Theux-genealogie-be

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1810-1819


Actes de Mariage Theux 1810-1819

Actes de mariage Theux 1810-1819

 

M 30/04/1810 Mathieu Joseph PAULIS et Marie Louise DEPRESSEUX (n°80)

L’An mil huit cent dix du mois d’avril le trentième jour à sept heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Mathieu Joseph Paulis, tondeur de draps, âgé de trente trois ans, quatre mois, demeurant à Ensival, né dans la commune de Limbourg, le vingt neuf décembre an mil sept cent soixante et seize, majeur fils des défunts Thomas Paulis et Marie Isabelle Xhoffray, décédés audit Limbourg, le premier le sept octobre an mil sept cent quatre vingt et quatorze, la seconde la seconde (sic) le trente brumaire de l’an ( ) comme il est constaté par les extraits de naissance et décès délivré par Monsieur H. Tisquon maire de la dite commune de Limbourg en date du vingt six mars dernier.

Et Mademoiselle Marie Louise Depresseux, couturière, âgée de vingt six ans, sept mois née dans le commune de Theux, le six aout an Mil sept cent quatre vingt trois, majeure fille de feu Gille François Depresseux, décédé audit Theux, le douze décembre an mil sept cent quatre vingt et cinq, comme il est constaté tant par l’extrait de naissance délivré par nous, le neuf de ce mois que par le registre aux actes de décès de l’église paroissiale de Theux reposant dans les archives de l’état civil de cette mairie, en exécution de la loi, et d’Anne Marie Thoumson, couturière, ci présente et consentante, demeurant audit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quinze et vingt deux du présent mois à dix heures du matin et dans la commune d’Ensival, les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication promesses de mariage, délivré par Monsieur C.J. Thisquenne, maire de ce lieu en date du vingt cinq avril courant, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Mathieu Joseph Paulis et Marie Louise Depresseux sont unis en mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Antoine Depresseux cordonnier, âgé de trente deux ans, frère de la contractante, de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de quarante neuf ans, oncle paternel de la contractante, de Melchior Petry, cabaretier, âgé de cinquante deux ans, cousin germain de la contractante et d’Antoine Poussart, receveur des contributions, âgé de quarante quatre ans, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage l’ont signé avec nous, excepté les contractants, Lambert Antoine Depresseux et Melchior Petry, deux des témoins qui ont déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

M 19/05/1810 Pierre Joseph HENRICOT et Marie Magdelaine BONIVER (n°94)

L’An mil huit cent dix du mois de may le dix neuvième jour à dix heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Pierre Joseph Henricot, laineur de profession, âgé de trente quatre ans quatre mois, demeurant en Leffin, commune dudit Theux, né dans la commune de Merleux, troisième arrondissement du Département de Sambre et Meuse, le vingt huit du mois de décembre, an mil sept cent soixante et quinze, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré à marche, le seize courant par Monsieur M. Breard sous préfet du dit arrondissement ; veuf de Marie Anne Gillard, décédée dans la commune de Rochefort, même arrondissement et département le cinq du mois de novembre an dix huit cent huit, comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès délivré audit Marche, le vingt quatre avril dernier par Monsieur Prion commis greffier du tribunal de première instance séant audit lieu, pour le greffier, incommodé, Majeur fils du sieur Noël Henricot, cultivateur, ci présent et consentant, demeurant à Hotton, arrondissement et département susdits et de feue Ida Remacle décédée audit Hotton, le vingt mars an mille sept cent quatre vingt cinq comme il est également constaté par une déclaration délivrée audit Hotton, le vingt quatre avril dernier par quatre témoins dont les signatures ont été légalisés le même jour par Monsieur Orianne, maire dudit lieu.

Et Marie Magdelaine Boniver, fileuse, âgée de trente ans, deux mois, douze jours, demeurant à Pepinster, née dans la commune de Theux, le sept mars an mil sept cent quatre vingt, majeure fille des défunts Jean Boniver et Marie Jeanne Gustin, décédé dans la dite commune le premier le onze janvier an mil sept cent quatre vingt et treize, la seconde le dix huit may suivant comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès de l’église paroissiale dudit Theux, déposés aux archives de l’état civil de cette mairie.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt neuf avril dernier et six may courant à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Joseph Henricot et Marie Magdelaine Boniver, sont unis en mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Charle Joseph Henricot laineur, âgé de vingt cinq ans, frère du contractant, de Jean Lambert Renson, fileur en méchanique (sic) âgé de vingt deux ans, demeurant audit Leffin, de Henri Joseph Gaye, huissier de cette mairie, âgé de soixante et dix ans et de Henri Joseph Gaye, tisserand, âgé de vingt cinq ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que la contractante, n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous excepté les contractants Charle Joseph Henricot, l’un des témoins qui ont déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 24/06/1810 Jean Louis COOR et Marie Joseph ANTOINE (n°120)

L’An mil huit cent dix du mois de juin le vingt quatrième jour à huit heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Jean Louis Coor, manœuvre, âgé de vingt huit ans, onze mois demeurant à Oneux, né dans la commune d’Ensival, le vingt sept juillet an mil sept cent quatre vingt et un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré au dit Ensival le trois juin courant par Monsieur P.J. Tisquenne, maire de ce lieu, Majeur fils du sieur Jean Michel Coor, manœuvre ci présent et consentant et de Marie Claire Reiteur demeurants audit Oneux

.Et Marie Joseph Antoine, fileuse, âgée de vingt ans, neuf mois, née dans cette commune, le vingt deux septembre, an mil sept cent quatre vingt et neuf, majeure fille du sieur Léonard Antoine, manœuvre ci présent et consentant et de Marie Catherine Gauseur demeurants à Sassor.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus énoncées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Louis Coor et Marie Joseph Antoine sont unis en mariage. De tout quoi ce avons dressé acte en présence des sieurs Jean Toussaint Briaimont manœuvre, âgé de vingt six ans, beau frère du contractant, demeurant audit Oneux, de George Hubert Joseph Lieutenant, garde champêtre, âgé de trente sept ans, de Henri Joseph Gaye, huissier de cette mairie, âgé de soixante et dix ans, et de Henri Joseph Gaye, tisserand, âgé de vingt six ans, demeurant au dit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, les contractants, le père de la contractante et Jean Toussaint Briaimont, l’un des témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

 

M 14/01/1811 Pierre Toussaint PIERRE et Anne Catherine Elisabeth DEPRESSEUX (n°09)

L’An mil huit cent et onze du mois de janvier le quatorzième jour à dix heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Pierre Toussaint Pierre, charpentier, âgé de vingt six ans, sept mois, né audit Spa le dix may an mil sept cent quatre vingt quatre comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt sept décembre dernier par Monsieur B. Antoine, maire de la commune dudit Spa, majeur, fils du sieur Jean Joseph Pierre, charpentier, ci présent et consentant, et d’Anne Pieret demeurant audit Spa, ayant satisfait aux lois sur la conscription de l’an treize dont il faisait partie et porteur d’un congé de réforme lui délivré par monsieur Des Monsseau, préfet dudit Département, le sept janvier dix huit cent et six, qu’il nous a représenté/

Et

La demoiselle Anne Catherine Elisabeth Depresseux couturière, âgée de vingt neuf ans, trois mois née au dit Theux, le dix neuf septembre an mil sept cent quatre vingt et un, majeure fille de feu Gille François Depresseux, décédé au même lieu le douze décembre an mil sept cent quatre vingt et cinq comme il en conste par les registres aux actes de naissances et décès de l’église paroissiale de Theux, et d’Anne Marie Thoumson, couturière, ci présente et consentante demeurants audit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente décembre denrier et six de ce mois à dix heures du matin et au dit Spa les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré par le dit Monsieur Antoine, le onze de ce mois, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Toussaint Pierre et Anne Catherine Elisabeth Depresseux sont unis en mariage, De tout ce avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Antoine Depresseux, cordonnier, âgé de trente trois ans, frère de la contractante, de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de cinquante ans, oncle paternel de la contractante, d’Antoine Poussart, receveur des contributions, âgé de quarante quatre ans et de Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de cinquante deux ans, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous excepté les contractants, le père du contractant et Lambert Antoine Depresseux, qui ont déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 24/02/1811 Adam François JASON et Jeanne Marie BALTHASART (n°47)

L’An mil huit cent et onze du mois de février le dimanche vingt quatrième jour à onze heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Adam François Jason, ouvrier en fer, âgé de trente cinq ans, un mois, né dans cette commune, le quatre janvier an mil sept cent soixante seize, comme il est constaté par les registres aux actes de naissances de l’église paroissiale dudit Theux, majeur fils du sieur Adam François Jason, ouvrier en fer, ci présent et consentant et de Marie Elisabeth Gohy, demeurants à Juslenville.

Et la demoiselle Jeanne Marie Balthasart, sans profession, âgée de trente cinq ans, dix mois, demeurant audit Juslenville, née audit Spa, le douze avril an mil sept cent soixante et quinze, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt huit frimaire an treize par monsieur, Lambert Lezaack, maire de la commune dudit Spa, majeure fille des défunts Jean Balthasart et Marie Catherine Derotte décédés le premier à Liège, le trente et un may an mil sept cent quatre vingt et six, la seconde audit Spa le cinq février an mil sept cent quatre vingt comme il est constaté par les extraits d’actes de décès délivrés tant à Liège qu’au dit Spa, en dates des vingt deux janvier dernier et onze de ce mois, par Messieurs Rouvroy adjoint à la mairie de Liège, officier de l’état civil et B. Antoine, maire du dit Spa.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, ainsi que du certificat constatant que le contractant a satisfait à la loi sur la milice nationale délivré le vingt un janvier dernier délivré par le dit Monsieur Colinet, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Adam François Jason et Jeanne Marie Balthasart sont unis en mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacque Jason ouvrier en fer, âgé de trente sept ans et de Toussaint Joseph Jason, ouvrier en fer, âgé de vingt six ans, frères du contractant, de Lambert Joseph Fasin, ouvrier en fer, âgé de vingt six ans, demeurant à Juslenville et de Jean Pascal Léonard Bals, tondeur de draps âgé de trente ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, et les parties contractantes et comparantes.

 

 

 

M 23/04/1811 Thomas Joseph SERVAIS et Anne Marie BONIVER (n°95)

L’An mil huit cent et onze du mois d’avril le vingt troisième jour à sept heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Thomas Joseph Servais, tonnelier, âgé de vingt huit ans, né dans cette commune, le quatorze janvier an mil sept cent quatre vingt et trois, majeur fils de Léonard Servais décédé à Andrimont, le deux juin an mil sept cent quatre vingt et quinze, comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré hier par Monsieur H. Drossart, Maire de la commune dudit Andrimont et de Marie Joseph Ancion, boulangère, ci présente et consentante demeurants audit Theux.

Et, la demoiselle Anne Marie Boniver, boulangère, âgée de vingt six ans, née dans cette commune, le sept avril an mil sept cent quatre vingt et cinq majeure fille du sieur Mathieu Boniver, maître menuisier, ci présent et consentant et d’Anne Marie Sottrez demeurant audit Theux.

L’époque de la naissance des contractants constatée par les registres aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux, reposants dans les archives de l’état civil de cette mairie.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Servais et Anne Marie Boniver sont unis en mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Adam François Servais, tonnelier, âgé de trente six ans, de Nicolas Joseph Servais, musicien, âgé de vingt quatre ans, frères du contractant, de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, âgé de trente ans, beau frère du contractant et de Jean Philippe Demarteau, tonnelier, âgé de vingt trois ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signés avec nous et les parties contractantes, et comparantes excepté la comparante qui a déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 04/06/1811 Antoine Joseph WERENNE et Marie Joseph GUILLEAUME (n°124)

L’An mil huit cent et onze du mois de juin le quatrième jour à sept heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Antoine Joseph Wérenne cordonnier, âgé de quarante quatre ans, demeurant audit Theux, né à Liège, le onze août an mil sept cent soixante sept, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt et un may dernier par Monsieur Rouvroy, adjoint à la mairie dudit Liège, majeur, fils des défunts Melchior Wérenne décédé à Liège, et dont le décès n’a pas été constaté et d’Elisabeth Florence Thérèse Valentin décédée audit Theux, le quatorze mars dernier épouse en secondes noces du sieur Gille Joseph Chapelle Jardinier demeurant aussi à Theux.

