huit cent quatre vingt cinq, comme il conste des extraits de leurs actes de décès ci-annexés ; Et Marie Anna Herck, célibataire, sans profession, domiciliée et résidant à Theux, âgée de vingt trois ans, née à Theux le dix neuf février mil huit cent septante sept, comme il conste de l’extrait de son acte de naissance ci-annexé, fille majeure et légitime de Nicolas Jean Lambert Herck, visiteur au chemin de fer, âgé de cinquante ans et de Marie Marguerite Joseph Demoulin, sans profession, âgée de cinquante trois ans, domiciliée à Theux, ci-présente et consentante.

Lesquels comparants nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont la publication a été faite et affichée en cette commune le dimanche seize du mois de septembre dernier.

Attendu que le futur étant âgé de plus de vingt huit ans n’est plus tenu de fournir la preuve qu’il a satisfait en Belgique aux obligations de la milice. Aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à la réquisition des parties, après leur avoir donné lecture des pièces ci-annexées, dûment paraphées, relatives à leur état civil et aux formalités du mariage : comme aussi du chapitre six, titre cinq, du code civil, intitulé : Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veulent se prendre pour mari et pour femme : chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, nous déclarons au nom de la Loi qu’ils sont unis par le mariage. Et aussitôt les dits époux nous ont déclaré n’avoir arrêté aucune convention matrimoniale. Sur ce les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux une enfant inscrite sur les registres de l’état civil de la commune de Theux le vingt quatre septembre dernier sous les noms et prénoms de Fassin Marie Joséphine née à Theux le vingt deux du même mois laquelle ils reconnaissent pour leur enfant, qu’ils entendent légitimer par ce mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence de messieurs Félicien Servais, négociant, âgé de trente sept ans, domicilié à On, oncle par alliance de la contractante, Théophile Dejasse, brigadier de gendarmerie, âgé de trente deux ans, domicilié à Gingelom, beau frère de la contractante, Gaspard Grandry, employé au chemin de fer, âgé de cinquante un ans, domicilié à Forêt, ami des contractants et Edouard Brulle, chauffeur, âgé de vingt six ans, domicilié à Theux, ami des contractants, et après avoir reçu lecture du présent acte, les parties et les témoins ont signé avec nous.

 

 


01/12/2014
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