Et la dame Marie Joseph Guilleaume, ménagère, âgée de vingt neuf ans, six mois, née à Rogery, commune de Bovigny, le treize novembre an mil sept cent quatre vingt et un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré par Monsieur L. Lomry, maire dudit Bovigny en date du sept may dernier, veuve de Thomas Joseph Jehin, décédé audit Theux, le quatorze janvier an dix huit cent et neuf, comme il en conste par le registre aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, demeurant audit Theux, majeure fille des défunts Jean Henri Guilleaume et Suzane André décédés au dit Rogery, la premier le quatre messidor de l’an douze, la seconde le vingt sept juillet an mil sept cent quatre vingt et quatre comme il en conste par les extraits de décès délivrés par le dit Monsieur L. Lomry le sept may dernier.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches onze et dix huit may dernier à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Antoine Joseph Wérenne et Marie Joseph Guilleaume, sont unis en mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas de Hansez secrétaire de cette mairie âgé de quarante ans, beau frère du contractant, de Thomas Joseph Jehin, cultivateur, âgé de soixante et quatorze ans, beau père de la contractante, d’Antoine Poussart, receveur des contributions, âgé de quarante cinq ans, et de Nicolas Joseph Courtejoie tailleur d’habits âgé de trente huit ans, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que les contractants n’ont plus ni mères ni mères, ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à leur mariage, l’ont signés avec nous et le contractant, la contractante ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 30/11/1811 Pascal Joseph JASON et Marie Margueritte Joseph MOUREAU (n°212)

L’An mil huit cent et onze du mois de novembre le trentième jour à neuf heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Pascal Joseph Jason, ouvrier en fer, âgé de trente sept ans, sept mois, né à Theux, le vingt neuf avril an mil sept cent quatre vingt et un, demeurant audit Theux, majeur fils des défunts Jean Noé Jason et Catherine Claire Pouhau, le premier le vingt et un may an mil sept cent quatre vingt et seize la seconde le seize avril an dix huit cent dix.

Et, la demoiselle Marie Margueritte Joseph Moureau, ouvrière en fer, âgée de trente huit ans, huit mois, née audit Theux, le treize mars an mil sept cent soixante et treize y demeurant majeure fille des défunts Jean Hubert Moureau, et Catherine Wayaffe, décédés au même lieu le premier le onze avril an mil sept cent quatre vingt et onze, la seconde le huit mars an dix huit cent et neuf.

L’époque de la naissance des contractants et du décès de leurs pères et mères est constatée tant par les registres aux actes de naissances et décès de l’église paroissiale de Theux, que par ceux aux actes de l’état civil de cette commune.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix sept et vingt quatre du courant à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pascal Joseph Jason et Marie Margueritte Joseph Moureau sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Noé François Moureau écrivain, âgé de trente et un ans, cousin germain maternel, de Poncelet Charles Depresseux, maître menuisier, âgé de trente sept ans, de Jacque Joseph Closset, cordonnier, âgé de vingt sept ans, cousins germains paternels du contractant, et de Thomas Joseph Job, cultivateur, âgé de trente six ans, cousin germain maternel par alliance de la contractante, tous domiciliés dans la dite commune, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que les contractants n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à leur mariage, l’ont signé avec nous, et la contractante, le contractant, ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom. Le mot signifiée et la rature du mot opposition sont approuvés.

 

 

 

M 08/01/1812 Jean François JASON et Marie Anne MINER (n°07)

L’An mil huit cent et douze du mois de janvier le huitième jour à huit heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Jean François Jason, ouvrier en fer, âgé de vingt huit ans, né dans cette commune, le quinze décembre an mil sept cent quatre vingt trois, majeur fils du sieur Jean François Jason, platineur, ci présent et consentant et de Jeanne Joseph Gohy, demeurant au village de Juslenville mairie de Theux.

Et, Demoiselle Marie Anne Miner, propriétaire, âgée de vingt six ans, cinq mois, demeurant audit Theux, née aussi dans la dite commune, le trente juillet an mil sept cent quatre vingt et cinq, majeure fille des défunts Jean Philippe Miner et Marie Anne Fraipont, décédé au même lieu, le premier le quinze novembre dernier, la seconde le dix sept ventose an douze.

L’époque de la naissance des contractants et du décès des pères et mère de la contractante est constatée tant part les registres aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux, que par ceux aux actes de l’état civil de cette commune pour les ans douze et dix huit cent et onze.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune Savoir la première le dimanche vingt deux décembre dernier à dix heures du matin et la seconde, le dimanche vingt neuf du même mois et à la même heure, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que Jean François Jason et Marie Anne Miner sont unis par le mariage, et aussitôt les dits époux ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe masculin inscrit sur le registre de l’état civil de cette commune en date du vingt et un novembre dix huit cent et dix et sous les noms de Jean François Albert Delarue, lequel ils reconnaissent pour leur fils demandant qu’au lieu du nom Delarue on donne à leur dit fils celui de Jason, au moment de la rectification de nom qui se fera sur le dit registre. De tout ce avons dressé acte en présence des sieurs Jean Jacque Jason, ouvrier en fer âgé de trente sept ans, cousin germain maternel du contractant, demeurant audit Juslenville, de Jean François Boniver, platineur, âgé de trente quatre ans, beau frère par alliance de la contractante, de Jean Pierre Legueridon aubergiste âgé de trente trois ans, cousin germain paternel de la contractante et de Jean François Fraipont, propriétaire, âgé de vingt deux ans, cousin germain maternel de la contractante, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture, l’ont signé avec nous et les parties contractantes, Le dit Jean François Jason, père du contractant, nous ayant déclaré de ne pouvoir plus signer son nom depuis qu’il est aveugle.

 

 

 

 

 

M 20/02/1812 Pierre Michel LURSON et Marie Margueritte DECHARNEUX (n°29)

L’An mil huit cent et douze du mois de février le vingtième jour à huit heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Pierre Michel Lurson, tisserand, âgé de trente ans, huit mois, né dans la commune de Francorchamps, le onze juin an mil sept cent quatre vingt et un, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance lui délivré le vingt neuf brumaire de l’an onze par Monsieur J.J. Marquet maire dudit lieu, majeur, fils du sieur Michel Lurson cultivateur, ci présent et consentant demeurants au village d’Oneux mairie dudit Theux et de Marie Elisabeth Thumeson demeurant à Verviers.

Et Demoiselle Marie Margueritte Decharneux, journalière, âgée de vingt neuf ans, huit mois née à Ensival, le cinq juin an mil sept cent quatre vingt et deux comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance lui délivré le quatre de ce mois par Monsieur Alex Derensme maire dudit lieu, majeure fille de feu Denis Joseph Decharneux, décédé à Verviers le huit janvier an mil sept cent quatre vingt douze, comme il en conste aussi par l’extrait de son acte de décès délivré le dix neuf de ce mois par Monsieur J : Jos Fouquet, maire adjoint délégué à l’état civil de la commune dudit Verviers et de Margueritte Nockin, ménagère, ci présente et consentante, épouse en seconde noces de Pierre Joseph Maizier demeurants audit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Michel Lurson et Marie Margueritte Decharneux sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Depresseux tailleur d’habits, âgé de quarante et un ans, de Jean Baptiste Close, Charpentier âgé de vingt trois ans, de Lambert Battau, laineur, âgé de trente quatre ans, beau frère du contractant, et de Henri Joseph Gaye, tisserand, âgé de vingt sept ans, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a été donné lecture l’ont signé avec nous et le contractant, la contractante, sa mère, le père du contractant et Lambert Batteau l’un des témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leur nom.

 

 

 

M 13/04/1812 François George LEVOISIN et Anne Marie LELIGUE (n°60)

L’An mil huit cent et douze du mois d’avril le treizième jour à huit heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus François George Levoisin, domestique, âgé de vingt deux ans, six jours, demeurant à Jevoumont, né dans la commune de Bra, le vingt sept avril an mil sept cent quatre vingt dix, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt huit mars dernier par Monsieur Philippe Joseph Arnoldy, adjoint maire de la dite commune de Bra, majeur, fils des défunts Joseph Levoisin et Marie Jeanne Collin, décédés, le premier à Hyver, département de Sambre et Meuse, le dix neuf du mois de Floréal, an six, comme il en conste par le certificat de décès délivré le trente et unième jour dudit mois de mars par Monsieur J. Fr. Collin maire de la commune dudit Hyver et de Marie Jeanne Collin, décédée audit Bra le dix neuf du mois de vendémiaire an douze, comme il est aussi constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le deux de ce mois par le dit Monsieur Arnoldy, maire adjoint.

Et demoiselle Anne Marie Leligué propriétaire, âgée de trente et un ans, onze mois, née dans cette commune, le dix sept may an mil sept cent quatre vingt majeure fille des défunts Mathieu Joseph Leligué et Marie Catherine Jehin décédés audit Jevoumont, le premier le vingt huit juillet an dix huit cent et huit, la seconde le vingt neuf mars de la même année comme il est constaté par le registre aux actes de l’église paroissiale dudit Theux et de cette commune pendant l’an dix huit cent et huit, demeurant audit Jevoumont.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt neuf mars dernier et cinq de ce mois et dans la commune d’Aywaille dernier domicile du contractant avant son entrée audit Jevoumont les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré le neuf de ce mois par Monsieur P.J. Pironbeuf, maire dudit Aywaille, certifiant en outre que le dit contractant a satisfait aux lois sur la conscription, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits François George Levoisin et Anne Marie Leligué sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jacques Joseph Levoisin, journalier, âgé de vingt huit ans, frère du contractant demeurant à Verviers, de Jean Jacque Bodson, cultivateur, âgé de quarante deux ans, demeurant dans la dite commune d’Aywaille, beau frère du contractant, de Jean Nicolas Joseph Leligué, cultivateur, âgé de trente cinq ans, frère de la contractante et de Pierre Joseph Lambert, laineur, âgé de trente et un ans, beau frère de la contractante, demeurant audit Jevoumont, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture, et avoir déclarés que les contractants n’ont plus ni aïeuls, ni aïeules tant paternels que maternels, pour consentir à leur mariage l’ont signé avec nous et la contractante, le contractant, Jacque Joseph Levoisin et Jean Jacque Bodson deux des témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 18/04/1812 Jacques Joseph LEROY et Marie Catherine RENARD (n°61)

L’An mil huit cent et douze du mois d’avril le dix huitième jour à huit heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Jacque Joseph Leroy foulonnier, âgé de vingt sept ans, sept mois, né dans cette commune, le quinze septembre an mil sept cent quatre vingt et quatre, majeur, fils de feu Jean François Leroy, décédé à Juslenville, le vingt cinq frimaire de l’an six, et de Marie Anne Jason, fileuse, ci présente et consentante demeurants audit Juslenville.

Et demoiselle Marie Catherine Renard fileuse, âgée de vingt sept ans, sept mois, née dans cette commune le cinq octobre an mil sept cent quatre vingt et quatre, majeure fille du sieur Joseph Renard, poèlier, ci présent et consentant et de Marie Catherine Constant demeurants à Spixhe.

L’époque de la naissance des contractants et du décès du père du contractant est constatée tant par le registre aux actes de naissances de l’église paroissiale de Theux que par celui aux actes de décès de la dite commune pendant l’an six, déposés aux archives de l’état civil de cette Mairie.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon, intitulé du Mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jacque Joseph Leroy et Marie Catherine Renard sont unis par le mariage ; De tout quoi avons dressé acte en présence des Sieurs Jean Joseph Renard, poèlier, âgé de trente ans, frère de la contractante demeurant audit Spixhe, de Benoit Gerard, tailleur d’habits, âgé de trente sept ans, de Henri Joseph Gaye, huissier de cette mairie âgé de soixante et onze ans, et de Henri Joseph Gaye tisserand, âgé de vingt sept ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous et la contractante et son père, le contractant et sa mère ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms

 

 

 

M 11/08/1812 Henri Joseph Aubin VINCENT et Jeanne Catherine BONIVER (n°125)

L’An mil huit cent et douze du mois d’août le onzième jour à dix heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Henri Joseph Aubin Vincent, manœuvre, âgé de trente six ans, deux mois, né dans cette commune, le dix huit juin an mil sept cent soixante et seize, majeur, fils du sieur Jean François Vincent, manœuvre ci-présent et consentant et d’Aïlid Noël demeurants à Juslenville petite.

Et Jeanne Catherine Boniver, fileuse, âgée de trente huit ans, huit mois, demeurant à la dite Juslenville petite, née dans cette commune, le dix huit décembre an mil sept cent soixante et treize, majeur fille des défunts Jean François Boniver et Marie Miner, décédés au même lieu, le premier le vingt sept du mois de may an mil sept cent quatre vingt et deux, la seconde le huit juin an mil sept cent quatre vingt et quinze. L’époque de la naissance des contractants et du décès des père et mère de la contractante, est constaté par les registres aux actes de naissances et décès de l’église paroissiale de Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches deux et neuf de ce mois à deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Henri Joseph Aubin Vincent et Jeanne Catherine Boniver sont unis par le mariage ; de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Louis Joseph Boniver tondeur, âgé de trente trois ans, frère de la contractante demeurant au même lieu, de Jean Michel Bertrand, cultivateur, âgé de trente huit ans, demeurant à Hodbomont, de Jean Pirlot, cordonnier, âgé de cinquante deux ans et de Henri Joseph Gaye, tisserand, âgé de vingt huit ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en ait aussi été donné lecture et avoir déclaré que la contractante n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à son mariage ont signé avec nous les dits Pirlot, Bertrand et Gaye, trois des dits témoins les contractants, le père de la contractante et le dit Louis Joseph Boniver ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 22/02/1813 Gille Joseph PELECHEZ et Marie Anne LELOGNARD (n°33)

L’An mil huit cent et treize du mois de février le vingt deuxième jour à huit heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Gille Joseph Pelechez, charpentier, âgé de quarante huit ans, un mois demeurant au hameau du fraity, mairie dudit Theux, né dans la commune de Soiron, le vingt quatre janvier an mil sept cent soixante et cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivrés le dix sept janvier dernier par Monsieur N.J. Legros, maire de la commune dudit Soiron, veuf en premières noces de Marie Joseph Fafin décédée audit Fraity et dont le décès n’a pas été constaté, en secondes noces de Marie Anne Cornet, décédée au même lieu le onze février an dix huit cent et douze, fils des défunts Lambert Pélechez dont le décès n’a pas été constaté et de Margueritte Bauduin décédée dans la dite commune de Soiron le dix neuf novembre an mil sept cent quatre vingt et dix comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le quatre janvier dernier par le dit Monsieur Legros.

Et Marie Anne Lelognard, servante, âgée de trente quatre ans, six mois, demeurant Pepinster, née dans la commune de My-ville, le vingt trois du mois de juillet an mil sept cent soixante et dix huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré par Monsieur J.N. Rigo, maire de la commune dudit My-ville, fille des défunts Joseph Lelognard décédé le quatre du mois de nivose de l’an treize, comme il est constaté par le certificat délivré le huit de ce mois par Monsieur h. Xhardez adjoint maire de la commune dudit My-ville en l’absence du maire, duquel le décès n’avait pas été constaté, et de Marie Jeanne Fagnoul, décédée au même lieu, le onze novembre an mil sept cent quatre vingt et douze, comme il est également constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le deux de ce mois par le dit Monsieur J. N. Rigo.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Gilles Joseph Pélechez et Marie Anne Lelognard sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Toussaint Théodore Wegnez, cultivateur âgé de vingt deux ans, demeurant à Pepinster, de Jean Pierre Colin, adjoint maire de la commune de drolenval, âgé de quarante cinq ans, de Hubert Demoulin, cultivateur, âgé de cinquante neuf ans et de Pierre Joseph Rahier, maçon, âgé de trente quatre ans, demeurant audit Drolenval Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré qu’il est à leur parfaite connaissance que les dits Marie Joseph Fafin et Lambert Pélechez sont décédés et que les contractants n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant paternels que maternels pour consentir à leur mariage, l’ont signé avec nous, les contractants et Pierre joseph Rahier ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms

 

 

 

M 13/06/1813 Jean Théodore MAQUINAY et Marie Elisabeth DONEUX (n°107)

L’An mil huit cent et treize du mois de juin le dimanche treizième jour à sept heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Jean Théodore Maquinay, sans profession, âgé de dix huit ans, huit mois, né à Pepinster, dépendance de cette commune, et Baptisé au petit Rechain, le vingt huit septembre an mil sept cent quatre vingt et quatorze, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance, délivré le huit de ce mois par Monsieur Bastin, maire de la commune dudit petit Rechain, mineur, fils de feu Jean Théodore Maquinay, décédé audit Pepinster le dix sept septembre an dix huit cent et six, comme il en conste par les registres aux actes de l’état civil de cette commune, pour la même année, et de Judieth Beck, marchande épicière, demeurant audit Pepinster, Laquelle a constitué pour son procureur général et Spécial à effet de pour elle et en son nom consentir au mariage dudit Maquinay son fils, par acte par brevet avenu devant Monsieur Guillaume Joseph Delrée notaire impérial demeurant à Theux, en date du onze de ce mois, enregistré à Spa le lendemain au coût d’un franc un décime, signé Le Baron, La personne du sieur Henri Joseph Gaye huissier de cette mairie et audit Theux, ci présent et consentant.

Et demoiselle Marie Elisabeth Doneux, couturière, âgée de vingt deux ans, deux mois, née dans cette commune le dix neuf mars an mil sept cent quatre vingt et onze, comme il est constaté par le registre aux actes de naissance de l’église paroissiale dudit Theux, demeurant à Juslenville, majeure fille des sieurs François Doneux, marteleur et de Marie Anne Joseph Boniver couturière demeurants à Bouillon, lesquels ont constitué pour leur procureur général et spécial à effet de pour eux et en leurs noms consentir au mariage de la dite par actes par brevet avenu devant Monsieur Chauchet, Bourgeois, notaire, impérial demeurant au dit Bouillon, en date du vingt huit may dernier enregistré au même lieu le lendemain, au cout d’un franc un décime, signé Diuris, légalisé par Monsieur le président du tribunal civil séant à Sedan, département des Ardennes, le trois de ce mois signé pillas, La personne de Monsieur Guillaume Joseph Delrée notaire impérial à la résidence dudit Theux, ci présent et consentant.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente mai dernier et six de ce mois à deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Théodore Maquinay et Marie Elisabeth Doneux, sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Guilleaume Joseph Quoibion garde champêtre particulier, âgé de trente neuf ans, beau frère de la contractante, demeurant à Sur les hauts sarts, de Jean Baptiste Doneux, marteleur, âgé de soixante ans, oncle paternel de la contractante, de Simon Michotte, serrurier, âgé de cinquante et un ans, et de Simon Michotte boulanger, âgé de quarante et un ans, oncles paternels par alliance de la contractante, demeurants audit Theux, a aussi été donné lecture l’ont signés avec nous, les parties contractantes et comparantes.

 

 

 

M 14/07/1813 Jean Joseph FASSIN et Marie Rose Anne Isabelle RENARD (n°124)

L’An mil huit cent et treize du mois de juillet le quatorzième jour à onze heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Jean Joseph Fassin, cultivateur, âgé de trente deux ans, onze mois, demeurant à Hestroumont, mairie de Reid né au même lieu le vingt quatre du mois d’août an mil sept cent soixante et dix neuf, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le trois de ce mois, par Monsieur Michel Antoine, maire de la commune dudit Reid, fils de feu Antoine Fassin décédé audit Hestroumont le dix huit du mois de Germinal de l’an treize, comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le quatre de ce mois par le dit Monsieur Antoine et de Marie Françoise Henrard cultivatrice, ci présente et consentante, demeurant audit Hestroumont.

Et, demoiselle, Marie Rose Anne Isabelle Renard, sans profession, âgée de vingt quatre ans, cinq mois, née à Bazeille arrondissement communal de Sedan, département des Ardennes, le sept février an mil sept cent quatre vingt et huit, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt huit mars dernier par Monsieur, François Devillez Boison, maire de la commune dudit Bazeille, légalisé par Monsieur Pillaz président du tribunal civil séant audit Sedan sous la date du trente mars aussi dernier, majeure fille du sieur Guillaume Joseph Renard, poèlier, ci présent et consentant et de Marie Catherine Pirnay ménagère demeurants au hameau de Rainonfosse commune dudit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatre et onze de ce mois à deux heures de l’après midi et dans la commune de La reid les mêmes jours comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage délivré aujourd’hui par le dit Monsieur Antoine aucune opposition audit mariage ne nous ayant été signifiée faisant droit à leur réquisition après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Fassin et Marie Rose Anne Isabelle Renard sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Maquinay marchand épicier âgé de trente ans, d’Adam Joseph Jason, tisserand, âgé de trente deux ans, de Lambert Quitis tisserand, âgé de trente sept ans, et de Jacques Chalon tisserand, âgé de vingt deux ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, le contractant et le père de la contractante, la mère du contractant la contractante les dits Jason, Quitis et Chalon, trois des dits témoins ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 03/11/1813 Hubert Joseph GOHY et Catherine Joseph DELCOMMINETTE (n°178)

L’An mil huit cent et treize du mois de novembre le troisième jour à neuf heures et demies du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Hubert Joseph Gohy, tisserand, âgé de vingt trois ans, environs, demeurant à Jevoumont, né dans la commune de Stembert comme il en conste par un acte de notoriété dressé sur l’attestation de sept témoins, par le sieur Henri Joseph Soumagne, notaire impérial à la résidence de Theux, le dix neuf avril dernier, attendu que les registres aux actes de naissances de la paroisse dudit Stembert ont été déchirés, majeur, fils du sieur Joseph Gohy, tisserand, ci présent et consentant et de Catherine Mottet demeurants audit Jevoumont,

Et, Catherine Joseph Delcomminette fileuse, âgée de vingt trois ans, six mois, née dans cette commune le vingt quatre avril an mil sept cent quatre vingt et dix du sieur Jean François Delcomminette, couvreur en paille, ci présent et consentant et d’Anne Joseph Poussart, ménagère, demeurants audit Jevoumont,

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix sept et vingt quatre du mois d’octobre dernier à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Gohy et Catherine Joseph Delcomminette sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Hubert François Poussart, manœuvre, âgé de cinquante deux ans, d’Antoine Poussart, receveur des contributions âgé de quarante sept ans, de Jean Joseph Poussart, manœuvre, âgé de trente trois ans, oncles maternels de la contractante, et de Henri Joseph Gaye, huissier de cette maire, âgé de soixante et treize ans, demeurants dans cette commune, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signés avec nous, la contractante et son père ; le contractant et son père, ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 09/12/1813 François Joseph JACQUE et Margueritte Joseph PONDANT (n°198)

L’An mil huit cent et treize du mois de décembre le neuvième jour à quatre heures après midi, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur François Joseph Jacque, fouleur, âgé de trente ans, six mois, né dans cette commune, le deux may an mil sept cent quatre vingt et trois, majeur fils de feu Antoine Jacque, décédé au Pouillou Fourneau le quatorze avril dernier et de Marie Louise Herbillon, ménagère, demeurant audit Pouillou Fourneau ci présente et consentante.

Et Margueritte Joseph Pondant, couturière, âgée de vingt sept ans, onze mois, née dans cette commune, le neuf janvier an mil sept cent quatre vingt et six, majeure fille du sieur Jean François Pondant marteleur, ci présent et consentant et de Marie Thérèse Jason ménagère, demeurants à Juslenville.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt huit novembre dernier et cinq de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits François Joseph Jacque et Margueritte Joseph Pondant sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Antoine Joseph Jacque, tondeur, âgé de vingt huit ans, demeurant audit Pouillou Fourneau, frère du contractant, de Jérôme Colette, garde champêtre, âgé de quarante sept ans, demeurant à Jevoumont, de Jean Antoine Legentil, cordonnier, âgé de trente et un ans, et de Mathieu Neuray, garçon maréchal demeurants audit Theux, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, le contractant, le père de la contractante, la mère du contractant et Jean Antoine Legentil l’un des témoins, ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms .

 

 

 

M 23/12/1813 Louis Joseph BONIVER et Marie Françoise COPA (n°207)

L’An mil huit cent et treize du mois de décembre le vingt troisième jour à onze heures et demies du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, canton de Spa, Département de l’ourte, sont comparus le sieur Louis Joseph Boniver, tondeur, âgé de trente trois ans, onze mois, demeurant à Juslenville petite ; né dans cette commune le trente et un janvier an mil sept cent soixante et dix neuf, fils des défunts Jean François Boniver et Marie Jeanne Miner, décédés au même lieu, le premier le vingt sept may an mil sept cent quatre vingt et deux, la seconde le huit juin an mil sept cent quatre vingt et quinze.

Et, Marie Françoise Copa, journalière, âgée de vingt huit ans six mois, née dans cette commune, le neuf juin, an mil sept cent quatre vingt et cinq, majeure, fille du sieur Antoine Copa, manœuvre, ci présente et consentant, et de Marie Thérèse Jaspar demeurants à la Forge Thiry.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Louis Joseph Boniver et Marie Françoise Copa sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Gille Pascal Boniver, cordonnier, âgé de quarante six ans, frère du contractant, demeurant à la dite Juslenville petite, de Guillaume Noé Copa, manœuvre, âgé de vingt six ans, frère de la contractante, demeurant à la dite Forge Thiry, de Henri Joseph Gaye, huissier de cette mairie, âgé de soixante et seize ans, et de Paul Rahier, ouvrier en fer âgé de cinquante cinq ans, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du coté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous, les parties contractantes et le père de la contractante, ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

 

M 17/02/1814 Jacob Joseph WAYAFFE et Marie Elisabeth Victoire JEHIN (n°50)

L’An mil huit cent et quatorze du mois de février le dix septième jour à neuf heures et demies du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jacob Joseph Wayaffe, manœuvre âgé de vingt quatre ans, neuf mois né dans cette commune, le trois may an mil sept cent quatre vingt et neuf, fils du sieur Servais Joseph Wayaffe, manœuvre ci présent et consentant et d’Anne Marie Delcomminette ménagère demeurants à Jevoumont,

Et, Demoiselle Marie Elisabeth Victoire Jehin, cultivatrice, âgée de vingt ans, onze mois, née dans la commune de Spa le dix sept du mois de mars, an mil sept cent quatre vingt et treize, file du sieur Hubert Jehin, cultivateur, ci présent et consentant demeurant au dit Jevoumont, et de feue Marie Magis, décédée au dit Spa le onze avril an mil sept cent quatre vingt et quinze, comme il est constaté par les extraits d’actes de naissance et décès délivrés le cinq de ce mois par Monsieur B : Antoine, Maire de la dite commune de Spa.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jacob Joseph Wayaffe et Marie Elisabeth Victoire Jehin sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jacob Joseph Wayaffe cultivateur, de Jean François Jamar, manœuvre demeurants audit Jevoumont, de Henri Joseph Gaye, huissier de cette mairie et de Henri Joseph Gaye, tisserand demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous la contractante et les pères des contractants, le contractant ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 26/05/1814 Antoine JURDAN et Marie Joseph RENARD (n°135)

L’An mil huit cent et quatorze du mois de may le vingt sixième jour à neuf heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Antoine Jurdan, instituteur âgé de quarante cinq ans, demeurant à Oneux, né dans la commune de Spa, le trente et un may an mil sept cent soixante neuf, fils des défunts Mathieu Jurdan, et Catherine Gohy, décédés audit Spa le premier le quinze octobre an mil sept cent quatre vingt et trois, la seconde le quatorze pluviose de l’an six, comme il en conste par les extraits d’actes de naissances et décès délivrés par Monsieur B. Antoine Bourgmestre de la dite commune, de Spa sous la date du six sept avril dernier.

Et, Marie Joseph Renard, ouvrière de fabrique, âgée de vingt trois ans, cinq mois, née dans la commune de Hody le dix neuf décembre an mil sept cent quatre vingt et dix, majeure fille du sieur Jean Pierre Michel Renard journalier, ci présent et consentant demeurants à Nadrin, cercle de Huy, et de feue Marie Claire Deremouchamps décédée audit Hody le dix sept avril an mil sept cent quatre vingt et seize, comme il en conste également par les extraits d’actes de naissance et décès délivrés par Monsieur Pirret, maire de la dite commune de Hody.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix sept et vingt quatre avril dernier à dix heures du matin et au dit Hody les dimanches vingt quatre avril aussi dernier et premier de ce mois à dix heures du matin ainsi qu’il en résulte du certificat de publication des promesses de mariage, délivré le dix du courant par le dit Monsieur Pirret, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Antoine Jurdan et Marie Joseph Renard sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Depresseux, garde forestier, de Jean Lambert Depresseux, sans profession, de Noé Jean Joseph Monay, cabaretier et de Henri Joseph Gaye, tisserand demeurant audit Theux, âgés suffisamment, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls, ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous, ainsi que le contractant et le père de la contractante Marie Joseph Renard, ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 21/09/1814 Thomas Joseph BEAUVE et Marie Thérèse JASON (n°185)

L’An mil huit cent et quatorze du mois de septembre le vingt et unième jour à sept heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Thomas Joseph Beauve, charpentier, âgé de vingt sept ans, quatre mois, demeurant à Juslenville, né dans cette commune, le vingt huit may an mil sept cent quatre vingt et sept, fils des défunts Jean Pierre Beauve et Anne Joseph Wilkin, décédés audit Juslenville, le premier le trente octobre an dix huit cent six, la seconde le dix neuf août an mil sept cent quatre vingt et treize.

Et, la demoiselle Marie Thérèse Jason, couturière, âgée de vingt cinq ans, onze mois, née dans cette commune, le dix huit octobre an mil sept cent quatre vingt et huit, fille du sieur Jean François Jason platineur, ci présent et consentant demeurants audit Juslenville, et de feue Jeanne Joseph Gohy, décédée au même lieu le sept avril dernier.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Beauve et Marie Thérèse Jason sont unis par le mariage de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Baptiste Beauve, charpentier, frère du contractant, de Jean François Pondant, marteleur, oncle paternel par alliance de la contractante, de Théodore Joseph Quoibion charpentier, et de Lambert Joseph Fassin, ouvrier en fer, demeurant audit Juslenville, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous, et les parties contractantes ; Le père de la contractante ayant déclaré de ne pouvoir plus écrire ni signer son nom parce qu’il est aveugle.

 

 

 

M 28/09/1814 François Joseph FASSIN et Anne Marie DETHIER (n°189)

L’An mil huit cent et quatorze du mois de septembre le vingt huitième jour à dix heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur François Joseph Fassin, berger, âgé de cinquante quatre ans, huit mois, demeurant à Hodbomont, né dans la ville d’Avesne département du Nord, le vingt et un janvier an mil sept cent soixante comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré par Monsieur van Wervickmaire dudit Avesne légalisé par Monsieur le président du tribunal de première instance séant audit Avesne le dix huit juillet an dix huit cent et douze veuf d’Anne Catherine Gathoye décédée à Mousset dépendant de cette commune le quinze du mois de mars dernier, fils des défunts Thomas Fassin décédé à Bolland le dix huit janvier an mil sept cent quatre vingt et trois comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le quinze de ce mois par Monsieur H. Backhaus, bourgmestre adjoint de la commune dudit Bolland et de Marie Joseph Fontenelle décédée à Sassor le vingt et un septembre an mil sept cent quatre vingt et quatre.

Et Anne Marie Dethier journalière, âgée de trente deux ans, huit mois, demeurant à Banneux commune de Louvegnée née dans la commune de Sprimont, le vingt janvier an mil sept cent quatre vingt et deux, fille des défunts Nicolas Dethier, décédé dans la dite commune de Sprimont le vingt sept juin an mil sept cent quatre vingt et douze, comme il en conste par les extraits d’actes de naissance et décès délivré le seize de ce mois par Monsieur F.J.B. Germain, Bourgmestre du dit Sprimont, et de Marie Anne Boulanger décédée audit Banneux le deux Messidor de l’an douze comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le seize de ce mois par Monsieur G.J. Horward Bourgmestre, adj.de la commune dudit Louvegné.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq de ce mois à dix heures du matin et au dit Louvegné les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré aujourd’hui par le dit Monsieur Horward, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits François Joseph Fassin et Anne Marie Dethier sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Noël Colette, cultivateur, de Nicolas Julien, fileur, demeurant à Banneux, de Jean Louis Vuidar, manœuvre demeurant à Tancrémont, et de Jérôme Colette, garde champêtre demeurant à Jevoumont, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que les contractants n’ont plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que Maternel pour consentir à leur mariage l’ont signé avec nous et le contractant excepté la contractante, Nicolas Julien et Jean Louis Vuidar qui ont déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 10/10/1814 Barthelemi Joseph LESAINT et Anne Barbe CLOSSET (n°200)

L’An mil huit cent et quatorze du mois d’octobre le dixième jour à onze heures du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Barthelemi Joseph Lesaint domestique, âgé de vingt quatre ans, neuf mois, demeurant à Jevoumont, né dans la commune de Vielsalm le vingt et un janvier an mil sept cent quatre vingt et dix fils de feu Jean Lesaint, décédé le quinze vendémiaire an douze à Burtonville, commune dudit Vielsalm comme il en conste par les extraits d’acte de naissance et décès délivrés les vingt trois et trente septembre dernier par Monsieur M. Orban, Bourgmestre de la dite commune de Vielsalm et de Marie Elisabeth Renard, ménagère ci présente et consentante demeurant au dit Burtonville.

Et Anne Barbe Closset, ménagère, âgée de trente cinq ans, onze mois, née dans cette commune le vingt huit octobre an mil sept cent soixante et dix huit demeurant à Jevoumont, fille de feu Pierre Closset décédé au même lieu le onze juillet an mil sept cent quatre vingt et trois, et de Barbe Thomson, ménagère ci présente et consentante demeurant audit Jevoumont.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt cinq septembre dernier et deux de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Barthelemi Joseph Lesaint et Anne Barbe Closset, sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Hermès François Jehin ; de Jean Jacque Gohy, de Jean Jacque Decheneux, et de Lambert Corne, cultivateurs, demeurants à Mont, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, ainsi que la contractante ; le contractant sa mère et la mère de la contractante ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 30/11/1814 Antoine Joseph JEHIN et Marie Barbe JASON (n°230)

L’An mil huit cent et quatorze du mois de novembre le trentième jour à neuf heures et demies du matin, par devant nous, Antoine Dandrimont, Maire, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus les sieurs Antoine Joseph Jehin, cultivateur, âgé de trente quatre ans, un mois, demeurant audit Theux, né dans cette commune, le neuf octobre an mil sept cent quatre vingt, fils des défunts Guilleaume Jehin et Margueritte Becker décédés audit Theux le premier le dix neuf février an dix huit cent et onze, la seconde le deux décembre an mil sept cent quatre vingt et trois.

Et demoiselle Marie Barbe Jason, couturière, âgée de trente et un ans, cinq mois, née dans cette commune le vingt neuf juin an mil sept cent quatre vingt et trois fille du sieur Adam François Jason forgeron, ci présent et consentant et de Marie Elisabeth Gohy, ménagère demeurants à Juslenville.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et vingt sept de ce mois à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, ainsi que du certificat constatant que le contractant a satisfait à la loi sur la milice nationale délivré le vingt un janvier dernier délivré par le dit Monsieur Colinet, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Antoine Joseph Jehin et Marie Barbe Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Guilleaume Joseph Jehin de Jean Michel Jehin, bouchers, demeurants audit Theux, d’Adam François Jason forgeron et de Henri Joseph Jason, forgeron demeurants à Juslenville, frères de la contractante, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture, et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du coté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous ainsi que la contractante et son père, les dits Guilleaume Joseph Jehin, Jean Michel Jehin et le contractant ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

 

M 03/04/1815 Adam Joseph JASON et Catherine Dieudonnée RENARD (n°62)

L’An mil huit cent et quinze du mois d’avril le troisième jour à sept heures du matin, par devant nous, Gilles Joseph Jacob, Bourgmestre, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Adam Joseph Jason, tisserand, âgé de trente trois ans, un mois, né dans cette commune, le vingt et un février an mil sept cent quatre vingt et deux fils de feu Adam Joseph Jason décédé à Theux le treize avril an dix huit cent et onze et d’Anne Joseph Cornet ménagère, ci présente et consentante demeurant audit Theux.

Et mademoiselle Catherine Dieudonnée Renard, couturière, âgée de vingt cinq ans, neuf mois, née à Bazeille arrondissement communal de Sedan, département des Ardennes le huit juin an mil sept cent quatre vingt et six comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt huit mars an dix huit cent et treize par Monsieur Frois Devillez maire de la commune dudit Bazeille fille du sieur Guilleaume Joseph Renard poèlier, ci présent et consentant et de Marie Catherine Pirnay ménagère demeurant à Rainonfosse.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six mars dernier à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Adam Joseph Jason et Catherine Dieudonnée Renard sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Baptiste Beauve, charpentier, beau frère du contractant, de Pascal Joseph Depresseux, aussi beau frère du contractant, de André Clairbois, tailleur d’habits et de Noé Joseph Monay, cabaretier, tous domicilié dans cette commune, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous et la contractante, le contractant et sa mère ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 11/05/1815 Servais Joseph JONDOUSY et Anne Joseph CORNE (n°91)

L’An mil huit cent et quinze du mois de may le onzième jour à sept heures du matin, par devant nous, Gille Joseph Jacob, Bourgmestre adjoint de la commune de Theux, sont comparus le sieur Servais Joseph Jondousy cultivateur, âgé de vingt neuf ans, huit mois, né dans la commune de Poleur, le quatre septembre an mil sept cent quatre vingt et cinq, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt huit avril dernier par Monsieur J :S :Orban, Bourgmestre adjoint délégué à la dite commune de Poleur, fils du sieur Antoine Jondousy cultivateur, ci présent et consentant et d’Anne Marie Deloye ménagère demeurant au fays même commune de sa naissance.

Et Mademoiselle Anne Joseph Corne, cultivatrice, âgée de vingt trois ans, huit mois, née au village de Mont, cette commune, le sept septembre an mil sept cent quatre vingt et onze, fille du sieur Lambert Corne, cultivateur ci présents et consentants demeurant audit Mont et de feue Marie Anne Bertrand, décédée au même lieu le premier thermidor de l’an sept.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt trois et trente avril dernier et audit poleur les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré hier par le dit Monsieur Orban ; aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Servais Joseph Jondousy et Anne Joseph Corne sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Jondousy cultivateur, frère du contractant demeurant audit Fays, de Henri Joseph Gaye, tisserand, de Noé Joseph Monay, cabaretier, demeurant audit Theux et de Jérôme Colette, garde champêtre, demeurant à Jevoumont Lesquels après qu’il leur en a été donné lecture l’ont signé avec nous et les parties contractantes et comparantes.

 

 

 

M 24/05/1815 Jean Emile Guilleaume VANDENBORN et Marie Catherine Thérèse SMET (n°102)

L’An mil huit cent quinze du mois de may le vingt quatrième jour à cinq heures après midi, par devant nous, Gilles Joseph Jacob, Bourgmestre adjoint officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Emile Guilleaume Vandenborne, horloger, âgé de vingt quatre ans, un mois, demeurant à Theux, né à Liège le vingt neuf avril an mil sept cent quatre vingt et onze, fils de feu Jean Guilleaume Vandenborne décédé au même lieu le quatorze du mois d’août an mil sept cent quatre vingt et quatorze, comme il en conste par les extraits d’acte de naissance et décès délivrés le neuf avril dernier par Monsieur Rouveroy commissaire délégué à l’état civil de la ville de Liège, et de Madame Anne Marie Simonis ménagère ci présente et consentante demeurant au dit Liège.

Et Dame Marie Catherine Thérèse Smet, ménagère âgée de vingt neuf ans, six mois, née dans la commune de La Reid le vingt cinq novembre an mil sept cent quatre vingt et cinq, comme il est constaté par m’extrait de son acte de naissance délivré le trois juillet an dix huit cent et sept par Monsieur M. Antoine, maire de la dite commune de La Reid, demeurant audit Theux, veuve du sieur Michel François Ransonet, décédé à Theux le dix huit août dernier, autorisée par arrêté de Monsieur le Directeur du cercle de Verviers en date du douze de ce mois à se remarier avant l’expiration des dix mois à partir du décès de son mari, dont expédition dudit arrêté reste annexée au présent acte, fille du sieur Jean Smet cultivateur ci présent et consentant et de Marie Thérèse Lefin, ménagère demeurant dans la dite commune de Reid.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt et un de ce mois à deux heures de l’après midi et à Liège les dimanches sept et quatorze du même mois à dix heures du matin comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré le dix sept de ce mois par le dit Monsieur Rouveroy, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Emile Guilleaume vandenborn et Marie Thérèse Catherine Smet, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Jean Paulis Lamier, demeurant à Verviers, de Philippe Listroy fabricant de draps demeurant el Vaux, de Henri Jaspar Jamar aubergiste demeurant à Francorchamps et d’André Bihin cultivateur demeurant dans la commune de Reid, beau frère de la contractante, lesquels après qu’il leur en a été donné lecture l’ont signé avec nous et les parties contractantes.

 

 

 

M 09/08/1815 Adam François JASON et Marie Elisabeth JEHIN (n°128)

L'an mil huit cent et quinze, du mois d'août la neuvième jour à neuf heures du matin, par devant Nous, Gilles Joseph Jacob, Maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Adam François Jason, forgeron âgé de trente-neuf ans, né dans cette commune le quatre janvier, an mil sept cent soixante et seize, veuf de Jeanne Marie Balthasart décédée à Juslenville le vingt-neuf décembre an dix huit cent et douze, fils du sieur Adam François Jason, forgeron ci présent et consentant et de Elisabeth Gohy ménagère demeurants audit Juslenville et

Demoiselle Marie Elisabeth Jehin couturière âgée de vingt-trois ans quatre mois née dans cette commune le onze mars an mil sept cent quatre-vingt et douze, fille de feu Guilleaume Joseph Jehin décédé audit Theux le dix-neuf février an dix-huit cent et onze et de Marie Elisabeth Benoît bouchère ci présente et consentante demeurant audit Theux;

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente juillet dernier et six de ce mois à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Adam François Jason et Marie Elisabeth Jehin sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Jason forgeron, Toussaint Joseph Jason fileur par mécanique demeurants audit Juslenville, frères du contractant, de Guilleaume Joseph Jehin boucher et d'Antoine Joseph Jehin cultivateur demeurant audit Theux, frères de la contractante; Lesquels après qu’il leur en a été aussi été donné lecture l’ont signé avec nous et les parties contractantes, ainsi que le père du contractant ; La mère de la contractante, les dits Guilleaume Joseph Jehin et Antoine Joseph Jehin ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leur noms.

 

 

 

M 09/09/1815 Jean Joseph MATHONNET et Marie Joseph SERVAIS (n°149)

L’An mil huit cent quinze du mois de septembre le neuvième jour à cinq heures du matin, par devant nous, Gille Joseph Jacob, Maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Joseph Mathonnet, garde forestier, âgé de quarante deux ans, cinq mois, demeurant à La Ronde Haye, né dans cette commune, le vingt mars an mil sept cent septante trois, veuf de Marie Joseph Gohy, décédée au même lieu, le dix messidor de l’an treize, fils des défunts Jean Joseph Mathonnet et Marie Baudrihaye décédés à Tancrémont, le premier le huit germinal de l’an cinq, la seconde le huit nivose de l’an sept.

Et la demoiselle Marie Joseph Servais, couturière, âgée de vingt six ans, dix mois, née dans cette commune, le quatre octobre an mil sept cent quatre vingt et huit, fille de feu Léonard Servais décédé à Andrimont, le deux juin an mil sept cent quatre vingt et quinze comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le dix huit juillet dernier par Monsieur N. Drossent maire de la commune dudit Andrimont et de Marie Joseph Ancion, Boulangère ci présente et consentante demeurants au dit Theux,

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt sept août dernier et trois de ce mois à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Mathonnet et Marie Joseph Servais sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Gilles Joseph Mathonnet, cultivateur, demeurant à Tancrémont, frère du contractant, de Charles Léonard Servais, boulanger d’Adam François Servais tonnelier, frères de la contractante et de Henri Joseph Gaye, tisserand, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclarés que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage l’ont signé avec nous et les parties contractantes et comparantes.

 

 

M 08/10/1815 Jean Nicolas Joseph GREGOIRE et Marie Elisabeth JASON (n°164)

L’An mil huit cent quinze du mois d’octobre le huitième jour à huit heures du matin, par devant nous, Gille Joseph Jacob, maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Nicolas Joseph Gregoire, ouvrier de fabrique de draps, âgé de trente neuf ans, huit mois, demeurant à Juslenville, né dans cette commune le vingt neuf décembre an mil sept cent soixante et quinze fils des défunts Ferdinand Grégoire et de Marie Catherine Decorty décédés à Jevoumont, village dépendant de cette commune, Le premier le vingt neuf novembre an mil sept cent quatre vingt et douze, la seconde le deux février an mil sept cent quatre vingt et quatorze.

Et la demoiselle Marie Elisabeth Jason, couturière, âgée de vingt huit ans, cinq mois, née dans cette commune le dix neuf may an mil sept cent quatre vingt et sept, fille du sieur Adam François Jason, forgeron, ci présent et consentant et de Marie Elisabeth Gohy, ménagère demeurants à Juslenville.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre septembre dernier et premier de ce mois à deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Nicolas Joseph Grégoire et Marie Elisabeth Jason sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Gaspard Joseph Decorty cultivateur, cousin germain du contractant demeurant à Mont, d’Adam François Jason, de Henri Joseph Jason, forgerons, et de Toussaint Joseph Jason, ouvrier fileur par mécaniques, frères de la contractante, demeurant audit Juslenville, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du coté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous, Et la contractante ainsi que son père le contractant ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 16/11/1815 Jean Joseph STEPHENS et Marie Anne Joseph JEHIN (n°188)

L’An mil huit cent quinze du mois de novembre le quinzième jour à huit heures du matin, par devant nous, Gille Joseph Jacob, maire adjoint officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Joseph Stephens instituteur, âgé de trente deux ans, cinq mois, demeurant audit Theux, né dans la commune de Longvilly le vingt trois juin an mil sept cent quatre vingt et trois comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt six octobre dernier par Monsieur Jean Pierre Bonjean, Maire de la dite commune de Longvilly, fils du sieur Jean Stephens propriétaire demeurant au dit Longvilly canton de Bastogne, arrondissement de Neuf château, grand duché de Luxembourg, qui a donné son consentement au présent mariage par acte par brevet avenu devant Monsieur Jean Mathias Valère de la Mock, notaire royal à la résidence dudit Bastogne, le vingt cinq octobre dernier, enregistré audit Bastogne le vingt cinq octobre dernier, enregistré audit Bastogne, le même jour au cour d’un franc et un décime signé Bomais et de feue Catherine Servais, décédée audit Longvilly, le sept avril an mil huit cent comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le dit jour vingt six octobre par Monsieur Bonjean, lesquelles pièces sont annexées au présent acte.

Et Mademoiselle Marie Anne Joseph Jehin couturière, âgée de trente sept ans, neuf mois, née dans cette commune le vingt quatre janvier an mil sept cent soixante et dix huit, fille de feu Laurent Joseph Jehin, décédé à Theux, le dix huit août de mil huit cent et quatorze et Catherine Joseph Wilkin, ménagère ci présente et consentante demeurants audit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze de ce mois à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Stephens et Marie Anne Joseph Jehin sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Joseph Jehin, maçon, frère de la contractante, de Jean François Monjardin, tailleur d’habits, de Louis Joseph Bottin, tailleur d’habits et de Henri Joseph Gaye, tisserand, demeurants audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signés avec nous, et les parties contractantes, la mère de la contractante ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom, le mot surchargé est approuvé qui est quatorze.

 

 

 

M 25/11/1815 Jacques PAES et Marie Agathe BONIVER (n°196)

L’An mil huit cent et quinze du mois de novembre le vingt cinquième jour à huit heures du soir, par devant nous, Gille Joseph Jacob, maire adjoint officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jacques Paes, serrurier de profession, âgé de vingt deux ans, trois mois, né dans la commune de Wandre, le neuf août an mil sept cent quatre vingt et treize comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le premier de ce mois par Monsieur H.J. Malaise, maire adjoint de la commune dudit Wandre, milicien de la classe de l’an dix huit cent et treize ayant obtenu lors du tirage au sort le numéro trois retenu à la manufacture d’armes de guerre à Liège, comme faisant partie du contingent des miliciens appelés de sa commune, ainsi qu’il en résulte du certificat lui délivré le dix neuf de ce mois par Monsieur D.H. Lhoist maire adjoint de la dite commune de Wandre, fils des sieurs Mathieu Paes, batelier, ci présent et consentant et de Louise Janquet, ménagère demeurant au dit Wandre.

Et mademoiselle Marie Agathe Boniver, couturière, âgée de vingt six ans, onze mois, née dans la commune de Theux le dix huit décembre an mil sept cent quatre vingt et neuf, fille du sieur Mathieu Joseph Boniver, maître menuisier ci présent et consentant et d’Anne Marie Sottrez ménagère demeurant audit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf de ce mois et au dit Wandre les dimanche cinq et douze de ce mois, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré par le dit Monsieur Malaise, le quinze de ce mois, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jacques Paes et Marie Agathe Boniver sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Servais surveillant de Fabrique, demeurant audit Theux, de Jean Nicolas Herzet surveillant de fabrique et de Gille Joseph Kasin et de Michel Joseph Genêt surveillant de fabrique demeurant à Juslenville, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, le contractant ainsi que les pères des contractants ; la contractante ayant dit et déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 20/01/1816 Alexandre Joseph RENARD et Anne Catherine DELCOUR (n°17)

L’An mil huit cent seize du mois de janvier le vingtième jour à sept heures du soir, par devant nous, Gilles Joseph Jacob, maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Alexandre Joseph Renard, forgeron, âgé de soixante dix neuf ans, neuf mois, né dans cette commune, le dix neuf avril an mil sept cent et trente six, demeurant au dit Theux, veuf de Marie Joseph Lejeune décédée au même lieu, le neuf mars an mil huit cent et six, fils des défunts Joseph Renard et Marie Anne del Forge.

Et Mademoiselle Anne Catherine Delcour, journalière, âgé de de trente et un ans, onze mois, fille du sieur Jean Lambert Delcour journalier, ci présent et consentant et de Marie Françoise Lechanoine, ménagère demeurant au dit Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Alexandre Joseph Renard et Anne Catherine Delcour sont unis par le mariage.et aussitôt les dits époux nous ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant du sexe féminin qui a été inscrit sur les registres de l’état civil de cette commune sous la date du dix avril dernier auquel il a été donné les prénoms et noms d’Anne Catherine Delcour, qu’ils reconnaissent pour leur fille, demandants qu’ua lieu du nom de Delcour on lui substitue celui de Renard, aussitôt que la rectification de ce nom sera ordonnée sur leur demande par le tribunal civil de première instance séant à Liège ; De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Thiange, cultivateur, de Pascal Joseph Depresseux, cordonnier, de Henri Joseph Lemarly, cultivateur, et de thomas Joseph Lemarly forgeron demeurants audit Theux, âgés suffisamment, lesquels après qu’il leur en a été aussi donné lecture l’ont signé avec nous, et les parties contractantes et comparantes.

 

 

 

M 27/01/1816 Jacque Joseph PONDANT et Marie Joseph LALEMAND (n°21)

L’An mil huit cent seize du mois de janvier le vingt septième jour à cinq heures du soir, par devant nous, Gille Joseph Jacob, maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jacque Joseph Pondant, marteleur, âgé de vingt cinq ans, deux mois, né dans cette commune, le vingt deux novembre an mil sept cent quatre vingt et dix, fils du sieur Jean François Pondant marteleur ci présent et consentant demeurant à Juslenville et de feue Marie Thérèse Jason, décédée au même lieu le dix neuf décembre an dix huit cent et treize.

Et, Marie Joseph Lallemand, servante, âgée de trente quatre ans, trois mois, demeurant à Sassor, née à Lamouriville commune de Belvaux le onze du mois d’octobre, an mil sept cent quatre vingt et un, comme il en conste par les extraits de son acte de naissance délivré le vingt de ce mois, par Monsieur, H. Léonard, Bourgmestre de la dite commune de Belvaux, fille de Jean Henri Lallemand absent depuis plusieurs années et dont on ignore le domicile ainsi qu’il en résulte du certificat délivré le vingt du courant par le dit Monsieur Léonard, et de Jeanne Thérèse Blaisse ménagère ci présente et consentante, demeurant au dit Belvaux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt et un de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jacque Joseph Pondant et marie Joseph Lallemand sont unis par le mariage. De tout qui avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Jason, forgeron, demeurant au dit Theux, cousin germain du contractant, de Thomas Joseph Beauve, charpentier, cousin germain par alliance du contractant, demeurant audit Juslenville, de Nicolas Darbespine, couvreur en paille, demeurant à Mont, et de Henri Létargé manœuvre, demeurant audit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture ont signé avec nous le père du contractant, ainsi que les dits Jean François Jason et Thomas Joseph Beauve, deux des témoins ; les parties contractantes, la mère de la contractante et les deux autres témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 27/05/1816 Hubert Joseph LELIGUE et Marie Thérèse BERTRAND (n°117)

L’An mil huit cent seize du mois de may le vingt septième jour à six heures du soir, par devant nous, Gilles Joseph Jacob, maire adjoint officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Hubert Joseph Leligue, cultivateur, âgé de vingt huit ans, demeurant à Jevoumont, né dans cette commune le dix huit may an mil sept cent quatre vingt et huit, fils des défunts Mathieu Joseph Leligué et Anne Catherine Jehin, décédés audit Jevoumont.

Et Mademoiselle Marie Thérèse Bertrand, cultivatrice, âgée de vingt et un ans, quatre mois, née dans cette commune le sept janvier an mil sept cent quatre vingt et quinze, fille du sieur Laurent Joseph Bertrand, cultivateur, ci présent et consentant, demeurants au dit Jevoumont, et de feue Marie Catherine Renard, décédée au même lieu.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches douze et dix neuf de ce mois à deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hubert Joseph Leligué et Marie Thérèse Bertrand sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Nicolas Joseph Leligué, cultivateur demeurant au dit Jevoumont, de Hermès Alexandre Leligué maréchal Ferrant, demeurant au petit Rechain, frères du contractant, de Toussaint Jason, forgeron, oncle maternel de la contractante, et d’Antoine Poussart, percepteur des contributions, demeurants audit Theux, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que el déclarant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous et la contractante, le contractant et le père de la contractante ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 09/07/1816 Thomas Joseph SERVAIS et Catherine Joseph BOTZ (n°142)

L’An mil huit cent seize du mois de juillet le neuvième jour à dix huitième jour à onze heures du matin, par devant nous, Gille Joseph Jacob, maire adjoint, officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Thomas Joseph Servais, boulanger, âgé de trente trois ans, cinq mois, né dans cette commune le quatorze du mois de janvier an mil sept cent quatre vingt trois, demeurant audit Theux, veuf d’Anne Marie Boniver, décédée au même lieu le seize avril dernier, fils de feu Léonard Servais décédé à Andrimont le deux du mois de juin an mil sept cent quatre vingt et quinze comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le cinq de ce mois par Monsieur N. Drossart maire de la commune du dit Andrimont, et de Marie Joseph Ancion, boulangère ci présente et consentante, demeurant audit Theux.

Et Catherine Joseph Bolz, servante, âgée de trente ans, cinq mois demeurant audit Theux, née dans la commune de Limerlé, canton de Houffalise, Grand Duché de Luxembourg, le sept février an mil sept cent quatre vingt et six, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le sept de ce mois par Monsieur Jean François Pirotte, maire de la dite commune de Limerlé, fille du sieur Nicolas Botz cultivateur ci présent et consentant et de Marie Jeanne Michaélis ménagère demeurant au dit Limerlé.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois à deux heures de l’après midi et au dit Limerlé les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré le dix huit de ce mois par le dit Monsieur J. F. Pirotte, maire, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Thomas Joseph Servais et Catherine Joseph Botz, sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Adam François Servais, tonnelier, de Ferdinand Joseph Boniver, platineur, de Jean Joseph Mathonnet, garde forestier, frère et beau frères du contractant, demeurant audit Theux, et de Pierre Joseph Botz cultivateur, frère de la contractante, demeurant au dit Limerlé, tous les quatre âgés suffisamment, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, et le contractant ; la contractante, ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

M 05/08/1816 Jean Gille CORNET et Marie Hélène LEGENTIL (n°150)

L’An mil huit cent seize du mois d’Août le cinquième jour à huit heures du soir, par devant nous, Gille Joseph Jacob, maire adjoint officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Gille Cornet, manœuvre, âgé de trente trois ans, huit mois, demeurant à la Ronde Haye, veuf de Marie Catherine Alexandre, décédée à la Forge Thiry, le quinze janvier an mil huit cent et quatorze, né dans la commune de Soiron, le vingt cinq novembre, an mil sept cent quatre vingt et deux, fils des défunts Mathieu Joseph Cornet et Anne Marie Christophe, décédés au même lieu, le premier le onze mars an mil sept cent quatre vingt et six, la seconde le vingt quatre janvier an mil sept cent quatre vingt et sept comme il en conste par les extraits d’actes de naissances et décès des susnommés, délivrés le vingt huit juillet dernier par monsieur, hub : Simar maire de la dite commune de Soiron.

Et Marie Hélène Legentil journalière, âgée de quarante sept ans, trois mois, demeurant audit Ronde Haye née dans la commune de Theux, le vingt deux avril an mil sept cent soixante neuf, fille du sieur François Legentil manœuvre ci présent et consentant et de Margueritte Gohy, fileuse, demeurants au dit Theux, veuve de Jean Lambert Bertrand, décédé à Ensival, le vingt quatre vendémiaire de l’an quatorze, comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès délivré le deux de ce mois par Monsieur Pierre Fassin, maire de ce lieu.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt et un et vingt huit juillet dernier à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code des devoirs respectifs des époux, ainsi que du certificat constatant que le contractant a satisfait à la loi sur la milice nationale délivré le vingt un janvier dernier délivré par le dit Monsieur Colinet, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Gille Cornet et Marie Hélène Legentil sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Cornet ouvrier de fabrique, oncle du contractant demeurant à Drolenval, de Gille Depierreux, manœuvre de Pascal Joseph Jason, forgeron et de Lambert Mottet revendeur, demeurants audit Theux, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’à plus ni aïeuls ni aïeules tant du coté paternel que maternel pour consentir à son mariage, a avons signé le présent acte, les parties contractantes, le père de la contractante et les quatre témoins ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms. Le mot Alexandre interligné est approuvé.

 

 

 

M 15/02/1817 Pierre Michel LURSON et Anne Joseph GONAY (N°01)

L’An mil huit cent dix sept du mois de février le quinzième jour à cinq heures après midi, par devant nous, Melchior Fyon, adjoint maire délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, par arrêté du maire en date du seize août mil huit cent seize, sont comparus le sieur Pierre Michel Lurson, tisserand, âgé de trente cinq ans, huit mois, demeurant à Verviers, né dans la commune de Francorchamps, le onze juin an mil sept cent quatre vingt un comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt quatre janvier dernier par monsieur p :m : Deschamps maire de la dite commune de Francorchamps, veuf de Margueritte Decharneux, décédée à Verviers le huit avril dernier, comme il en conste par l’extrait de son acte de décès délivré le douze de ce mois par Monsieur S : F : Ph : Cornet, adjoint maire délégué à l’état civil de le ville du dit Verviers, majeur fils du sieur Michel Lurson journalier ci présent et consentant et de Marie Elisabeth Thoumsin ménagère, demeurants à Verviers.

Et la demoiselle Anne Joseph Gonay, ménagère, âgée de trente ans, dix mois, née dans la commune de Theux, le dix mars an mil sept cent quatre vingt et six, majeure fille du sieur Lambert Gonay, cultivateur, ci présent et consentant demeurants sur la montagne de Mont, et de feu Cornele Ancion, décédée au même lieu le deux mars an mil sept cent quatre vingt et onze.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt six janvier dernier et deux de ce mois à deux heures après midi ; et au dit Verviers les dimanches deux et neuf février courant, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré sous la date du douze de ce mois, par le dit Monsieur Cornet, ; Aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé des devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Pierre Michel Lurson et Anne Joseph Gonay, sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean Evrard Verday, ouvrier fileur par mécanique, beau frère du contractant, demeurant à Verviers de Thomas Huberty Journalier, demeurant à Grand place, neveu du coté maternel du contractant, de Charles Léonard Servais, Musicien, cousin germain du côté maternel de la contractante, et de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, demeurant au dit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous ainsi que les parties contractantes, et le père de la contractante, ; le père du contractant et le dit Verday, l’un des dits témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 19/02/1817 Toussaint Joseph GAVRAY et Marie Jeanne DUMONT (n°03)

L’An mil huit cent dix sept du mois de février le dix neuvième jour à cinq heures après midi, par devant nous, Melchior Fyon, adjoint maire délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Toussaint Joseph Gavray, cultivateur, âgé de vingt six ans, quatre mois, né dans cette commune le premier octobre an mil sept cent quatre vingt et dix, majeur, fils du sieur Henri Joseph Gavray cultivateur, ci présent et consentant et de Marie Brognard, ménagère demeurant à Jevoumont.

Et la demoiselle Marie Jeanne Dumont, cultivatrice, âgée de trente ans, née dans cette commune le huit février an mil sept cent quatre vingt et sept majeure, fille du sieur Mathieu Dumont, cultivateur, ci présent et consentant, et de Reine Jehin, ménagère demeurant au dit Jevoumont.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches neuf et seize de ce mois à dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé de des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Toussaint Joseph Gavray et Marie Jeanne Dumont sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des Sieurs Lambert Joseph Gavray maréchal, oncle du contractant et de Jean Joseph Stephens, instituteur, de Henri Joseph Gaye, tisserand, et de Jean Guilleaume Courtejoie tailleur d’habits demeurants au dit Theux, Lesquels après qu’il leur en a été donné aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, et les parties contractantes et comparantes.

 

 

 

M 02/06/1817 Jean Michel JEHIN et Marie Elisabeth NOIDREZ (n°09)

L’An mil huit cent dix sept du mois de juin le deuxième jour à huit heures du matin, par devant nous, Melchior Fyon, adjoint maire délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Michel Jehin, boucher, âgé de quarante deux ans, sept mois, demeurant à Theux, né dans cette commune, le cinq octobre an mil sept cent soixante et quatorze, fils de Guilleaume Joseph Jehin et de Margueritte Beck, décédés au dit Theux, le premier le dix neuf février an mil huit cent et onze, la seconde, le deux décembre an mil sept cent quatre vingt et trois.

Et la demoiselle Marie Elisabeth Noidrez, ménagère, âgée de trente trois ans, six mois, demeurant au dit Theux, née dans cette commune, le neuf novembre an mil sept cent quatre vingt et trois, fille de Bertin Noidrez et de Marie Joseph Gaye, décédés au même lieu, le premier le vingt trois novembre an mil huit cent douze, la seconde le trois mars an mil huit cent quatorze.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix huit et vingt cinq may dernier à deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé des droits et devoirs respectifs des époux, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Michel Jehin et Marie Elisabeth Noidrez sont unis par le mariage. De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Pierre Joseph Noidrez forgeron, âgé de trente un ans, frère de la contractante, de Jean Nicolas Renard, journalier, âgé de vingt huit ans, cousin germain maternel de la contractante, de Guilleaume Joseph Jehin, maître maçon, âgé de quarante deux ans, cousin germain paternel de la contractante, et de Pascal Joseph Depresseux, cordonnier, âgé de trente sept ans, demeurants au dit Theux, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que les contractants n’ont plus ni Aïeuls ni Aïeules tant du côté paternel que Maternel pour consentir à leur mariage l’ont signé avec nous, ainsi que la contractante, le contractant ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leur nom.

 

 

 

M 27/07/1817 Lambert Joseph FASSIN et Anne Victoire PALANGE (n°11)

L’An mil huit cent dix sept du mois de juillet le vingt septième jour à dix heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Lambert Joseph Fassin, cultivateur, âgé de trente trois ans, huit mois, né dans cette commune, le vingt et un novembre an mil sept cent quatre vingt et trois demeurant à Juslenville, majeur, fils du sieur Lambert Joseph Fassin, décédé au même lieu le premier avril an mil huit cent et quinze et de Pétronelle Maréchal ménagère ci présente et consentante demeurant au dit Juslenville.

Et, La demoiselle Anne Victoire Palange, journalière, âgée de dix huit ans, quatre mois demeurant au dit Juslenville, née à Comblain au pont, arrondissement de Huy, le trois paraireal de l’an sept fr. (?)correspondant au vingt deux may de l’an mil sept cent quatre vingt et dix neuf, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le vingt cinq de ce mois, par Monsieur T. (?) Degrandchamps, maire de la commune du dit Comblain au pont, mineure fille du sieur Philippe Palange, cultivateur ci présent et consentant, demeurant au dit Comblain au pont, et de feue Marie Barbe Leblanc, décédée au dit Comblain au pont le treize thermidor de l’an dix /: correspondant au trente juillet de l’an mil huit cent et deux:/ comme il en conste également par l’extrait de son acte de décès délivré le vingt deux du courant par le dit Monsieur de Grand Champs.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches six et treize de ce mois à deux heures de l’après midi et au dit Comblain les dimanches treize et vingt aussi de ce mois, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré le vingt cinq du présent mois par le prédit Monsieur de Grand Champs, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Lambert Joseph Fassin et Anne Victoire Palange. Sont unis par le mariage de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Nivette, tondeur, âgé de trente cinq ans, frère utérain du contractant, de François Joseph Talbot, tondeur, âgé de trente neuf ans, de Nicolas Joseph Talbot, tondeur, âgé de trente neuf ans, demeurants au dit Juslenville et de Hermès François Depresseux, cordonnier, âgé de quarante sept ans, demeurant au dit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, ainsi que le contractant, le père de la contractante, la dite contractante, le mère du contractant, et Nicolas Joseph Talbot, l’un des dits témoins ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 25/08/1817 Jean Louis SERVAIS et Marie Elisabeth NANTULLE (n°14)

L’An mil huit cent dix sept du mois d’août le vingt cinquième jour à huit heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Louis Servais, soldat au quarante sixième bataillon de milice nationale, âgé de vingt deux ans, quatre mois, né dans cette commune, le sept avril an mil sept cent quatre vingt et quinze, majeur, fils naturel de Marie Catherine Servais, ménagère ci présente et consentante demeurants à La digue, le dit Servais, autorisé à contracter mariage, par permission lui accordée par Monsieur George colonel en second commandant le dit Bataillon en date du deux de ce mois qui reste annexée au présent acte.

Et la demoiselle Marie Elisabeth Nantulle, sans profession, âgée de vingt sept ans, dix mois, née dans cette commune, le vingt cinq octobre, an mil sept cent quatre vingt et neuf, majeure fille de Nicolas François Nantulle, décédé à Spixhe, le vingt huit juin an mil huit cent et treize et d’Anne Isabelle Renard, ménagère, ci présente et consentante demeurants au dit Spixhe.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept de ce mois au dix heures du matin, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Louis Servais et Marie Elisabeth Nantulle sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Lambert Joseph Nantulle, cultivateur, âgé de trente huit ans, frère de la contractante, demeurant à Spixhe et de Jean Monjardin, tailleur d’habits, âgé de cinquante un ans, de Jean François Monjardin, tailleur d’habits, âgé de vingt quatre ans, et de Jean Lambert Depresseux, tisserand, âgé de vingt ans, demeurants au dit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, et la mère de la contractante, les parties contractantes la mère du contractant ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 12/09/1817 Jean Nicolas Joseph BAIWIR et Marie Jeanne LEROY (n°15)

L’An mil huit cent dix sept du mois de septembre le douzième jour à dix heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Nicolas Joseph Baiwir, domestique, âgé de vingt deux ans, huit mois, demeurant au Hornay, commune de Sprimont, né dans la commune de Tilff, le dix huit décembre an mil sept cent quatre vingt et quatorze, comme il est constaté par l’extrait de son acte de naissance délivré le douze du mois d’août, dernier par Monsieur, J.L. Rahay, adjoint de la commune de Tilff, majeur, fils des défunts Jean Baiwir, et Marie Catherine Joseph Constant, décédé le premier à Sprimont, le onze janvier an mil huit cent et sept, la seconde, à Liège, le vingt cinq du mois, de pluviose de l’an onze, comme il en conste par les extraits d’actes de décès délivrés les dix neuf août dernier et huit de ce mois, par Messieurs Germain maire de la commune dudit Sprimont et Rouveroy, conseiller municipal et officier de l’état civil de Liège.

Et la demoiselle Marie Jeanne Leroy, journalière, âgée de trente six ans, dix mois, née dans cette commune, le douze octobre an mil sept cent quatre vingt, majeure, fille de Jean François Leroy, décédé à Juslenville et de Marie Anne Jason, ménagère, ci présente et consentante, demeurants au dit Juslenville.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un août dernier et au dit Sprimont les mêmes jours, comme il en conste par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré le huit de ce mois par Monsieur Germain, certifiant en outre que le contractant a satisfait aux lois sur la milice nationale, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage ainsi que du certificat constatant que le contractant a satisfait à la loi sur la milice nationale délivré le vingt un janvier dernier délivré par le dit Monsieur Colinet, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Nicolas Baiwir et Marie Jeanne Leroy, sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Jean François Leroy, platineur, âgé de quarante deux ans, frère de la contractante, demeurant à Juslenville, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente trois ans, de Benoit Gerard, barbier, âgé de quarante quatre ans, et de Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de cinquante neuf ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous et le contractant, la contractante, et s amère ayant déclarés de savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 20/04/1818 Jean Hubert RULOT et Marie Charlotte STASSART (n°08)

L’An mil huit cent dix huit du mois d’avril le vingtième jour à dix heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Hubert Rulot, roulier, âgé de vingt neuf ans, trois mois, né dans cette commune, le sept janvier an mil sept cent quatre vingt et neuf, demeurant de droit audit Theux et de fait à Battice majeur fils des défunts Jean Hubert Rulot et Margueritte Corne, décédé au dit Theux.

Et la demoiselle, Marie Charlotte Stassart cabaretière, âgée de vingt neuf ans, deux mois, née dans cette commune le dix neuf février an mil sept cent quatre vingt et neuf, veuve de Pierre François Gilson, décédé au dit Theux le six février an mil huit cent dix sept, demeurant de droit audit Theux et de fait à Liège majeure fille du sieur Remi Joseph Stassart roulier ci présent et consentant et de Barbe Thérèse Catherine Caro, ménagère, demeurants à Theux,

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches cinq et douze de ce mois à deux heures de l’après midi, à Battice les mêmes jours et à Liège les dimanches quinze et vingt deux mars dernier comme il est constaté par le certificat de publications des promesses de mariage entre les futurs conjoints délivré les vingt cinq mars dernier, et huit de ce mois par Messieurs Penay (Cenay ?) maire de Battice et Rouveroy conseillé de régence officier de l’état civil de la ville du dit Liège, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Hubert Rulot et Marie Charlotte Stassart sont unis par le mariage, De tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de cinquante neuf ans, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente trois ans, de Benoit Gerard, tailleur d’habits, âgé de quarante deux ans, et de François Demazure, cordonnier, âgé de quarante et un ans, demeurant à Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous, le contractants, et le père de la contractante, ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 18/05/1818 Jean Joseph DUMONT et Jeanne Marie GAVRAY (n°09)

L’An mil huit cent dix huit du mois de may le dix huitième jour à huit heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Joseph Dumont, cultivateur, âgé de trente quatre ans, dix mois, né dans cette commune, le vingt trois juillet an mil sept cent quatre vingt et trois, majeur, fils du sieur Mathieu Dumont, propriétaire, ci présent et consentant et de Reine Jehin, ménagère demeurant au village de Jevoumont, commune de Theux.

Et la demoiselle Jeanne Marie Gavray, cultivatrice, âgée de vingt quatre ans, deux mois, née dans cette commune, le vingt deux mars an mil sept cent quatre vingt et quatorze, majeure, fille du sieur Henri Joseph Gavray, propriétaire ci présent et consentant et de Marie Brognard, ménagère, demeurant au dit Jevoumont.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trois et dix de ce mois aux deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Joseph Dumont et Jeanne Marie Gavray sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Michotte, tonnelier, âgé de cinquante neuf ans, de Jean Lambert Depresseux, garde forestier, âgé de cinquante huit ans, de Benoit Gerard, tailleur d’habits, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente trois ans, demeurants à Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous et les parties contractantes et comparantes.

 

 

 

M 22/06/1818 Lambert Joseph JASON et Marie Hélène JASON (n°12)

L’An mil huit cent dix huit du mois de juin le vingt deuxième jour à sept heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Lambert Joseph Jason, employé à la fabrique de draps âgé de trente trois ans, un mois, né dans cette commune, le huit du mois de may an mil sept cent quatre vingt et cinq, majeur, fils du sieur Hubert Jason, propriétaire ci présent et consentant et de Margueritte Jason, ménagère demeurant à Juslenville, mairie de Theux.

Et la demoiselle Marie Hélène Jason, sans profession, âgée de vingt cinq ans, dix mois, née dans cette commune, le vingt et un du mois d’août, an mil sept cent quatre vingt et douze, majeure, fille du sieur Jean François Jason platineur, ci présent et consentant, demeurants au dit Juslenville, et de Jeanne Joseph Gohy, décédée au même lieu,

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches sept et quatorze de ce mois aux deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Lambert Joseph Jason et Marie Hélène Jason sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Jason, tailleur d’habits, âgé de quarante ans, frère du contractant, de Jean François Jason, forgeron, âgé de trente trois ans, de Thomas Joseph Beauve, charpentier, âgé de trente ans, frère et beau frère de la contractante, et de Jean François Pondant, marteleur, âgé de cinquante huit ans, oncle maternel de la contractante, demeurants dans cette commune, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, excepté les contractants et le père de la contractante qui ont déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms. Les mots interlignés sont approuvés

 

 

 

M 13/07/1818 Nicolas Joseph DESPACE et Anne Marie Joseph LAGUESSE (n°13)

L’An mil huit cent dix huit du mois de juillet le treizième jour à sept heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Nicolas Joseph Despace, roulier, âgé de dix neuf ans, six mois, né dans cette commune, le dix huit janvier an mil sept cent quatre vingt et dix neuf, mineur, fils du sieur Quirin Despace roulier, ci présent et consentant, demeurant à Theux, et de Anne Françoise Thomson décédée au dit Theux le sept novembre an mil huit cent quatorze.

Et Anne Marie Joseph Laguesse, journalière, âgée de vingt ans, deux mois née dans cette commune, le seize avril an mil sept cent quatre vingt et dix huit, demeurant au dit Theux, mineur, fille de Pierre Joseph Laguesse, décédé à Chanxhe commune de Sprimont, le vingt neuf vendémiaire de l’an treize comme il en conste par l’extrait de son acte de décès par Monsieur n : Thonon, maire de la commune du dit Sprimont, et de Marie Joseph Bouffa, ménagère demeurant au dit Chanxhe, laquelle a donné son consentement par acte par brevet avenu devant Monsieur Hardy, notaire royal à la résidence de Sprimont, en date du sept de ce mois enregistré à Louvegné le lendemain qui restera annexé au présent acte.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches quatorze et vingt et un de ce mois à deux heures de l’après midi et au dit Sprimont, les mêmes jours ainsi qu’il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage délivré par le dit Monsieur Thonon maire le quatre de ce mois, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas Joseph Despace et Anne Marie Joseph Laguesse sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Laurent Bouffa, propriétaire, âgé de quarante cinq ans, oncle maternel de la contractante, de Jean Antoine Legentil, cordonnier, âgé de trente six ans, de Pascal Joseph Lemarly, journalier, âgé de trente six ans, et de Nicolas Joseph Closset, laineur, âgé de vingt huit ans, demeurants au dit Theux, lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture ont signé avec nous, la contractante et le dit Bouffa, le contractant, son père et les trois autres témoins ayant déclarés de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

M 09/02/1819 Nicolas PIRARD et Marie Catherine Joseph JASON (n°02)

L’An mil huit cent dix neuf du mois de février le neuvième jour à deux heures après midi, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Nicolas Pirard, tondeur de draps, âgé de trente ans, huit mois, ayant un domicile de droit à Anthine arrondissement de Huy et de fait à Ensival, né à Liège, le quatorze mai an mil sept cent quatre vingt et huit, comme il en conste par l’extrait de son acte de naissance délivré le six avril an mil huit cent et sept par Monsieur J.J. Franquinet, adjoint, pour le secrétaire en chef de la municipalité dudit Liège, majeur, fils de feu Henri Pirard décédé à Brest, port de mer de France le vingt neuf janvier an mil huit cent et douze, comme il est constaté par l’extrait de son acte de décès transcrit dans les registres de l’état civil de la commune de Comblain Fairon, délivré le vingt huit décembre dernier par Monsieur de ce lieu et de Margueritte Rousseau, lingère de profession, ci présente et consentante, demeurant dans la dite commune d’Anthines.

Et la demoiselle Marie Catherine Joseph Jason, sans profession, âgée de vingt six ans, six mois, née dans la commune de Theux, le six juillet an mil sept cent quatre vingt et douze, majeure, fille du sieur Hubert Jason propriétaire, ci présent et consentant et de Margueritte Joseph Jason, ménagère demeurants à Juslenville, mairie de Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un janvier coulé aux deux heures de l’après midi et au dit Anthisnes les mêmes jours, comme il est constaté par le certificat de publication des promesses de mariage, délivré le trois de ce mois par Monsieur M. Colinet, maire adjoint officier de l’été civil de la dite commune d’Anthines, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage ainsi que du certificat constatant que le contractant a satisfait à la loi sur la milice nationale délivré le vingt un janvier dernier délivré par le dit Monsieur Colinet, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Nicolas Pirard et Marie Catherine Joseph Jason sont unis par le mariage.

De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Joseph Jason, tailleur d’habits âgé de quarante ans, de Jean François Jason, cultivateur, âgé de trente huit ans, frères de la contractantes, demeurants à Juslenville, de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente quatre ans et de Benoit Gérard, tailleur d’habits, âgé de quarante trois ans, demeurant à Theux, lesquels après qu’il leur en a été donné lecture l’ont signé avec nous, le contractant et sa mère ainsi que le père de la contractante, la contractante et Jean François Jason l’un des témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 04/10/1819 Toussaint Joseph GOHY et Marie Catherine PIRLOT (n°14)

L’An mil huit cent dix neuf du mois d’octobre le quatrième jour à huit heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Toussaint Joseph Gohy, fileur, âgé de vingt deux ans, onze mois, né dans cette commune, le vingt deux octobre an mil sept cent quatre vingt et seize, majeur fils de Lambert Joseph Gohy, décédé dans cette commune, le quatorze octobre mil huit cent et huit et de Marie Barbe Jason, ménagère, ci présente et consentante, demeurants à Juslenville, mairie de Theux.

Et, Marie Catherine Pirlot, bobineuse, âgée de vingt et un an, dix mois, née à Theux le vingt sept novembre an mil sept cent quatre vingt et dix sept, majeure fille du sieur Jean Pirlot cordonnier et de Barbe Havelange, ménagère, ci présents et consentants, demeurant au dit Theux,

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix neuf et vingt six septembre dernier aux deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Toussaint Joseph Gohy et Marie Catherine Pirlot sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Jean Lambert Gohy, fouleur, âgé de vingt neuf ans, frère du contractant demeurant au dit Juslenville, de Mathieu Joseph Pirlot, ouvrier de fabrique, âgé de vingt trois ans, frère de la contractante, de Henri Joseph gaye, appariteur, âgé de trente cinq ans, et de Lambert George, ouvrier de fabrique, âgé de vingt et un ans, demeurants à Theux. Lesquels après qu’il leur en a été donné lecture l’ont signés avec nous, et les parties contractantes, ainsi que le père de la contractante, les dits Jean Lambert Gohy, et Lambert George deux des dits témoins et les mères des contractants ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 25/10/1819 Hermès Alexandre LELIGUE et Margueritte Joseph JASON (n°16)

L’An mil huit cent dix neuf du mois d’octobre le vingt cinquième jour à neuf heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Hermès Alexandre Leligué, maréchal Ferrant, âgé de vingt six ans, sept mois demeurant à Juslenville, mairie de Theux, né dans cette commune, le vingt huit avril an mil sept cent quatre vingt et treize, fils de défunts Mathieu Joseph Leligué et Marie Catherine Jehin, décédés à Jevoumont, cette commune, le premier le vingt sept juillet an mil huit cent et huit, la seconde le vingt sept mars de la même année.

Mademoiselle Margueritte Joseph Jason, couturière, âgée de vingt six ans, quatre mois, né dans cette commune, le treize juin an mil sept cent quatre vingt et treize, majeure fille de Adam François Jason décédé au dit Juslenville le huit may an mil huit cent dix neuf et de Marie Elisabeth Gohy, cabaretière, ci présente et consentante demeurants au dit lieu de Juslenville.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches dix et dix sept de ce mois aux deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Hermès Alexandre Leligué et Margueritte Joseph Jason sont unis par le mariage. De tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Adam François Jason forgeron, âgé de quarante trois ans, de Jean Jacques Jason, forgeron, âgé de quarante cinq ans, de Henri Joseph Jason, forgeron, âgé de trente trois ans, frères de la contractante demeurants audit Juslenville et de Jean Nicolas Joseph Leligué, cultivateur, âgé de quarante trois ans, frère du contractant demeurant au dit Jevoumont. Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du coté que paternel que maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous et les parties contractantes et comparantes excepté la contractante qui a déclaré de ne savoir écrire ni signer son nom.

 

 

 

 

M 08/11/1819 Jean Pierre GODET et Marie Catherine Charlotte ANTOINE (n°18)

L’An mil huit cent dix neuf du mois de novembre le huitième jour à huit heures et demie du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Pierre Godet, cultivateur, âgé de vingt neuf ans, né dans cette commune, le huit novembre an mil sept cent quatre vingt dix majeur fils de Hubert Godet, décédé à Jevoumont, mairie de Theux, le cinq octobre an mil huit cent et quatre et de Catherine Jacque ménagère, ci présente et consentante demeurants au dit Jevoumont.

Et, la demoiselle Marie Catherine Charlotte Antoine, sans profession, âgée de vingt quatre ans, trois mois, née dans cette commune, le trente juillet an mil sept cent quatre vingt et quinze, majeure fille du sieur Poncelet Antoine, cultivateur, et de Marie Catherine Boutet, ménagère, ci présents et consentants, demeurant à Theux.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches vingt quatre et trente un octobre dernier aux deux heures après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Pierre Godet et marie Catherine Charlotte Antoine, sont unis par le mariage, de tout quoi nous avons dressé acte en présence des sieurs Hubert Godet, cultivateur, âgé de trente trois ans, frère du contractant, de Jean Michel Joseph Wayaffe, garde champêtre particulier, âgé de trente deux ans, demeurant au dit lieu de Jevoumont, de Ferdinand Joseph Boniver, cultivateur, âgé de trente neuf ans, et de Henri Joseph Gaye, appariteur, âgé de trente cinq ans, demeurants à Theux, Lesquels après qu’il leur en a aussi été donné lecture l’ont signé avec nous, avec la contractante et son père ; le contractant sa mère et la mère de la contractante ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms.

 

 

 

M 15/11/1819 Jean Pascal LEMARLY et Marie Barbe DESPACE (n°20)

L’An mil huit cent dix neuf du mois de novembre le quinzième jour à neuf heures du matin, par devant nous, Guillaume Joseph Delrée, maire adjoint délégué aux fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Theux, sont comparus le sieur Jean Pascal Lemarly, ouvrier tanneur, âgé de trente sept ans, onze mois, demeurant à Theux, né au même lieu, le premier décembre an mil sept cent quatre vingt un majeur, fils des défunts Thomas Joseph Lemarly et Catherine Legrand, décédés à Theux, le premier le deux mars an mil sept cent quatre vingt et cinq, la seconde le …(sic)

Et, Marie Barbe Despace, journalière, âgée de trente trois ans, deux mois, née à Theux, le vingt sept septembre an mil sept cent quatre vingt six, majeure fille du sieur Quirin François Joseph Despace, journalier, ci présent et consentant, demeurant au dit Theux, et d’Anne Françoise Thomson, décédée au même lieu le sept novembre an mil huit cent et quatorze.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été faites devant la principale porte d’entrée de notre maison commune les dimanches trente et un octobre dernier et sept de ce mois aux deux heures de l’après midi, aucune opposition au dit mariage ne nous ayant été signifiée, faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture en présence des parties et des témoins de toutes les pièces ci-dessus mentionnées et du chapitre six du titre du code civil intitulé du mariage, avons demandé au futur époux et à la future épouse s’ils veuillent se prendre pour mari et pour femme, chacun d’eux ayant répondu séparément et affirmativement, déclarons au nom de la loi que les dits Jean Pascal Lemarly et Marie Barbe Despace sont unis par le mariage, de tout quoi avons dressé acte en présence des sieurs Henri Joseph Lemarly cultivateur, âgé de quarante sept ans, de Thomas Joseph Lemarly, forgeron, âgé de quarante deux ans, frères du contractant, d’Antoine Joseph Thomson, journalier, âgé de soixante six ans, oncle maternel de la contractante, demeurant au dit Theux, et de Jean Joseph Colette, cultivateur, âgé de trente ans, demeurants à Oneux, mairie de Theux, Lesquels après qu’il leur en (sic) aussi donné lecture et avoir déclaré que le contractant n’a plus ni aïeuls ni aïeules tant du côté paternel que du côté maternel pour consentir à son mariage, l’ont signé avec nous les parties contractantes, le père de la contractante et le dit Thomson, l’un des témoins ayant déclaré de ne savoir écrire ni signer leurs noms

 

 


16/11/2014
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